DOI Heft:
Nr. 1 (Octobre-Novembre 1942)
DOI Artikel:Les théatres subventionnés
DOI Artikel:Rouché, Jacques: Les dernières saisons de l'opéra et de l'opéra-comique
DOI Seite / Zitierlink:https://doi.org/10.11588/diglit.48495#0045
A L’OPÉRA ET A L’OPÉRA-COMIQUE
Photo d’Harcourt.
Palestrina. — Décors et costumes du Pr. Mankke pour l’Opéra.
individuellement et dans un
temps défini, sa part person-
nelle et anonyme de labeur.
*
* *
Les Théâtres lyriques
nationaux, durant ces deux
dernières années, ont fêté
des compositeurs illustres.
S’associant à un merveilleux
hommage que l’Allemagne
a rendu, particulièrement
dans la ville de Vienne,
devant le monde entier, à
Wolffgand Amédée Mozart,
l’Opéra donnait, le ier décembre 1941, Don Juan, et l’Opéra-Comique le 6 décembre,
l’Enlèvement au sérail.
Venaient ensuite, en l’honneur de Lalo, le Roi d’Ys ; de Messager, les Deux pigeons ;
de G. Fauré, Masques et Bergamasques ; d’Emmanuel Chabrier, PEtoile ; de Massenet, Werther,
Joan de Zarissa.
Photo d’Harcourt.
Décors et costumes d’Yves Brayer pour l’Opéra.
en attendant, vers l’automne,
Thaïs, Griselidis, Manon.
PA/Au, pour ses 30 ans,
a revêtu une parure nouvelle,
et les Contes de ma mère Poye,
de Maurice Ravel ont été
dansés salle Favart, en sou-
venir de leur création au
Théâtre des Arts (1912).
Des expositions orga-
nisées au foyer du Théâtre par
M. Martin recueillaient des
souvenirs précieux, curieux,
amusants, de Jules Masse-
net, de Claude Debussy :
portraits, partitions, affiches,
correspondances.
3 5
Photo d’Harcourt.
Palestrina. — Décors et costumes du Pr. Mankke pour l’Opéra.
individuellement et dans un
temps défini, sa part person-
nelle et anonyme de labeur.
*
* *
Les Théâtres lyriques
nationaux, durant ces deux
dernières années, ont fêté
des compositeurs illustres.
S’associant à un merveilleux
hommage que l’Allemagne
a rendu, particulièrement
dans la ville de Vienne,
devant le monde entier, à
Wolffgand Amédée Mozart,
l’Opéra donnait, le ier décembre 1941, Don Juan, et l’Opéra-Comique le 6 décembre,
l’Enlèvement au sérail.
Venaient ensuite, en l’honneur de Lalo, le Roi d’Ys ; de Messager, les Deux pigeons ;
de G. Fauré, Masques et Bergamasques ; d’Emmanuel Chabrier, PEtoile ; de Massenet, Werther,
Joan de Zarissa.
Photo d’Harcourt.
Décors et costumes d’Yves Brayer pour l’Opéra.
en attendant, vers l’automne,
Thaïs, Griselidis, Manon.
PA/Au, pour ses 30 ans,
a revêtu une parure nouvelle,
et les Contes de ma mère Poye,
de Maurice Ravel ont été
dansés salle Favart, en sou-
venir de leur création au
Théâtre des Arts (1912).
Des expositions orga-
nisées au foyer du Théâtre par
M. Martin recueillaient des
souvenirs précieux, curieux,
amusants, de Jules Masse-
net, de Claude Debussy :
portraits, partitions, affiches,
correspondances.
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