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L' art: revue hebdomadaire illustrée — 11.1885 (Teil 2)

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Tables du trente-neuvième volume de L'Art
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https://doi.org/10.11588/diglit.19704#0282

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25o

L'ART.

Pages.

Hendrickie Stoffels et les dernières années de Rembrandt,

par Emile Michel................. 209

Régal de gourmet................... 221

Pierre-Paul Rubens et Balthasar Moretus,parMaxRooses. 225
Les Démoniaques dans l'art, par J. M. Charcot et

P. Richer...................... 2?4

Van Dyck et Gonzalès Coques au musée de Cassel, par

Émile Michel.................... 241

La Caricature au Japon, par Champfleury....... 246

NOTRE BIBLIOTHÈQUE

CCCLXIX. Bains de mer d'Ostende, par Mars. Compte

rendu par Eugène Véron..............

CCCLXX-CCCLXXVI. Les Artistes célèbres, Biogra-

phies et Notices critiques, publiées sous la direction
de M. Eugène MUntz. I. Donatello, par Eugène
Miintz. Compte rendu par Noëi Gchuzuc .... 58, 222

CCCLXXI. Le Château de Guerchy et ses cheminées
monumentales, par Eugène Vaudin. Compte rendu
par Paul Leroi.................. 60

CCCLXX'I. The Magasine of Art. Vol. VII. Compte
rendu par Paul Leroi................

CCCLXXIII. L'Œuvre complet d'Eugène Delacroix, par
Alfred Robaut et Ernest Chesneau. Compte rendu
par Eugène Véron................. 1 iG

CCCLXX1V. 188S , Figaro-Salon , par Albert Wolff.

Compte rendu par Louis Decamps......... 11S

CCCLXXV. En campagne. Tableaux et dessins de A. de

Neuville. Compte rendu par Alexandre de Latour . . 138

TABLE ANALYTIQUE DES MATIÈRES

Allégories et Emblèmes, par John Grand-Carteret. — Compte
rendu d'un ouvrage publié par MM. Gerlach et Schenk,
éditeurs à Vienne : Allégories et Emblèmes, avec dessins
originaux par les artistes modernes les plus célèbres, repro-
ductions d'anciens emblèmes de corps de métiers et dessins
modernes d'armoiries de corporations, style Renaissance
Texte explicatif par le Dr Albert Ilg, conservateur des col-
lections historiques artistiques de la maison impériale
d'Autriche. Avec texte français, 89, 90, 91, 92, g3.

Alma-Tadema (M. L.). — Note accompagnant une eau-forte de
M. A. Mongin, d'après le tableau de M. L. Alma-Tadema :
A Love Missile : un Message d'amour, 100.

A propos des portes du Baptistère de Florence, par Alfredo
Melani. — Discussion qui s'est élevée à Florence au sujet de
certaines détériorations observées par le professeur-archi-
tecte Del Moro, sur les magnifiques portes de bronze du
Baptistère de Florence, dont plusieurs de leurs parties sont
recouvertes d'un vernis. Divergence des opinions. Qui a
raison ? L'avenir peut-être nous l'apprendra, 120.

A propos de quelques dessins de Prud'hon, par Pierre Gau-
thiez. —■ Prud'hon à son retour de Rome. Il trouve sa voie
définitive. Le génie de Prud'hon. Travaillant d'après une
méthode et avec des procédés absolument personnels, il
mettait dans la poursuite de son idéal toute l'énergie qu'il
ne déployait guère en face des obstacles matériels, 178,
179, 180.

Artistes flamands et allemands en Italie pendant le
xv° siècle (Les), par Eugène Miintz. — Influence des
artistes flamands et allemands sur l'art italien au xv° siècle.
La France a le droit de revendiquer un certain nombre
d'artistes désignés par les Italiens du temps comme « Fiam-
menghi », parfois même comme « Tedeschi ». Les archi-
tectes flamands et allemands contribuèrent autant que leurs
confrères français à la défaveur qui s'attacha aux représen-
tants du style gothique. On n'en trouve plus que dans les
villes où il s'agit de terminer un édifice commencé dans ce
style désormais condamné. Le dôme de Milan. Les artistes
flamands et allemands qui furent demandés pour mener à
fin la construction de ce sanctuaire. Dans la sculpture, et
pendant les premières années du xv° siècle, les sculpteurs
allemands jouissent encore d'une grande réputation, puis,
le crédit des étrangers cesse brusquement, 156. L'orfèvrerie
partage le même sort. Les Flamands prirent une revanche
brillante en tant que peintres. Leur influence sur l'art
italien. Nomenclature de quatre-vingts Flamands ou Alle-
mands ayant travaillé en Italie pendant le xv° siècle, non
compris les copistes et les imprimeurs, 157 à 160.

Assez. — Fragment extrait des Mémoires posthumes d'un
Artiste, qui sont ceux d'Ivan Tourgueneff ; traduits par
Mikhaïl Achkinasi. Ce fragment est le seul dont l'auteur
ait autorisé la publication, 81, 82, 83, 84. 85, 121, 122, 161,
162, 163.

Boucher (François), par André Michel. — Discrédit dans
lequel étaient tombées ses œuvres. Caractères propres de
son talent. Boucher et son temps. La place de Boucher
doit être maintenue au Livre d'Or de l'Art français. On est
aujourd'hui revenu au maître délaissé, et le marteau des
commissaires-priseurs a solennellement consacré ce retour
de faveur, i5o à. 1S5. ,

Brauwer (Adrien) au Musée de Munich, par Émile Michel. —
Comme Frans Hais, son maître, Adrien Brauwer est un de
ces artistes qui, avec des droits presque égaux, peuvent être
aussi bien revendiqués par l'école flamande que par l'école
hollandaise. Il naquit en Flandre, vers i6o5. Il vint de
bonne heure à Harlem et y entra dans l'atelier de Hais.
Incertitude dans laquelle on se trouvait relativement à la
durée de son séjour en Hollande, 141. Document récemment
publié par M. J. H. W. Unger, dans un recueil périodique
d'Amsterdam et qui établit que Brauwer a dû rester assez
longtemps à Harlem. Nulle part aussi bien qu'à la Pinaco-
thèque on ne peut se rendre compte de la valeur de
Brauwer. Dix-sept de ses œuvres se trouvent dans ce
Musée. Existence déréglée que menait Brauwer. Caractères
de son talent. Ses Joueurs de cartes. Nomenclature rapide
des tableaux de Brauwer qui se trouvent à la Pinacothèque,
142. Les divers sujets qui ont le plus habituellement
défrayé la verve de Brauwer se trouvent représentés au
Musée de Munich. Un seul côté de son talent y fait défaut:
le paysage, 143.

MM. Jules Breton et Daniel R. Knight. — Note accompa-
gnant la publication d'une fort belle étude de M. Jules
Breton pour son tableau du Salon : le Chant de l'alouette,
et d'un dessin de M. Daniel Ridgway Knight, d'après son
tableau qui était au même Salon : les Babillardes, 160.

Caricature au Japon (La), par Champfleury. _ Du caractère

japonais, 246, 247. La danse de la pluie, 248.

Cauvet, par A. de Champeaux. — Naissance de Cauvet
(à Aix, en Provence, en 1 y31.) Cet architecte, sculpteur et
dessinateur vint habiter Paris où il obtint le titre de sculp-
teur des bâtiments de Monsieur, frère du roi. Il y mourut
le i5 novembre 1788. Malgré le titre de sculpteur que pre-
nait Cauvet, il était surtout décorateur. Son influence sur
le style Louis XVI. Son recueil de dessins « d'ornements à
l'usage des jeunes architectes qui se destinent à la décora-
 
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