APPROUVÉES PAR l’AcADÉMIE. 233
bîc par le tuyau M A, entre d’abord dans la partie b du
cylindre, traverse le trou du diaphragme, ôc va ensuite
remplir toute la capacité a9 ôt qu'au contraire la sou- N
pape étant fermée , la vapeur n’a aucune communica-
tion avec la partie a du cylindre. 3 0 Que si on fait
refroidir 1 a vapeur qui se trouve renfermée en a, elle
ie condensera au point qu’elle laisfera tout cet espace
vuide; ce qui donnera lieu au poids de Fathmosphere
de faire remonter l’eau par le tuyau d (dont on suppose
l’extrêmité plongée dans un puisard ), ôc d’eii remplir
tout le vuide a ( fig. 4 ôc 7.) occasionné par la con-;
densation de la vapeur. 4 0 Que la partie du cylindre
étant pleine d’eau , ôc la soupape du diaphragme venant
à s’ouvrir, la vapeur rentrera en a9 ôc poussera sur l’eau^
qui ne pouvant redescendre par le tuyau d à cause que
la soupape m se trouve fermée, sera forcée de sortir
par le tuyau e vers/', où elle sera retenue par la sou-
pape h, jusqu’à ce que par une nouvelle manœuvre il
s’y en introduise de nouvelle.
Tout se réduit donc à fermer ou ouvrîr la commu-
nication de la vapeur avec la partie a du cylindre, ou,
ce qui est le même, d’ouvrir, ôc fermer alternative-
ment la soupape du diaphragme.
Pour faire condenser ia vapeur dans la partie a du
cylindre , on y pratique un tuyau que l’on nomme
tuyau d’injeÊlion, parce qu'il sert, comme dans les au-
tres machines de ce genre, à injeôler l’eau froide ett
forme de pluie dans ie cylindre : à ce tuyau est adap-
té un robinet y, qui doit s’ouvrir ôc se fermer par ie
même mouvement que la soupape du diaphragme, avec
cette précaution cependant que, lorsque la ioupape esfc
ouverte, le robinet soit fermé , ôc qu’au contraire il
soit fermé lorsque la soupape est ouverte; ce tuyau re-
qoit son eau d’un réservoir quelconque, placé au-des
sus de la machinq qui lui fournit Feau.
bîc par le tuyau M A, entre d’abord dans la partie b du
cylindre, traverse le trou du diaphragme, ôc va ensuite
remplir toute la capacité a9 ôt qu'au contraire la sou- N
pape étant fermée , la vapeur n’a aucune communica-
tion avec la partie a du cylindre. 3 0 Que si on fait
refroidir 1 a vapeur qui se trouve renfermée en a, elle
ie condensera au point qu’elle laisfera tout cet espace
vuide; ce qui donnera lieu au poids de Fathmosphere
de faire remonter l’eau par le tuyau d (dont on suppose
l’extrêmité plongée dans un puisard ), ôc d’eii remplir
tout le vuide a ( fig. 4 ôc 7.) occasionné par la con-;
densation de la vapeur. 4 0 Que la partie du cylindre
étant pleine d’eau , ôc la soupape du diaphragme venant
à s’ouvrir, la vapeur rentrera en a9 ôc poussera sur l’eau^
qui ne pouvant redescendre par le tuyau d à cause que
la soupape m se trouve fermée, sera forcée de sortir
par le tuyau e vers/', où elle sera retenue par la sou-
pape h, jusqu’à ce que par une nouvelle manœuvre il
s’y en introduise de nouvelle.
Tout se réduit donc à fermer ou ouvrîr la commu-
nication de la vapeur avec la partie a du cylindre, ou,
ce qui est le même, d’ouvrir, ôc fermer alternative-
ment la soupape du diaphragme.
Pour faire condenser ia vapeur dans la partie a du
cylindre , on y pratique un tuyau que l’on nomme
tuyau d’injeÊlion, parce qu'il sert, comme dans les au-
tres machines de ce genre, à injeôler l’eau froide ett
forme de pluie dans ie cylindre : à ce tuyau est adap-
té un robinet y, qui doit s’ouvrir ôc se fermer par ie
même mouvement que la soupape du diaphragme, avec
cette précaution cependant que, lorsque la ioupape esfc
ouverte, le robinet soit fermé , ôc qu’au contraire il
soit fermé lorsque la soupape est ouverte; ce tuyau re-
qoit son eau d’un réservoir quelconque, placé au-des
sus de la machinq qui lui fournit Feau.