LES PORTRAITS DE MARIE-ANTOINETTE
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et qu’elle devait en faire deux copies, l’une pour Versailles, l’autre
pour l’impératrice de Russie ; mais, dans la liste des tableaux et por-
traits faits par elle avant son départ de France, elle ne parle plus, à
l’année 1779, que du «grand portrait pour l’impératrice de Russie1 ».
MARIE-ANTOINETTE A LA FIN DE 177 8
Peint par Duplessis (?) (Palais impérial de Vienne)
Ce grand portrait en pied, aujourd’hui encore à Versailles, est
bien conforme à la description qu’en donne Mme Lebrun dans ses
Souvenirs2, et à l’estampe gravée en 1780 par P. Duflos, d’après un
dessin de Touzée, tiré, dit la légende, en grande partie du tableau de
Mmc Lebrun. Cependant ce tableau, gravé sous la Restauration par
1. Mme Vigée-Lebrun, Souvenirs. Paris, 1835, in-8°, t. I, p. 327.
2. Ibidem, p. 65.
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et qu’elle devait en faire deux copies, l’une pour Versailles, l’autre
pour l’impératrice de Russie ; mais, dans la liste des tableaux et por-
traits faits par elle avant son départ de France, elle ne parle plus, à
l’année 1779, que du «grand portrait pour l’impératrice de Russie1 ».
MARIE-ANTOINETTE A LA FIN DE 177 8
Peint par Duplessis (?) (Palais impérial de Vienne)
Ce grand portrait en pied, aujourd’hui encore à Versailles, est
bien conforme à la description qu’en donne Mme Lebrun dans ses
Souvenirs2, et à l’estampe gravée en 1780 par P. Duflos, d’après un
dessin de Touzée, tiré, dit la légende, en grande partie du tableau de
Mmc Lebrun. Cependant ce tableau, gravé sous la Restauration par
1. Mme Vigée-Lebrun, Souvenirs. Paris, 1835, in-8°, t. I, p. 327.
2. Ibidem, p. 65.