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LE ROMAN JAPONAIS. — OKOMA. 243
naturelles, mais que la qualité inventive de son originalité ne trouvant pas son compte auprès
de son professeur, il se tourna vers les lettres. « Malgré sa vive imagination, il était d'un carac-
tère indolent. 11 s'était installé dans une bibliothèque où il pouvait prendre et remettre ses livres
sans quitter sa place, au moyen d'une longue pincette. Pour ne pas s'embrouiller au milieu des
nombreux acteurs et des situations compliquées de ses romans, il fabriquait de petites poupées
qu'il attachait ensemble après qu'elles étaient mariées, qu'il repoussait dans un coin de la
chambre alors qu'elles étaient en voyage, qu'il enfouissait dans une boîte quand elles étaient
mortes... »
Bakin fit école. 11 ne fit pas fortune, s'il faut prendre au sérieux ces lignes dans l'Intro-
duction : «... Je ne sais rien de pire, dit-il, que le métier d'écrivain. Aucun autre ne ruine plus
SaI-Sakou.
rs de Saï-Sakou, à Hokobouzi, le tombeau cflnka.
vite, ni r ^^^^^^ourquoi y persistez-vous, me dira-t-on? C est que jy suis
rigoureiE-^ 5 ^ lutre gagne-pain que mon pinceau... » (La surface pelu-
cheuse =~~ g>1 lit exige pour écrire l'emploi du pinceau qui, même dans
les traitE ° ^ Bsser la surface.)
J'ai|_ .C une cinquantaine de volumes, illustrés en général par
Hokou-|_s> O œ I utres maîtres en renom. On y voit qu'il usait largement des
léo-ende=- "7^ I sortilèges, des situations violentes, de « l'horrible », ainsi
qu'on dË"2 ^ lm, dont nous n'allons donner que les traits caractéristiques,
PQ(. hocE" C 5 oj l:ion de Sakya Muni, le plus illustre des Bouddhas : le
rayonnai f \ £ ê I s est aussi régulier, dans cette vie comme clans celles
qui l'orl-S ^^^^^^1 I *e mouvement Parti du moyeu qui suit la jante et atteint
le fer cl- ^* ou blâmable suscite un mouvement qui a sa répercussion
naturelles, mais que la qualité inventive de son originalité ne trouvant pas son compte auprès
de son professeur, il se tourna vers les lettres. « Malgré sa vive imagination, il était d'un carac-
tère indolent. 11 s'était installé dans une bibliothèque où il pouvait prendre et remettre ses livres
sans quitter sa place, au moyen d'une longue pincette. Pour ne pas s'embrouiller au milieu des
nombreux acteurs et des situations compliquées de ses romans, il fabriquait de petites poupées
qu'il attachait ensemble après qu'elles étaient mariées, qu'il repoussait dans un coin de la
chambre alors qu'elles étaient en voyage, qu'il enfouissait dans une boîte quand elles étaient
mortes... »
Bakin fit école. 11 ne fit pas fortune, s'il faut prendre au sérieux ces lignes dans l'Intro-
duction : «... Je ne sais rien de pire, dit-il, que le métier d'écrivain. Aucun autre ne ruine plus
SaI-Sakou.
rs de Saï-Sakou, à Hokobouzi, le tombeau cflnka.
vite, ni r ^^^^^^ourquoi y persistez-vous, me dira-t-on? C est que jy suis
rigoureiE-^ 5 ^ lutre gagne-pain que mon pinceau... » (La surface pelu-
cheuse =~~ g>1 lit exige pour écrire l'emploi du pinceau qui, même dans
les traitE ° ^ Bsser la surface.)
J'ai|_ .C une cinquantaine de volumes, illustrés en général par
Hokou-|_s> O œ I utres maîtres en renom. On y voit qu'il usait largement des
léo-ende=- "7^ I sortilèges, des situations violentes, de « l'horrible », ainsi
qu'on dË"2 ^ lm, dont nous n'allons donner que les traits caractéristiques,
PQ(. hocE" C 5 oj l:ion de Sakya Muni, le plus illustre des Bouddhas : le
rayonnai f \ £ ê I s est aussi régulier, dans cette vie comme clans celles
qui l'orl-S ^^^^^^1 I *e mouvement Parti du moyeu qui suit la jante et atteint
le fer cl- ^* ou blâmable suscite un mouvement qui a sa répercussion