f45*<? Recueil des Machines
doic excéder la longueur du griliage d’environ trois pieds
17y3, & demi de chaque côté, pour donner le reculement des
N°.45)2, liens c, c, servant à maintenir en respedt laditc machine,
*-- lorsque la scie se mene dans sa direction paraiieie audit
seuii, ou, ce qui est de'même, perpendicuiairement aux
fiancs de la pile à fonder. Les moises d, d sont pour le
même usage que les susdits iiens. Sur ce scuil sont éievés
quatre poteaux ou jumeiies, dont ies deux intérieures e9e
sont desiinées àsupporter les touriilôns ou eilieux coudés
de ia roue, tandis que les deux extérieures f, s le iont à
soutenir la pouisée des deux grands liens, dont un est
représenté par ia lettreg de ia fig. 2. Ces iiens, aisembiés
par ie bas dans les seuils h, h, & retenus par ies moises J, J,
contrebutent l effort de l’eau qui teudroit à renverser la
machirie. Ces seuiis, qui sont dessus ôt dans ia même di-
reCtion que les ionguerines, embrastent les deux fiis de
paipianches de bordages, ce qui maintient ie mouiin dans
une direclion perpendiculaire aux mêmes fiis de paîpian-
ches : ces quatre jumelles sont retenues à leur sommet,
& peu au dessus des basses eaux par une moise m, qui
leur tient Üeu de chapeau.
La roue se trouvant entiérement plongde dans l’eau ,
n’auroit aucun mouvement, ii ies aubans etoient de ia
même construdfion que ceux ordinaires ; mais cha-
que planche est mobiie sur sa raie par des coupiets 0 , 0 ,
&:c. de la fig. 1. Cette construdlion de roue a été très-
ingénieusement inventée par MM. Gossset & de la Devii-
le , Prêtres du Diocèse de Laon, & a eu tout le succès
qu*on pouvoit en desirer dans l’éprcuve qni en fut faite à
Paris. .3 .
Cette roue fait mouvoir deux estieux coudés p,p, &c
donne un'mouvement de vibration à la branche q de la
croix verticale c, dont l’extrêmité de ladite branche se
termine en fourchette, & embrassse un cylindre r de la
fig. 3 , qui est attaché au moyen de deux supports sur le
miiieu
doic excéder la longueur du griliage d’environ trois pieds
17y3, & demi de chaque côté, pour donner le reculement des
N°.45)2, liens c, c, servant à maintenir en respedt laditc machine,
*-- lorsque la scie se mene dans sa direction paraiieie audit
seuii, ou, ce qui est de'même, perpendicuiairement aux
fiancs de la pile à fonder. Les moises d, d sont pour le
même usage que les susdits iiens. Sur ce scuil sont éievés
quatre poteaux ou jumeiies, dont ies deux intérieures e9e
sont desiinées àsupporter les touriilôns ou eilieux coudés
de ia roue, tandis que les deux extérieures f, s le iont à
soutenir la pouisée des deux grands liens, dont un est
représenté par ia lettreg de ia fig. 2. Ces iiens, aisembiés
par ie bas dans les seuils h, h, & retenus par ies moises J, J,
contrebutent l effort de l’eau qui teudroit à renverser la
machirie. Ces seuiis, qui sont dessus ôt dans ia même di-
reCtion que les ionguerines, embrastent les deux fiis de
paipianches de bordages, ce qui maintient ie mouiin dans
une direclion perpendiculaire aux mêmes fiis de paîpian-
ches : ces quatre jumelles sont retenues à leur sommet,
& peu au dessus des basses eaux par une moise m, qui
leur tient Üeu de chapeau.
La roue se trouvant entiérement plongde dans l’eau ,
n’auroit aucun mouvement, ii ies aubans etoient de ia
même construdfion que ceux ordinaires ; mais cha-
que planche est mobiie sur sa raie par des coupiets 0 , 0 ,
&:c. de la fig. 1. Cette construdlion de roue a été très-
ingénieusement inventée par MM. Gossset & de la Devii-
le , Prêtres du Diocèse de Laon, & a eu tout le succès
qu*on pouvoit en desirer dans l’éprcuve qni en fut faite à
Paris. .3 .
Cette roue fait mouvoir deux estieux coudés p,p, &c
donne un'mouvement de vibration à la branche q de la
croix verticale c, dont l’extrêmité de ladite branche se
termine en fourchette, & embrassse un cylindre r de la
fig. 3 , qui est attaché au moyen de deux supports sur le
miiieu