434 Recueil des Machines
> .■ n„., faciiement en a b de la fîg. 4, & qui est déchargé par les
deux pieces c d ôt de, afin que lefdits entraits, étant
K°.4-8p. chargés par leurs extrêmités a & b (ainsi qu 5il va être ex-
pliqué) ne puissent se rompre dans leurs milieux.
Ôn a déja dit que lorsque les bateaux du pont de ni-
veaus’éleverontdetrois pieds, lebateau E(fig.2.) ne doit
s’élever que d’un pied six pouces : ce même bateau étant
supposé de six cens pieds de superficie, il devroit être
chargé d’un poids égai à un volume d’eau qui auroit pour
base les six cens pieds de surface, fur un pied six pouces
de hauteur, qui est celle dont le bateau doit être enfoncé
dans l’eau , ( non compris le triau d’eau ; mais c’est une
considération inutiie ici, puisque les bateaux du pont de
niveau sont dans le même cas). Ce volume d’eau, eftimé
peser soixante-dix liv. le pied cube, à caufe du mélange
d’eau douce avec Feau saiée, sera donc de foixante-trois
miüe liv. : mais il convient que ce même poids ne charge
le bateau que proportionnellement aux aifFérentes hau-
teurs queieniveau de pente i’exige; c’est-à-dire, que iors-
que les bateaux du pont de niveau s’éleveront d’un pouce,
celui E ne s’élevera que d’un demi pouce, en recevant
une charge de huit cens soixante-quinze livres, qui est
77 de soixante-trois mille liv., ce qui est dans le même
rapport de six lignes à trois pieds.
La fig. y représente une des quatre ferrures en grand,
dont la moitié fait voir de face les gueuses de fonte ou
saumons de plomb, de chacune quatre pouces d’épaisseur,
Ôc du poids de huit cens soixante-quinze livres, ensilés
les unes dans les autres par des boulons de fer à tête per-
due, qui laissent la liberté à chacune de ces gueuses de
se séparer les unes des autres de quatre pouces de distance,
& ont la facilité de se rejoindre les unes contre les autres,
au moyen des trous pratiqués dans les gueuses supérieures,
pour y loger les têtes des boulons qui excéderoient la
hauteur de deux gueuses jointes ensemble, ce qu’on peut
> .■ n„., faciiement en a b de la fîg. 4, & qui est déchargé par les
deux pieces c d ôt de, afin que lefdits entraits, étant
K°.4-8p. chargés par leurs extrêmités a & b (ainsi qu 5il va être ex-
pliqué) ne puissent se rompre dans leurs milieux.
Ôn a déja dit que lorsque les bateaux du pont de ni-
veaus’éleverontdetrois pieds, lebateau E(fig.2.) ne doit
s’élever que d’un pied six pouces : ce même bateau étant
supposé de six cens pieds de superficie, il devroit être
chargé d’un poids égai à un volume d’eau qui auroit pour
base les six cens pieds de surface, fur un pied six pouces
de hauteur, qui est celle dont le bateau doit être enfoncé
dans l’eau , ( non compris le triau d’eau ; mais c’est une
considération inutiie ici, puisque les bateaux du pont de
niveau sont dans le même cas). Ce volume d’eau, eftimé
peser soixante-dix liv. le pied cube, à caufe du mélange
d’eau douce avec Feau saiée, sera donc de foixante-trois
miüe liv. : mais il convient que ce même poids ne charge
le bateau que proportionnellement aux aifFérentes hau-
teurs queieniveau de pente i’exige; c’est-à-dire, que iors-
que les bateaux du pont de niveau s’éleveront d’un pouce,
celui E ne s’élevera que d’un demi pouce, en recevant
une charge de huit cens soixante-quinze livres, qui est
77 de soixante-trois mille liv., ce qui est dans le même
rapport de six lignes à trois pieds.
La fig. y représente une des quatre ferrures en grand,
dont la moitié fait voir de face les gueuses de fonte ou
saumons de plomb, de chacune quatre pouces d’épaisseur,
Ôc du poids de huit cens soixante-quinze livres, ensilés
les unes dans les autres par des boulons de fer à tête per-
due, qui laissent la liberté à chacune de ces gueuses de
se séparer les unes des autres de quatre pouces de distance,
& ont la facilité de se rejoindre les unes contre les autres,
au moyen des trous pratiqués dans les gueuses supérieures,
pour y loger les têtes des boulons qui excéderoient la
hauteur de deux gueuses jointes ensemble, ce qu’on peut