DE LA
DISTRIBUTION DES DOLMENS
SD R LA
SURFACE DE LA FRANCE
Nouvelle note avec Carte, par ALEX. BERTRAND
Depuis la publication de nos conclusions sur les monuments primi-
tifs de la Gaule, bon nombre d’observations de toutes sortes nous
ont été directement adressées ; nous les avons notées avec soin.
Elles ont augmenté notre répertoire de quelques faits nouveaux;
elles n’ont modifié que très-légèrement notre manière de voir.
Ces observations étaient au fond, en effet, plutôt des approbations
que des critiques. Elles avaient pour but de compléter notre travail
plutôt que d'en attaquer les bases. Un article qui a paru dans le
dernier fascicule du Bulletin monumental, et qui est rédigé d’ail-
leurs avec une grande bienveillance pour nous, a un tout autre
caractère. Nous ne pouvons le laisser passer sans réponse, tant à
cause de l’importance du recueil où il a été inséré que parce qu’il
est présenté comme le résumé d’une sorte d’enquête ouverte auprès
des sociétés savantes des départements. Nous ne cherchons que la
vérité. Une pareille enquête eût été chose précieuse pour nous. Mal-
heureusement nous ne voyons guère, dans le résumé que nous apporte
le bulletin, que des assertions vagues et plusieurs affirmations qui
nous prouvent que nos idées ont été mal connues ou mal comprises.
Nous croyons donc nécessaire de nous expliquer plus clairement, et
d’apporter des chiffres précis, afin de donner à ceux que la question
intéresse et qui veulent contrôler les bases de notre travail, des élé-
ments de discussions plus positifs que les propositions générales que
DISTRIBUTION DES DOLMENS
SD R LA
SURFACE DE LA FRANCE
Nouvelle note avec Carte, par ALEX. BERTRAND
Depuis la publication de nos conclusions sur les monuments primi-
tifs de la Gaule, bon nombre d’observations de toutes sortes nous
ont été directement adressées ; nous les avons notées avec soin.
Elles ont augmenté notre répertoire de quelques faits nouveaux;
elles n’ont modifié que très-légèrement notre manière de voir.
Ces observations étaient au fond, en effet, plutôt des approbations
que des critiques. Elles avaient pour but de compléter notre travail
plutôt que d'en attaquer les bases. Un article qui a paru dans le
dernier fascicule du Bulletin monumental, et qui est rédigé d’ail-
leurs avec une grande bienveillance pour nous, a un tout autre
caractère. Nous ne pouvons le laisser passer sans réponse, tant à
cause de l’importance du recueil où il a été inséré que parce qu’il
est présenté comme le résumé d’une sorte d’enquête ouverte auprès
des sociétés savantes des départements. Nous ne cherchons que la
vérité. Une pareille enquête eût été chose précieuse pour nous. Mal-
heureusement nous ne voyons guère, dans le résumé que nous apporte
le bulletin, que des assertions vagues et plusieurs affirmations qui
nous prouvent que nos idées ont été mal connues ou mal comprises.
Nous croyons donc nécessaire de nous expliquer plus clairement, et
d’apporter des chiffres précis, afin de donner à ceux que la question
intéresse et qui veulent contrôler les bases de notre travail, des élé-
ments de discussions plus positifs que les propositions générales que