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Académie des Sciences <Paris> [Editor]
Machines et inventions approuvées par l'Académie Royale des Sciences depuis son établissement jusqu'à présent — 7.1734/​54 (1777) [Cicognara, 917G]

DOI issue:
Recueil des Machines Année 1744
DOI article:
N. 463
DOI Page / Citation link:
https://doi.org/10.11588/diglit.30640#0339
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’AFPROUVÏES PAR L*AcàDÉMIE.' âyi
'gles à mousse aussi de fer ; ces tringles paralleles, & de
même longueur , vont s’attacher à deux points des bras
du levier inférieur dgalement éloignés du point d’appui.

De cet assemblage du levier ou balancier supérieur,
des deux tringles & d’une partie du levier ou balancier in-
férieur, se forme un re£tangle, qui par le balancement
plus ou moins grand, ôt par le jeu de ces piéces, menagé
dans les quatre angles, devient un paralielogramme plus
©u moins étroit.

On a placé sur le centre du balancier supérieur une
J>atte d’écrevisse à deux branches de fer, qui y est liée 9
& dans laquelle ess: engagée la clef de la soupape du dia-
phragme.

On a aussï attaché sur une des tringles une chevilîe de
fer, qui traverse une coulisse aussi de fer, laquelle sert
de clef au robinet du tuyau d’inje£tion.

Enfîn à peu de distance des deux extrêmités du balan-
cier inférieur, on a attaché deux petits seaux garnis d’une
soupape dans le fond, ôc suspendus de telle sorte, qu’ils
conservent toujours une situation horizontale ; derriere ôc
vin peu au-dessus de ce balancier , on a placé une cuvette
toujours remplie d’eau, ôc de longueur égale à la distance
des seaux, cette cuvette à chacune de ses extrêmités a une
Coupape disposée de façon, que lorsque le balancier élève
un des seaux jusqu’à elle, cette soupape s’ouvre par le
moyen d’une cheville placée à la surface supérieure du
seau ; alors ce seau se remplit d’eau , descend ensuite, ôc
en descendant oblige l’autre à monter, pour aller à son
tour se remplir d’eau en ouvrant la feconde soupape de
cuvette qui lui répond.

Pour que ce second seau ait îe temps de se remplir, le
premier descendu avant de se vuider a rencontré sur la fin
de sa chûte une détente, par le moyen de laquelle un
contrepoids suflisant vient s’appliquer sur ce seau qui se
vVuide alors2 ôc est jetenu en cet dtat 9 jusqu’à ce qu$

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