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GAZETTE DES BEAUX-ARTS.
de toucher à la vie de Paris. On a jugé de l'extrême logique de sa
pensée : de ses débuts à sa mort, il 11e s’est pas laissé détourner un
instant de son but. Peu avant de mourir, il pensait encore à peindre
une Mise au tombeau bien simple, bien poignante, bien humaine, et
l’on peut dire en toute vérité qu’il a rendu l’âme en regrettant de
11’avoir pas fait un tableau longuement caressé dans ses rêves :
Y Enterrement d’une jeune fille passant sous clés pommiers en fleurs à
Damviller. Nous avons de cet Enterrement deux ou trois dessins
superbes, mais le maitre a fermé les yeux. Le mot de Mm0 de Staël
sera éternellement juste : « Il 11’y a ici-bas que des commencements. »
FOURCAUD.
GAZETTE DES BEAUX-ARTS.
de toucher à la vie de Paris. On a jugé de l'extrême logique de sa
pensée : de ses débuts à sa mort, il 11e s’est pas laissé détourner un
instant de son but. Peu avant de mourir, il pensait encore à peindre
une Mise au tombeau bien simple, bien poignante, bien humaine, et
l’on peut dire en toute vérité qu’il a rendu l’âme en regrettant de
11’avoir pas fait un tableau longuement caressé dans ses rêves :
Y Enterrement d’une jeune fille passant sous clés pommiers en fleurs à
Damviller. Nous avons de cet Enterrement deux ou trois dessins
superbes, mais le maitre a fermé les yeux. Le mot de Mm0 de Staël
sera éternellement juste : « Il 11’y a ici-bas que des commencements. »
FOURCAUD.