DOI issue:
Recueil des Machines Année 1752
DOI article:N. 487
DOI Page / Citation link:https://doi.org/10.11588/diglit.30640#0555
APPROUVÉES PAR l’ÂCADEMIE, 419
sont deux triangles égaux ôt sembiabies , isoles 6c mix-
tilignes ; mais ks surfaces de ces deux triangles prises 175:2.
ensemble, sont égales à toutes celles du paraiieiograme N '. 437.
AB C D, dont tout le volume d’air que contient ie ven- ——-
tilateur, qui est de cinquante pieds cubes, est refouié par
la compression que cet air reqoit des diaphragmes ; il
ferme les soupapes întérieures 6 6c 4, pendant qu’ii ouvre
les deux extérieures, qui leur répondent, pour se répan-
dre dans l’athmosphere : pendant cette compression3 la
grande soupape intérieure 5 s’ouvre pour laifîer entrer un
nouvel air dans le vuide que laifîent les deux diaphragmes
en se séparant, pendant que sautre grande correspon-
dante ôt extérieure se ferme.
II en est de même du second efîbrt fait par la deuxieme
puifîance appliquée à i’autre extrêmitd du levier, pour
remettre les diaphragmes dans la même fîtuation qusiis
étoient avant la premiere opération, c’est-à-dire de les
rapprocher lson contre sautre ; aiors le diaphragme in-
férieur cs g remonte dans sbn diagonale comme en c a b9
ôc celui supérieur h e descend aufîi dans la même dia-
gonale d e. Ces deux diaphragmes parcourent donc toute
la surface du parallelogramme, ce qui fait que le volume
d’air qufîls compriment, est dé cinquante pieds cubes,
tandis que la comprelsion de la seconde puifîance du pre-
mier ventilateur, n’est que comme la premiere de vingt-
cinq pieds cubes.
Lorsque ces deux diaphragmes, dans cette deuxieme
opération , veulent se réunir dans leur diagonales , la
soupape intérieure $ se ferme pendant que la correspon-
dante extérieure s’ouvre pour laifîer échapper l’air com-
primé par les deux diaphragmes, ôt les deux autres sou-
papes intérieures 3 ôt 6, ssouvrent pour faciliter un nou-
vel air de rentrer dans le ventilateur, pour remplacer le
vuide que laissent les diaphragmes en se rapprochant, Ôc
îes deux autres soupapes extérieures ôt correspondantes
Gggij
sont deux triangles égaux ôt sembiabies , isoles 6c mix-
tilignes ; mais ks surfaces de ces deux triangles prises 175:2.
ensemble, sont égales à toutes celles du paraiieiograme N '. 437.
AB C D, dont tout le volume d’air que contient ie ven- ——-
tilateur, qui est de cinquante pieds cubes, est refouié par
la compression que cet air reqoit des diaphragmes ; il
ferme les soupapes întérieures 6 6c 4, pendant qu’ii ouvre
les deux extérieures, qui leur répondent, pour se répan-
dre dans l’athmosphere : pendant cette compression3 la
grande soupape intérieure 5 s’ouvre pour laifîer entrer un
nouvel air dans le vuide que laifîent les deux diaphragmes
en se séparant, pendant que sautre grande correspon-
dante ôt extérieure se ferme.
II en est de même du second efîbrt fait par la deuxieme
puifîance appliquée à i’autre extrêmitd du levier, pour
remettre les diaphragmes dans la même fîtuation qusiis
étoient avant la premiere opération, c’est-à-dire de les
rapprocher lson contre sautre ; aiors le diaphragme in-
férieur cs g remonte dans sbn diagonale comme en c a b9
ôc celui supérieur h e descend aufîi dans la même dia-
gonale d e. Ces deux diaphragmes parcourent donc toute
la surface du parallelogramme, ce qui fait que le volume
d’air qufîls compriment, est dé cinquante pieds cubes,
tandis que la comprelsion de la seconde puifîance du pre-
mier ventilateur, n’est que comme la premiere de vingt-
cinq pieds cubes.
Lorsque ces deux diaphragmes, dans cette deuxieme
opération , veulent se réunir dans leur diagonales , la
soupape intérieure $ se ferme pendant que la correspon-
dante extérieure s’ouvre pour laifîer échapper l’air com-
primé par les deux diaphragmes, ôt les deux autres sou-
papes intérieures 3 ôt 6, ssouvrent pour faciliter un nou-
vel air de rentrer dans le ventilateur, pour remplacer le
vuide que laissent les diaphragmes en se rapprochant, Ôc
îes deux autres soupapes extérieures ôt correspondantes
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