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https://doi.org/10.11588/diglit.26383#0343
Balthazar Franceschini
Ce peintre naquit à Volterra (ce qui le fit surnommer le Volterrano) en 1611, et mourut
à Florence en 1689. Il fut quelque temps élève de Matteo Rosselli, mais ses ouvrages révèlent
un imitateur de Pierre de Cortone. Il se distingua surtout dans la peinture à fresque et il
possédait une bravoure particulière pour le sotto-in-su. Voir pour plus de détails Baldinucci
et Lanzi.
1. L’Homme de douleurs. Le Sauveur est représenté à mi-corps et
tenant ouverte avec ses deux mains la plaie de son côté, d’où
jaillit du sang. Son manteau lui couvre le bras gauche, mais
laisse l’autre bras à moitié découvert. Pièce sans nom ni marque.
On y lit quatre vers italiens, dont le premier est : « Vient, deh
vieni, o Peccator mgrato... » — Gravure: H. 433mm. L. 292 mm.
Cette estampe est citée par Zani (Enc. met., 2me partie,
t. VII, p. 256), et par Nagler (Künstter-Lexicon, IV), mais
nous ne l’avons jamais rencontrée.
2. Scène de damnés. Pièce ovale en largeur. Uu damné est couché
sur le dos, la tête à la gauche de l’estampe: deux serpents
lui enveloppent le corps et un dragon le mord à la gorge. A
droite, au milieu des flammes, on voit quatre autres damnés
et deux démons. — Gravure: H. 244 mm.; L. 358 mm.
Ier état. Sans aucune lettre.
2e état. Retouché. Dans chacun des quatre écoinçons
on lit: « Oh Eternitci. » (Cabinet de Paris.)
Ce peintre naquit à Volterra (ce qui le fit surnommer le Volterrano) en 1611, et mourut
à Florence en 1689. Il fut quelque temps élève de Matteo Rosselli, mais ses ouvrages révèlent
un imitateur de Pierre de Cortone. Il se distingua surtout dans la peinture à fresque et il
possédait une bravoure particulière pour le sotto-in-su. Voir pour plus de détails Baldinucci
et Lanzi.
1. L’Homme de douleurs. Le Sauveur est représenté à mi-corps et
tenant ouverte avec ses deux mains la plaie de son côté, d’où
jaillit du sang. Son manteau lui couvre le bras gauche, mais
laisse l’autre bras à moitié découvert. Pièce sans nom ni marque.
On y lit quatre vers italiens, dont le premier est : « Vient, deh
vieni, o Peccator mgrato... » — Gravure: H. 433mm. L. 292 mm.
Cette estampe est citée par Zani (Enc. met., 2me partie,
t. VII, p. 256), et par Nagler (Künstter-Lexicon, IV), mais
nous ne l’avons jamais rencontrée.
2. Scène de damnés. Pièce ovale en largeur. Uu damné est couché
sur le dos, la tête à la gauche de l’estampe: deux serpents
lui enveloppent le corps et un dragon le mord à la gorge. A
droite, au milieu des flammes, on voit quatre autres damnés
et deux démons. — Gravure: H. 244 mm.; L. 358 mm.
Ier état. Sans aucune lettre.
2e état. Retouché. Dans chacun des quatre écoinçons
on lit: « Oh Eternitci. » (Cabinet de Paris.)