APPROUVEËS P A st L* Â C A D £ M ï E, lÿj
Fodometre se trouvent moins éloignées l’une de sautre.
ioo 6c 101 sont deux roues3 l’une de 100 & Fautre
de 101 dents; elles engrenent dans les pignons detf,
ôc en roulant celle de ioo sur son arbre; l’autre sur un
canon porté autour de ce même arbre fait marquer à
un cadran, fig. 4, les nombres de tours de la roue du
carrosse, jusqu’à 100 au cercle extérieur, ôc le nombre
des centaines au cercle intérieur.
Ces deux roues ne sont pas absolument fixdes sur ieurs
arbres 6c canon ; elles sont retenues chacune contre une
asliete par un pas’d’âne 2 , 2 , ou 3,3, fg. 3, afin que ,
quand on veut, on puisse facilement remettre saiguille
à 100 qui est la même chose que o , 6c le cadran inté-
rieur qui est mobiie avec son canon à 1 o 100, c est-à-dire,
à o. On tourne ce cadran par deux petits boutons &, &,
desiinés à cet usage, ôc qui pasfent facilement dessous
la courbure faite à cette aiguille.
V u, fig. 4, sont deux fortes chevilles, dont chacune
est fixée à sune des platines, enforte qtselles se trouvent
au cliemin des autres chevilles G,^fixées aux poulies,
fig. 1,2,3, pour retenir ces mêmes poulies, ôc faire que
le ressort du barillet conserve toujours un certain degré
de bande dans le temps même que sodometre ne travaille
pas.
Esfet de L’Odometre.
Le ressort du barillet auquel on â donné un peu de
Jbande en montant rodometre , tient les deux grandes
poulies appuyées par leurs grosses chevilles G,g, con-
tre les chevilles fixes V, u (fig. 4.), 6c alors les pieces de
îa machine sont toutes à peu-près dans s état que repré~
sentent les fîg. 1 ôc 2 : les deux petites détentes ou cli-
quets B,Z> n’agissent point sur l’étoile E; mais les deux
grands cliquets arrêtent cette étoile, ensorte qu’elle ne
peut nullement tourner,
JLleC' des MachinçSt Tome VII, Z
«WSrattSSaKKŒsMl
1742.
N 0.4 5* <5;
Fodometre se trouvent moins éloignées l’une de sautre.
ioo 6c 101 sont deux roues3 l’une de 100 & Fautre
de 101 dents; elles engrenent dans les pignons detf,
ôc en roulant celle de ioo sur son arbre; l’autre sur un
canon porté autour de ce même arbre fait marquer à
un cadran, fig. 4, les nombres de tours de la roue du
carrosse, jusqu’à 100 au cercle extérieur, ôc le nombre
des centaines au cercle intérieur.
Ces deux roues ne sont pas absolument fixdes sur ieurs
arbres 6c canon ; elles sont retenues chacune contre une
asliete par un pas’d’âne 2 , 2 , ou 3,3, fg. 3, afin que ,
quand on veut, on puisse facilement remettre saiguille
à 100 qui est la même chose que o , 6c le cadran inté-
rieur qui est mobiie avec son canon à 1 o 100, c est-à-dire,
à o. On tourne ce cadran par deux petits boutons &, &,
desiinés à cet usage, ôc qui pasfent facilement dessous
la courbure faite à cette aiguille.
V u, fig. 4, sont deux fortes chevilles, dont chacune
est fixée à sune des platines, enforte qtselles se trouvent
au cliemin des autres chevilles G,^fixées aux poulies,
fig. 1,2,3, pour retenir ces mêmes poulies, ôc faire que
le ressort du barillet conserve toujours un certain degré
de bande dans le temps même que sodometre ne travaille
pas.
Esfet de L’Odometre.
Le ressort du barillet auquel on â donné un peu de
Jbande en montant rodometre , tient les deux grandes
poulies appuyées par leurs grosses chevilles G,g, con-
tre les chevilles fixes V, u (fig. 4.), 6c alors les pieces de
îa machine sont toutes à peu-près dans s état que repré~
sentent les fîg. 1 ôc 2 : les deux petites détentes ou cli-
quets B,Z> n’agissent point sur l’étoile E; mais les deux
grands cliquets arrêtent cette étoile, ensorte qu’elle ne
peut nullement tourner,
JLleC' des MachinçSt Tome VII, Z
«WSrattSSaKKŒsMl
1742.
N 0.4 5* <5;