L' art: revue hebdomadaire illustrée (16.1890 (Teil 1))

SALON DE 1890

INTRODUCTION

(suite)

J'ai dit qu’à ce Centenaire artistique de
la seule note franchement originale, tranchant
lument sur l’uniformité commune à toutes les autres
nations, c’est à l’Angleterre qu’on l’avait due 2.

Son École, en effet, a été, pour les raffinés
d’art, l'enchantement de ce concours universel, et
il n'est aucun d’eux qui ne conserve un sou-
venir reconnaissant au baronet qui pré- L
side aux destinées de la Royal Academy, <Ç~y
de Londres, à Sir Frederick Leighton, 'F,\
voulu que peintres, sculpteurs,
architectes, graveurs, fussent représentés au
Champ de Mars, en dépit de l’abstention, indis-
cutablement quoique non officiellement hostile, ,
du gouvernement du
Salisbury

reso

avoir

marquis

1. Voir l’Art, 16“ année, tome I°r, pages 166,
177 et 189.

2. Voir l’Art, iC” année, tome I"', page 200.

Encadrement composé et dessiné pour « l’Art » par J. Habert-Dys.

Tome XLVIII.