Gazette des beaux-arts: la doyenne des revues d'art — 2.Pér. 16.1877
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https://doi.org/10.11588/diglit.21845#0374
DOI Heft:
Nr. 4
DOI Artikel:Duranty, Edmond: Post-scriptum au Salon de peinture
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POST-SCRIPTUM AU SALON DE PEINTURE.
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phase, du charlatanisme, du mélodrame ensanglanté à effets ampoulés
et répugnants où l’on pousse trop souvent le grand art. Assurément un
GROUPE DU SAINT FRANÇOIS D’aSSISE, DE M. WEERTS.
(Dessin de l’artiste.)
particulier n’achètera pas le Saint Étienne de M. Lehoux, ni le Saint
Maximin de M. Boulanger, et l’administration est toute excusée de s’oc-
cuper plus maternellement de ces sujets, qu’elle seule peut caser grâce
aux monuments de l’État. Mais les paysagistes peuvent se dire qu’ils tra-
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phase, du charlatanisme, du mélodrame ensanglanté à effets ampoulés
et répugnants où l’on pousse trop souvent le grand art. Assurément un
GROUPE DU SAINT FRANÇOIS D’aSSISE, DE M. WEERTS.
(Dessin de l’artiste.)
particulier n’achètera pas le Saint Étienne de M. Lehoux, ni le Saint
Maximin de M. Boulanger, et l’administration est toute excusée de s’oc-
cuper plus maternellement de ces sujets, qu’elle seule peut caser grâce
aux monuments de l’État. Mais les paysagistes peuvent se dire qu’ils tra-