128 Recueil des Machines
mgmgg dent, d’où il suit que le cône est renvoyé par le resTort spl-
17^2. ral d’une dent sur l’autre: car on sçait que le balancier
N°. 44p. & îe relsort spiral exercent leur puissance aiternativement
—. sun sur l’autre pourse communiquer réciproquement leurs
mouvemens.
Les roues E, F doivent être placées de façon qu’ii n’y
ait d’intervalles entre les dents, que répaisseur de la tige
du balancier dans ia situation du profil K ; mais dans ie
profîi P, les points recourbés des dents doivent répondre
au centre de la même tige du balancier.
Le deisus du cône est creusé en forme de petit bois-
seau; son usage, de même que celui du crochet, esl de
conserver deshuiie dans tous ces mouvemens, ce que M.
le Roy juge d’une très-grande împoi-Lance, tant dans cet
endroit, quc daas tous les pivots des montres : pourcela
aux reservoirs d’huile qui souvent étoient infideles, l’Au-
teur subsiitue unsimple trou fermé exaôtement par en-haut,
ou plutôt qui ne traverse pas entierement la platine ; l’huile
une fois logée au fond de ces creux, y est retenue par le
poids de l’air , le réservoir qui en peut contenir pour dix
ans ne peut manquer,
L’objet de M. le Roy, dans ses recherches, a été de pro-
curer àlamontre plus de justesse, de la rendre plus du-
rable, Ôc moins sujette à l’usure.Voici i’extrait du mémoire
qu’il présenta à l’Académie, à i’occasion de cet échappe-
ment.
M. le Roy ne borne point ses observations à i’échap-
pement seul : il a remarqué dans les montres ordinaires
que ie grand ressort fait quatre tours & demi ou cinq tours;
qu’on est obligé d’empioyer tous ces tours ( à un demi-tour
près ) pour faciliter son déveioppement pour transmettre
îa force à la roue de rencontre dans le plus grand rapport
qu’il est postible. Dans ia montre oii il applique son échap-
pement, iln’a pas besoin d’une si granaeforce; elle di-
minueroit au contraire la justesse qui ne dépend pas de
l’égalité
mgmgg dent, d’où il suit que le cône est renvoyé par le resTort spl-
17^2. ral d’une dent sur l’autre: car on sçait que le balancier
N°. 44p. & îe relsort spiral exercent leur puissance aiternativement
—. sun sur l’autre pourse communiquer réciproquement leurs
mouvemens.
Les roues E, F doivent être placées de façon qu’ii n’y
ait d’intervalles entre les dents, que répaisseur de la tige
du balancier dans ia situation du profil K ; mais dans ie
profîi P, les points recourbés des dents doivent répondre
au centre de la même tige du balancier.
Le deisus du cône est creusé en forme de petit bois-
seau; son usage, de même que celui du crochet, esl de
conserver deshuiie dans tous ces mouvemens, ce que M.
le Roy juge d’une très-grande împoi-Lance, tant dans cet
endroit, quc daas tous les pivots des montres : pourcela
aux reservoirs d’huile qui souvent étoient infideles, l’Au-
teur subsiitue unsimple trou fermé exaôtement par en-haut,
ou plutôt qui ne traverse pas entierement la platine ; l’huile
une fois logée au fond de ces creux, y est retenue par le
poids de l’air , le réservoir qui en peut contenir pour dix
ans ne peut manquer,
L’objet de M. le Roy, dans ses recherches, a été de pro-
curer àlamontre plus de justesse, de la rendre plus du-
rable, Ôc moins sujette à l’usure.Voici i’extrait du mémoire
qu’il présenta à l’Académie, à i’occasion de cet échappe-
ment.
M. le Roy ne borne point ses observations à i’échap-
pement seul : il a remarqué dans les montres ordinaires
que ie grand ressort fait quatre tours & demi ou cinq tours;
qu’on est obligé d’empioyer tous ces tours ( à un demi-tour
près ) pour faciliter son déveioppement pour transmettre
îa force à la roue de rencontre dans le plus grand rapport
qu’il est postible. Dans ia montre oii il applique son échap-
pement, iln’a pas besoin d’une si granaeforce; elle di-
minueroit au contraire la justesse qui ne dépend pas de
l’égalité