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ADDITIONS ET CORRECTIONS

12. Fragment de stèle en marbre trouvé à Pharsale. — P. 3, l. 29. Après un nouvel examen du monument, il
me semble que les objets placés dans la main gauche de la femme de droite sont des osselets. Il y aurait
donc là un nouvel argument contre l'interprétation mystique que je combats. — O. R.

18. Tête archaïque en marbre trouvée à Athènes. — P. 5, 1. 24, lire 550 et 520 au lieu de 450 et 420. —"O. R.

25. Héraklès combattant, statue du fronton est du temple d'Athéna à Egine. — P. 4, note 1, au lieu de 1868,
lire 1878. — M. C.

28. Héraklès domptant le taureau crétois. — Le mufle du taureau et toute la partie gauche du bas de la mé-
tope ont été retrouvés dans les fouilles du gouvernement allemand. Une reproduction de la métope augmencée
de ces nouveaux fragments a été publiée dans l'ouvrage intitulé Die Funde von Olympia, pl. XX. — O. R.

35-36, p. 4. — M. Reinhard Kekulé vient de soulever de nouveau la question du Tireur d'épine dans YAr-
chœologische Zeitung de 1883, p. 229 [iiber einige mit den Sculpturen von Olympia venvandte Werke. I.
der Dornausiieher). Dans cet article, il se montre très frappé d'une certaine analogie de type entre le Spi-
nario du Capitole et le Pirithous du fronton ouest d'Olympie, et arrive à la conclusion que le Spinario est
l'œuvre de la même école d'art et doit même être un peu plus ancien. Les ressemblances qui l'ont si fort impres-
sionné me paraissent être de celles qu'un faiseur de pastiches peut très aisément attraper, et je persiste à dé-
fendre, contre l'opinion de M. Kekulé en 1883, celle qu'il avait en 1872. — O. R.

37-38. Danseuses, statues en bronze trouvées à Herculanum. —P. 6 et 7. — Rétablir partout l'orthographe Caryatides.
— O. R.

52. Victoire, statue en marbre trouvée à Samothrace. — P. 4, 2" alinéa. J'ai écrit ce paragraphe d'après des
récits oraux. Depuis, j'ai reçu une lettre dans laquelle M. Hauser revendique le mérite d'avoir reconnu le pre-
mier la nature du soubassement de la Victoire. Je ne saurais entrer dans l'examen de ce qui me paraît être une
compétition ; mais il est de mon devoir de constater que M. Hauser a effectivement affirmé dans son rapport (Neue
Arch. Untersuch. auf Samothrake, p. 53) que le soubassement de la statue était en forme de proue de galère. —
P. 5. La statue, complétée par l'addition de ce qui reste des ailes ainsi que de quelques fragments de la poitrine
et des épaules, a été récemment remise sur son soubassement antique et placée en haut de l'escalier de M. Lefuel.
H était impossible de trouver pour elle au Louvre une position plus favorable. Quant à la manière dont la
restauration a été faite, on me dispensera d'en rien dire. — O. R.

63. Torse du Belvédère. Dans la Revue critique du 23 juillet 1883, M. Decharme émet des doutes au sujet de
l'interprétation que je propose, en reconnaissant dans le Torse une imitation de l'Héraklès ir.^a.mZm de
Lysippe. « Sans doute, dans les deux œuvres l'attitude du personnage paraît avoir été à peu près la même. Mais
M. Collignon convient lui-même que le Torse ne rend pas le style de Lysippe, son modelé énergique et sec, et
il oublie de nous dire que l'Hercule l^a^oç, décrit tout au long par Martial et par Stace, était un petit bronze.
Ce chef-d'œuvre d'un pied a-t-il bien pu servir de modèle à la statue grande nature d'Apollonios ? »

J'ai peine à croire que la statuette de Noniu-s Vindex fût l'original même de Lysippe. Les dimensions si res-
treintes par Stace semblent indiquer, au contraire, que ce petit bronze était une copie d'une grande statue de
notées Lysippe. Dès lors l'objection de M. Decharme n'a plus toute sa portée. — M. C.
 
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