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APPROUVéES PAR L AcADÉMIE.' 387
spiral, & fait parcourir au balancier un arc d’environ
trente degrés, dans ie même temps ie point C du demi- 1748.
cyJindre poussant ie levier recourbé QPX quil ren-N°. 481.
contre , l’extrêmité X entre dans les dents de la roue,--
la dent D quittant la courbe A E, la dent G est arrivée
un peu en-deça de l’angle X du côté de G5 ou eiie fait
tôurner encore un peu ie levier en parvenant à l’angleX:
par ce moyen aucune partie de la branche Q P ne tou-
chant plus sur le demi-cylindre C I, le balancier continue
sa vibration comme s’il étoit isolé; sa vîtesse s’écant en-
fin consumée à tendre le ressort spiral, ce ressort le ra-
mene, accéiere son mouvement jusqu’au point de repos >
ôc fait rentrer la courbe A E dans ia roue de rencontre :
poursuivant sa route, le balancier, par la courbe & au
moyen de la dent D, fait reculer ia roue d’environ la
moitié de l’espace contenu entre deux dents. La bran-
che X du levier, ne se trouvant plus arrêtée , sort d’entre
ces dents par l’aslion du ressort RM, & tombe contre
la cheviile K; enfin la roue de rencontre repousse la
courbe, ôt recommence à agir comme elle a fait d’abord.
Pour prévenir cette objeôiion, il est bon de faire
remarquer, avant d’aüer plus loin, que le frottement au
point C sur les pivotsP , & la résistance du ressort R M,
doivent être regardés comme nul.
i°. L’aôlion du ressort R M est extrêmement petite,
n’étant que sufïisante pour faire mouvoir le lévier re-
courbé Q P X, dont les dents sont très-fines.
2°. Cette aôiion devient encore moins considérable
en C, d’autant que la longueur M Q est supérieure à la
longueur MP.
3°. L’arc parcouru par le lévier n’étant que suffisant
pour que l’extrêmité X entre dans les dents , on sent
bien que l’espace parcouru par les pivots devient presque
nul.
4 0. Quand même ces légers frottemens seroient de
Cccij
APPROUVéES PAR L AcADÉMIE.' 387
spiral, & fait parcourir au balancier un arc d’environ
trente degrés, dans ie même temps ie point C du demi- 1748.
cyJindre poussant ie levier recourbé QPX quil ren-N°. 481.
contre , l’extrêmité X entre dans les dents de la roue,--
la dent D quittant la courbe A E, la dent G est arrivée
un peu en-deça de l’angle X du côté de G5 ou eiie fait
tôurner encore un peu ie levier en parvenant à l’angleX:
par ce moyen aucune partie de la branche Q P ne tou-
chant plus sur le demi-cylindre C I, le balancier continue
sa vibration comme s’il étoit isolé; sa vîtesse s’écant en-
fin consumée à tendre le ressort spiral, ce ressort le ra-
mene, accéiere son mouvement jusqu’au point de repos >
ôc fait rentrer la courbe A E dans ia roue de rencontre :
poursuivant sa route, le balancier, par la courbe & au
moyen de la dent D, fait reculer ia roue d’environ la
moitié de l’espace contenu entre deux dents. La bran-
che X du levier, ne se trouvant plus arrêtée , sort d’entre
ces dents par l’aslion du ressort RM, & tombe contre
la cheviile K; enfin la roue de rencontre repousse la
courbe, ôt recommence à agir comme elle a fait d’abord.
Pour prévenir cette objeôiion, il est bon de faire
remarquer, avant d’aüer plus loin, que le frottement au
point C sur les pivotsP , & la résistance du ressort R M,
doivent être regardés comme nul.
i°. L’aôlion du ressort R M est extrêmement petite,
n’étant que sufïisante pour faire mouvoir le lévier re-
courbé Q P X, dont les dents sont très-fines.
2°. Cette aôiion devient encore moins considérable
en C, d’autant que la longueur M Q est supérieure à la
longueur MP.
3°. L’arc parcouru par le lévier n’étant que suffisant
pour que l’extrêmité X entre dans les dents , on sent
bien que l’espace parcouru par les pivots devient presque
nul.
4 0. Quand même ces légers frottemens seroient de
Cccij