POST-SCRIPTUM AU SALON DE PEINTURE.
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a été la source de tous les embarras et de toutes les incertitudes, c’est-
à-dire à la fois soutenir et combattre le grand art, combattre et soute-
nir ce qu’on appelle le petit art, gêner la tutelle par la liberté, et celle-ci
par la première. Il faut prendre parti, et le parti de l’administration,
de l’Institut et de l’École est tout tracé après tant d’essais infructueux.
C’est d’instituer un Salon triennal, très-limité, très-épuré, dans le
sens de ce qu’on appelle le grand art, sans exemptions, et où ne seront
décernées que fort peu de récompenses. Et quand on l’aura institué,
c’est de ne pas y renoncer au bout de quelques années.
DURANT Y.
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a été la source de tous les embarras et de toutes les incertitudes, c’est-
à-dire à la fois soutenir et combattre le grand art, combattre et soute-
nir ce qu’on appelle le petit art, gêner la tutelle par la liberté, et celle-ci
par la première. Il faut prendre parti, et le parti de l’administration,
de l’Institut et de l’École est tout tracé après tant d’essais infructueux.
C’est d’instituer un Salon triennal, très-limité, très-épuré, dans le
sens de ce qu’on appelle le grand art, sans exemptions, et où ne seront
décernées que fort peu de récompenses. Et quand on l’aura institué,
c’est de ne pas y renoncer au bout de quelques années.
DURANT Y.