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Nr. 5
DOI article:Bibliographie
DOI Page / Citation link: https://doi.org/10.11588/diglit.24683#0457
BIBLIOGRAPHIE
.LÀ PEINTURE AH CHATEAU DE CHANTILLY : ÉCOLE FRANÇAISE,
• " par F.-A. Gruyer, membre de FlnsLitut1.
oxsieur Gruyer, après avoir étudié la pein-
ture étrangère au château ’cle Chantiily2 ,ef,
dans les Quarante Fouqnet 3, analysé les plus
précieux vestiges de notre peinture nationale
au xve siècle, entreprend, à la faveur. de. la
description des tableaux de la même coHec'-
tion, la critique même des écoles françaises,
dès le xvie. Ecrivain minutieux et pénétrant,
soucieux des origines, des influences, des
évolutions et des modes, il ne pouvait se
désintéresser des événementsproprement his-
toriques.. Les' galeries du musée, sans qu'il
fût besoin de lui en préciser le devoir, l’y ont merveilleusement aidé. Des rois,
des ministres, de grands seigneurs, des princesses célèbres y apparaissent,
témoins dont les plus vaines passions, malgré la ruine des États et les temps
abolis, persistent encore et nousiémeuvent. La piété dé celui qui recueillit tant
de portraits n’était.pas si'complaisante qu’elle en voulût rien dissimuler. L’hom-
mage-lé plus fervent que-M: Gruyer pouvait i\ëndre a'la mémoire de Mgr le-duc
d’Aumalè, à'-Lhistorien des prince's de'Condé, ’élîiit' certes*,'l’œuvre de bonne et
savante foi qu’il publie aujourd’hui.
D’excellentes considérations sur l’art au xvie siècle en marquent le début.
1. Paris. Plon, Nourrit et Cio, 1898. Un vol. in-4°, 502 p. avec 40 héliogravures.
2. La Peinture au château de Chantilly : Écoles étrangères. Paris, Plon, 1896. Un vol.
in-4°, ill.
3. Chantilly. Les Quarante Fouquet. Paris, Plon, 1897. Un vol. in-4° ill.
.LÀ PEINTURE AH CHATEAU DE CHANTILLY : ÉCOLE FRANÇAISE,
• " par F.-A. Gruyer, membre de FlnsLitut1.
oxsieur Gruyer, après avoir étudié la pein-
ture étrangère au château ’cle Chantiily2 ,ef,
dans les Quarante Fouqnet 3, analysé les plus
précieux vestiges de notre peinture nationale
au xve siècle, entreprend, à la faveur. de. la
description des tableaux de la même coHec'-
tion, la critique même des écoles françaises,
dès le xvie. Ecrivain minutieux et pénétrant,
soucieux des origines, des influences, des
évolutions et des modes, il ne pouvait se
désintéresser des événementsproprement his-
toriques.. Les' galeries du musée, sans qu'il
fût besoin de lui en préciser le devoir, l’y ont merveilleusement aidé. Des rois,
des ministres, de grands seigneurs, des princesses célèbres y apparaissent,
témoins dont les plus vaines passions, malgré la ruine des États et les temps
abolis, persistent encore et nousiémeuvent. La piété dé celui qui recueillit tant
de portraits n’était.pas si'complaisante qu’elle en voulût rien dissimuler. L’hom-
mage-lé plus fervent que-M: Gruyer pouvait i\ëndre a'la mémoire de Mgr le-duc
d’Aumalè, à'-Lhistorien des prince's de'Condé, ’élîiit' certes*,'l’œuvre de bonne et
savante foi qu’il publie aujourd’hui.
D’excellentes considérations sur l’art au xvie siècle en marquent le début.
1. Paris. Plon, Nourrit et Cio, 1898. Un vol. in-4°, 502 p. avec 40 héliogravures.
2. La Peinture au château de Chantilly : Écoles étrangères. Paris, Plon, 1896. Un vol.
in-4°, ill.
3. Chantilly. Les Quarante Fouquet. Paris, Plon, 1897. Un vol. in-4° ill.