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1 cm

ÉTUDES SUR LES NOMS D’HOMMES GAULOIS, ETC.
311
celui du poulain, cymr. ebol, ebawl, corn, ebol, armor. ebeûl, etc.,
et, sous la forme de eb, dans quelques composés cymriques, tels que
eb-odn, fumier de cheval, eb-ran, ration de cheval, d’où eb- ranu,
donner au cheval sa ration, etc. De là sans doute le nom propre
armoricain Ebranus (Cart. de Red., p. 361, à l’an 845). Je trouve,
dans la chronique irlandaise des IV Magistri (p. 467), vers le milieu
du xe siècle, un évêque Ceallach mac Eporain, c’est-cà-dire fils
d’Eporan, un Gallois probablement, dont le nom offre encore la
forme primitive d’ebran. L’ancien epo se reconnaît aussi dans VEpo-
mulus d’une inscription britannique (Gruter, 700, 6), et le Cartulaire
de Redon (p. 165) mentionne un Epotemius qui l’a conservé égale-
ment (1). On ne saurait donc douter de son existence dans le cym-
rique des premiers siècles de notre ère.
Un fait singulier, c’est que le cymrique, qui a perdu actuellement
m " ' l’ancien nom du
! phoniques ordi-
I, et osw. (Cf. mes
expliquer que par
Yep ou el E-
cheval sol E-
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Orig. ind =_
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| ;cription d’Iggi en
4,5) ; une autre à
| nent de epo, -onis,
fis, en effet, cette
si un potier Eppa
: doit point se lire
on (p. 353)appar-
l’est le nom de la
présidait aux che-
mu sans doute de
n nom figure dans
lipées par la race
I 219), à Andernach
nube (Orell. 1794),
l ymr. twym—tém plus
time, chaleur. Sur wy,
Àd nat. I, 11 ; Apo-
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celui du poulain, cymr. ebol, ebawl, corn, ebol, armor. ebeûl, etc.,
et, sous la forme de eb, dans quelques composés cymriques, tels que
eb-odn, fumier de cheval, eb-ran, ration de cheval, d’où eb- ranu,
donner au cheval sa ration, etc. De là sans doute le nom propre
armoricain Ebranus (Cart. de Red., p. 361, à l’an 845). Je trouve,
dans la chronique irlandaise des IV Magistri (p. 467), vers le milieu
du xe siècle, un évêque Ceallach mac Eporain, c’est-cà-dire fils
d’Eporan, un Gallois probablement, dont le nom offre encore la
forme primitive d’ebran. L’ancien epo se reconnaît aussi dans VEpo-
mulus d’une inscription britannique (Gruter, 700, 6), et le Cartulaire
de Redon (p. 165) mentionne un Epotemius qui l’a conservé égale-
ment (1). On ne saurait donc douter de son existence dans le cym-
rique des premiers siècles de notre ère.
Un fait singulier, c’est que le cymrique, qui a perdu actuellement
m " ' l’ancien nom du
! phoniques ordi-
I, et osw. (Cf. mes
expliquer que par
Yep ou el E-
cheval sol E-
= m
naires, sa =_r
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un mélan E w
A côté E
(Roach 5 =~
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Ce qui E_®
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P o3
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is un thème epôn,
| ;cription d’Iggi en
4,5) ; une autre à
| nent de epo, -onis,
fis, en effet, cette
si un potier Eppa
: doit point se lire
on (p. 353)appar-
l’est le nom de la
présidait aux che-
mu sans doute de
n nom figure dans
lipées par la race
I 219), à Andernach
nube (Orell. 1794),
l ymr. twym—tém plus
time, chaleur. Sur wy,
Àd nat. I, 11 ; Apo-