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P E S C U L S-DE-L A M P E,
Page
Petîte médaîlle d’argent de la Familîe Plautia , ayant pour typé?
l’Aurore conduisant quatre chevaux ; c’est absolument la même
composition que celle du Camée qui a donné lieu à l’article
suivant.
Page 200«
Revers d’uné médaille de l’Empereur Gallien gravée dans le
Tome second du Callimaque de Spanheim ( pag. 66. ) Apollon
debout, porte son bras droit au-dessus de sa tête Ôc s’appuie de la
main gaiiche sur sa Lyre, supportée par un cippe,
Page zo±* !
Des plantes de Lys rouge qu’on croit avoîr êtê i’Hyacinthe des
Anciens : des fiiets , des javelots ôc des disques faisant allusion à
la passion d’Hyacinthe pour la chaiïe Ôc à sa fin malheureuse*
Page 208^
À la Lyre d’Apollon environnée de îaurlers ess: attachée une
médaille d’Antonin où le Dieu , ayant sâ Lyre à la main , est
aiïis en face de Marsyas déjà attaché à un arbre, pendant qu’un
jeune homme , le genou à terre , paroit aiguiser un couteau :
auprès de la Lyre Ôc siir le terrain ou elle efl placée on voit des
rouleaux de Musique, la double ssûte de Marsyas ôc le couteau,
instrument de son supplice. La source qui coule au-dessbus a trait à
la métamorphose du Satyre en un sseuve de son nom.
Page 2i2.
â ,
Une corne d’abondance , symbole de la fertilité que procure îe
iSoleil,Ôc des ailes qui désignent la rapidité de sa course, supportent
une médaiïle de la ville de Coloiïe où l’on voit ce Dieu qui con-
duit un char à quatre chevaux,
Tome L
f
P E S C U L S-DE-L A M P E,
Page
Petîte médaîlle d’argent de la Familîe Plautia , ayant pour typé?
l’Aurore conduisant quatre chevaux ; c’est absolument la même
composition que celle du Camée qui a donné lieu à l’article
suivant.
Page 200«
Revers d’uné médaille de l’Empereur Gallien gravée dans le
Tome second du Callimaque de Spanheim ( pag. 66. ) Apollon
debout, porte son bras droit au-dessus de sa tête Ôc s’appuie de la
main gaiiche sur sa Lyre, supportée par un cippe,
Page zo±* !
Des plantes de Lys rouge qu’on croit avoîr êtê i’Hyacinthe des
Anciens : des fiiets , des javelots ôc des disques faisant allusion à
la passion d’Hyacinthe pour la chaiïe Ôc à sa fin malheureuse*
Page 208^
À la Lyre d’Apollon environnée de îaurlers ess: attachée une
médaille d’Antonin où le Dieu , ayant sâ Lyre à la main , est
aiïis en face de Marsyas déjà attaché à un arbre, pendant qu’un
jeune homme , le genou à terre , paroit aiguiser un couteau :
auprès de la Lyre Ôc siir le terrain ou elle efl placée on voit des
rouleaux de Musique, la double ssûte de Marsyas ôc le couteau,
instrument de son supplice. La source qui coule au-dessbus a trait à
la métamorphose du Satyre en un sseuve de son nom.
Page 2i2.
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Une corne d’abondance , symbole de la fertilité que procure îe
iSoleil,Ôc des ailes qui désignent la rapidité de sa course, supportent
une médaiïle de la ville de Coloiïe où l’on voit ce Dieu qui con-
duit un char à quatre chevaux,
Tome L
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