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Leroi, Paul: Salon de 1890: introduction, II [3]; le centenaire de l'art
DOI Seite / Zitierlink:https://doi.org/10.11588/diglit.25869#0214
SALON DE 1890.
193
Si les États-Unis trônaient au premier étage du Palais des Beaux-Arts, il n'est pas un
visiteur du Champ de Mars qui n'ait été frappé, fût-il le plus ignorant du monde, de l'imposant
Travaux champêtres.
Dessin de E. Hugard, d’après le tableau de Rafaël Gorrea. (Exposition Universelle de 1889.)
spectacle qu'offrait la série si variée de pavillons spéciaux, quelques-uns très luxueux, tous très
pittoresques, élevés par les autres nations du Nouveau Monde.
La Moisson.
Dessin de E. Hugard, d’après le tableau de Rafaël Correa. (Exposition Universelle de 1889.)
L observateur le plus superficiel ne pouvait s'empêcher d’admirer l’ensemble que formaient
les expositions de tant de pays lointains. Quiconque se livrait à des investigations approfondies
193
Si les États-Unis trônaient au premier étage du Palais des Beaux-Arts, il n'est pas un
visiteur du Champ de Mars qui n'ait été frappé, fût-il le plus ignorant du monde, de l'imposant
Travaux champêtres.
Dessin de E. Hugard, d’après le tableau de Rafaël Gorrea. (Exposition Universelle de 1889.)
spectacle qu'offrait la série si variée de pavillons spéciaux, quelques-uns très luxueux, tous très
pittoresques, élevés par les autres nations du Nouveau Monde.
La Moisson.
Dessin de E. Hugard, d’après le tableau de Rafaël Correa. (Exposition Universelle de 1889.)
L observateur le plus superficiel ne pouvait s'empêcher d’admirer l’ensemble que formaient
les expositions de tant de pays lointains. Quiconque se livrait à des investigations approfondies