à la notion typologique et individuelle mais elle n'a pas
réussi à franchir les bornes d'une conception normative
de l'art, ce qui est devenu visible dans la notion du style
même. Ce n'était qu'après la victoire de l'idéologie ro-
mantique artistique et de l'historisme moderne remportée
sur l'idéologie classique et sur la doctrine académique
qu'il est devenu possible de développer les notions
historiques des styles des époques respectives et natio-
nales, et plus tard aussi des notions du style régionales et
celles nommées notions de génération. Autant que lui
était possible, l'auteur entreprend de déterminer la
genèse et le développement de la notion conventionnelle
logique ou théorique.
Déjà J. Winckelmann, bien qu'il n'avait pas encore
passé les bornes de la doctrine classique normativistique,
utilise la notion du style aussi dans la périodisation de
l'histoire des beauxarts antique et subséquente. L'auteur
fait une analyse des tentatives de Semper et Cohn-
Wiener visant la solution du problème du style, tout en
mettant l'accent sur ses réservations de principe critiques
envers la conception de ces auteurs. Elle informe sur les
points du vue des adhérents du positivisme. Elle met en
relief la grande importance de l'initiative de Wôlfdin
visant l'élucidation des notions fondamentales de l'histoire
des beaux-arts tout en opposant, cependant, ses bonnes
raisons contre sa conception; puis elle s'occupe de l'acti-
vité de A. Riegl et de l'école viennoise ancienne concernant
l'élimination des théories nommées décadentes, l'éluci-
dation des changements du style etc. Toutefois, l'attention
principale de l'auteur est dédiée aux points de vue qui
s'étaient développés dans le 20ème siècle, particulièrement
au cours des années vingt et trente, et qui étaient de
grande efficacité dans l'élucidation des problèmes compli-
qués méthodologiques de cette discipline. Des résultats
intéressants bien que pas toujours acceptables ont été
achevés par des tentatives différentes visant la con-
ception et mise en validité des notions du style comme
catégories théoriques supra-temporelles. Mention est
faite des points de vue et opinions des représentatifs
différents des tendances nommées formalistique, spiri-
tuelle-historique et symbolistique, et l'auteur informe
aussi sur des objections différentes mises en avant contre
les notions différentes des problèmes du style. L'auteur
s'occupe d'une manière plus détaillée du point de vue de
L. Coellen dont la tentative visant une théorie complexe
du style est considérée par l'auteur d'être de grande
importance bien que — particulièrement du point de vue
marxiste — elle profère certaines objections de principe
contre les idées de Coellen. De même, d'une manière
plus détaillée sont traitées les opinions de W. Weisbach,
P. Frankl, D.Frey,W. Drost, E. Panofsky autant qu'elles
se réfèrent au problème du style.
Dans la section conclusive de son étude, l'auteur
rejette quelques points de vue négativistiques (W. Pinder,
H. Sedlmayr) concernant l'histoiye du style dans lea
arts bien qu'elle même admet la grande diversité, com-
plexité et l'enchevêtrement du problème du style;
selon son avis, l'histoire du style comme construction
méthodologique spécifique ne représentera pas à l'avenir
dans la discipline de l'histoire des beaux-arts une façon
principale ou exclusive d'interpretation; d'autre part,
l'histoire des beaux-arts, en s'occupant des tâches lui
incombantes, ne saurait pas se dispenser des notions
traditionnelles historiques du style, particulièrement
s'il s'agirait de la datation et d'attribution du matériel
vaste artistique. L auteur ne s'identifie pas avec l'opinion
comme quoi il est correct de mettre en application
quelques notions historiques du style simultanément
aussi comme notions supra-temporelles, c.à d. dans une
fonction de la catégorie morphologique seulement par
l'amour de quelques analogies externes apparentes,
parce qu'un usage dualistique ou pluralistique de cette
sorte ne restera pas toujours justifié et est à même
de provoquer de confusions fâcheuses.
Bien qu'un grand nombre de savants et historiens
d'art marxistes, particulièrement soviétiques, se sont
apprêtés de résoudre les questions du style, une théorie
marxiste du style satisfaisante n'était pas encore mise au
point. Une solution marxiste des problèmes du style sera
obligée de prendre en considération aussi le grand nombre
des résultats positifs de la science des beaux-arts alle-
mande, autrichienne et suisse, et de les utiliser d'une
manière créatrice. Enfin, l'auteur fait mention des
questions différentes esthétiques-théoriques et philo-
sophiques (ontologiques et noétiques) lesquelles doivent
être étudiées et mises en lumière afin que nous puissions
atteindre une position correcte et une solution des
problèmes compliqués du style.
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réussi à franchir les bornes d'une conception normative
de l'art, ce qui est devenu visible dans la notion du style
même. Ce n'était qu'après la victoire de l'idéologie ro-
mantique artistique et de l'historisme moderne remportée
sur l'idéologie classique et sur la doctrine académique
qu'il est devenu possible de développer les notions
historiques des styles des époques respectives et natio-
nales, et plus tard aussi des notions du style régionales et
celles nommées notions de génération. Autant que lui
était possible, l'auteur entreprend de déterminer la
genèse et le développement de la notion conventionnelle
logique ou théorique.
Déjà J. Winckelmann, bien qu'il n'avait pas encore
passé les bornes de la doctrine classique normativistique,
utilise la notion du style aussi dans la périodisation de
l'histoire des beauxarts antique et subséquente. L'auteur
fait une analyse des tentatives de Semper et Cohn-
Wiener visant la solution du problème du style, tout en
mettant l'accent sur ses réservations de principe critiques
envers la conception de ces auteurs. Elle informe sur les
points du vue des adhérents du positivisme. Elle met en
relief la grande importance de l'initiative de Wôlfdin
visant l'élucidation des notions fondamentales de l'histoire
des beaux-arts tout en opposant, cependant, ses bonnes
raisons contre sa conception; puis elle s'occupe de l'acti-
vité de A. Riegl et de l'école viennoise ancienne concernant
l'élimination des théories nommées décadentes, l'éluci-
dation des changements du style etc. Toutefois, l'attention
principale de l'auteur est dédiée aux points de vue qui
s'étaient développés dans le 20ème siècle, particulièrement
au cours des années vingt et trente, et qui étaient de
grande efficacité dans l'élucidation des problèmes compli-
qués méthodologiques de cette discipline. Des résultats
intéressants bien que pas toujours acceptables ont été
achevés par des tentatives différentes visant la con-
ception et mise en validité des notions du style comme
catégories théoriques supra-temporelles. Mention est
faite des points de vue et opinions des représentatifs
différents des tendances nommées formalistique, spiri-
tuelle-historique et symbolistique, et l'auteur informe
aussi sur des objections différentes mises en avant contre
les notions différentes des problèmes du style. L'auteur
s'occupe d'une manière plus détaillée du point de vue de
L. Coellen dont la tentative visant une théorie complexe
du style est considérée par l'auteur d'être de grande
importance bien que — particulièrement du point de vue
marxiste — elle profère certaines objections de principe
contre les idées de Coellen. De même, d'une manière
plus détaillée sont traitées les opinions de W. Weisbach,
P. Frankl, D.Frey,W. Drost, E. Panofsky autant qu'elles
se réfèrent au problème du style.
Dans la section conclusive de son étude, l'auteur
rejette quelques points de vue négativistiques (W. Pinder,
H. Sedlmayr) concernant l'histoiye du style dans lea
arts bien qu'elle même admet la grande diversité, com-
plexité et l'enchevêtrement du problème du style;
selon son avis, l'histoire du style comme construction
méthodologique spécifique ne représentera pas à l'avenir
dans la discipline de l'histoire des beaux-arts une façon
principale ou exclusive d'interpretation; d'autre part,
l'histoire des beaux-arts, en s'occupant des tâches lui
incombantes, ne saurait pas se dispenser des notions
traditionnelles historiques du style, particulièrement
s'il s'agirait de la datation et d'attribution du matériel
vaste artistique. L auteur ne s'identifie pas avec l'opinion
comme quoi il est correct de mettre en application
quelques notions historiques du style simultanément
aussi comme notions supra-temporelles, c.à d. dans une
fonction de la catégorie morphologique seulement par
l'amour de quelques analogies externes apparentes,
parce qu'un usage dualistique ou pluralistique de cette
sorte ne restera pas toujours justifié et est à même
de provoquer de confusions fâcheuses.
Bien qu'un grand nombre de savants et historiens
d'art marxistes, particulièrement soviétiques, se sont
apprêtés de résoudre les questions du style, une théorie
marxiste du style satisfaisante n'était pas encore mise au
point. Une solution marxiste des problèmes du style sera
obligée de prendre en considération aussi le grand nombre
des résultats positifs de la science des beaux-arts alle-
mande, autrichienne et suisse, et de les utiliser d'une
manière créatrice. Enfin, l'auteur fait mention des
questions différentes esthétiques-théoriques et philo-
sophiques (ontologiques et noétiques) lesquelles doivent
être étudiées et mises en lumière afin que nous puissions
atteindre une position correcte et une solution des
problèmes compliqués du style.
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