ÂPPROUVÉES PAR L’ÂCADÏMIE. 283
longueur que doit parcourir en montant le colïre D, «..
& toujours à un demi ou à un quart de pouce près 174$,
( si Ton peut parvenir à ce point de justeiTe ) ; par cette N°. 4680
construètion, il esl clair que la force motrice du cof- ——
fre E diminuera à mesure que le coffre D montera ,
puisque ce bras de levier sera chargé successivement
des poids ip , 20, 21 , 22 9 &c 1 e poids 23 ne s’éle-
vant que d’un quart de pouce, ne donnera que le temps
nécesiaire au mouvement des leviers retenus par les cro»
chets W,R, S à i’ouverture des robinets L des cof-
fres.
îî efl: certain que ce second moyen efl: préférable
au premier, puisqu’il indique de plus une grande faci-
lité pour faire descendre le coffre D : car le coffre E
conservera encore beaucoup d’eau lorsque le poids 23
fera son essort pour reprendre sur le terrein une partie
de son assiette qu’il aura perdue, ôc successivement le
poids 22 descendra & fera remonter le coffre E ? ÔC
ainsi des autres, jusqu’à ce qu’ils soient descendus tous
les uns sur les autres, ensorte qu’il y aura toujours un
poids plus ou moins grand, pour faire équilibre à pro-
portion de la dépense d’eau qui s’écouie par le robi-
net du coffre E ;mais dans tout cet arrangement ii faut
conserver îa condition principale que je répéte , quiesl
i° que le coffre D vuide pese plus que le coffre E
également vuide : 2 0 que le coffre E plein soit d’un
plus grand poids que le coffre D plein: 3° que les qua-
tre poids ip, 20, 21 ôc 22 ensemble soient inférieurs
en puissance à la pesanteur de l’eau contenue dans le
tuyau de communication F F F, qui agit sur le coffre
E dès la premiere incîinaison.
Le troisieme moyen de régler les mêmes mouve-
mens, proposé par l’inventeur, efl: d’appliquer des leviers
24? 2S » placés dessous le bras B, C du balancier,
& d’attacher aux extrêmités de ces ieviers des cordes
N n ij
longueur que doit parcourir en montant le colïre D, «..
& toujours à un demi ou à un quart de pouce près 174$,
( si Ton peut parvenir à ce point de justeiTe ) ; par cette N°. 4680
construètion, il esl clair que la force motrice du cof- ——
fre E diminuera à mesure que le coffre D montera ,
puisque ce bras de levier sera chargé successivement
des poids ip , 20, 21 , 22 9 &c 1 e poids 23 ne s’éle-
vant que d’un quart de pouce, ne donnera que le temps
nécesiaire au mouvement des leviers retenus par les cro»
chets W,R, S à i’ouverture des robinets L des cof-
fres.
îî efl: certain que ce second moyen efl: préférable
au premier, puisqu’il indique de plus une grande faci-
lité pour faire descendre le coffre D : car le coffre E
conservera encore beaucoup d’eau lorsque le poids 23
fera son essort pour reprendre sur le terrein une partie
de son assiette qu’il aura perdue, ôc successivement le
poids 22 descendra & fera remonter le coffre E ? ÔC
ainsi des autres, jusqu’à ce qu’ils soient descendus tous
les uns sur les autres, ensorte qu’il y aura toujours un
poids plus ou moins grand, pour faire équilibre à pro-
portion de la dépense d’eau qui s’écouie par le robi-
net du coffre E ;mais dans tout cet arrangement ii faut
conserver îa condition principale que je répéte , quiesl
i° que le coffre D vuide pese plus que le coffre E
également vuide : 2 0 que le coffre E plein soit d’un
plus grand poids que le coffre D plein: 3° que les qua-
tre poids ip, 20, 21 ôc 22 ensemble soient inférieurs
en puissance à la pesanteur de l’eau contenue dans le
tuyau de communication F F F, qui agit sur le coffre
E dès la premiere incîinaison.
Le troisieme moyen de régler les mêmes mouve-
mens, proposé par l’inventeur, efl: d’appliquer des leviers
24? 2S » placés dessous le bras B, C du balancier,
& d’attacher aux extrêmités de ces ieviers des cordes
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