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et de la minoritd de Louis XV. Vol. II. 1055
ward). Stanislaus stellt erst seiner Tochter vor, welches Glück ihr
widerfahren sey, dann fährt er fort:
-»Dans l’evenement d’aujourd’hui je ne contemple que l’ou-
vrage de dieu et le doigt de la droite du tout puissant qui vous
conduit ä travers (er hatte erst au travers geschrieben) de toute la
prudence (vorher stand puissance) humaine de toute speculation
politique et de toute attente« (stand vorher im Pluralis). — Dann
folgen gute väterliche Lehren, unter denen wir nur die Eine aus-
heben wollen, welche auf das Vertrauen sich bezieht: »II y encore
des gens qu’on aime et qu’on hait sans savoir pourquoi, envers les
premiers c'est une foiblesse et envers les autres c’est injustice.
Enfin tout cela vous conduit ä la grande maxime. que je vous re-
commande pardessus tout le reste. C’est de considerer votre con-
fiance comme un tresor sans prix que vous perdrez aisement (es
steht da aisaiment, auch kommen viele ähnliche Fehler vor) si vous
le prodiguez mal ä propos« — dann kommt das, was wir eigent-
lich ausheben wollten: »et que vous ne devez absolument qu'au roi
seul et ä celui qui est depositaire de toutes ses volontes c'est Mr.
le duc. Si vous la partagez avec un troisieme eile n’aura aucun
merite envers les deux premiers et vous ne pouvez reciproquement
pretendre ä celle du roi ni ä celle de Mr. le duc ce qui doit faire
tout votre bonheur et toute votre tranquillite.«. Wir übergehen
hier alle andern Artikel, auch den von den Lieblingen, um den
Schlufs herzusetzen, der sich wieder auf den historischen Punkt
bezieht, den wir hervorheben wollten. Es heifst dort:
»II ne me reste plus qu’ä vous representer ce que vous devez
ä Mr. le duc. Comme ma fille toute la reconnoissance, comme
reine de France toute la confiance; celle que le roi a en ce prince,
sa prudence dans le gouvernement, son desinteressement pour le
bien du royaume et son amitie pour moi sont, j’espere des noeuds
assez puissans pour votre coeur sensible ä ne vous jamais detacher
des infinies obligations que vous avez ä ce prince et ä suivre ses
avis salutaires.« Dies erklärt hinreichend den Zusammenhang des-
sen, was Hr. L. S. 232 — 33 erzählt.
Dafs Hr. L. die andern Briefe qnd Acten, die sich am ange-
führten Orte finden und worunter ein ganzes Pack ist, in welchem
der duc de Dreux, (der Oberceremonienmeister) der überhaupt
immer die bedeutendste Rolle im französischen Reiche zu spielen
hat, und seine Etikette vielen Raum einnehmen, wollen wir ihm
nicht zum Vorwurf machen $ wohl aber müssen wir hernach zum
folgenden Kapitel bemerken, dafs er die sich auf Spanien beziehen-
 
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