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L' art: revue hebdomadaire illustrée — 8.1882 (Teil 4)

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Leroi, Paul: Salon de 1882, [2]
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https://doi.org/10.11588/diglit.19294#0119

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Chevrière du Jura.

Dessin de Léon Bouillon, d’après son tableau. (Salon de 1882.)

SALON DE 1882

(suite)

XXXVIII

POST-SCRIPTUM

uelques injustes omissions à réparer : un jeune homme,
M. Léon Bouillon, dont la Chevrière du Jura est une bonne
promesse ; M. William Peters, artiste norwégien, qui a très
heureusement traduit à l'eau-forte, pour l’Art, son intéres-
sant Jour de marché ; M. Henri Zuber, une organisation
d’élite, que la maladie avait tenu éloigné de son
atelier et qui n'a pu, cette fois, que faire acte de
présence au Salon où il a déjà obtenu de si légitimes
succès2; M. Kenyon Cox, jeune artiste américain
très bien doué, qui avait exposé le Portrait de
M. E. G... et une œuvre vraiment originale : le Miroir, por-
trait de mon ami U. Cette initiale cachait le nom du pauvre
Walter Ulmann, sur qui M. Kenyon Cox a eu la bonté de m’en-
voyer des détails pleins d’intérêt. J’en parlerai prochainement
lorsque l’Art donnera le portrait d’Ulmann d’après M. Cox.

Je pourrais probablement ajouter plus d’un nom, car il est
douteux que, parmi 2,722 tableaux, il ne m’ait échappé aucune
œuvre digne d’encouragement, mais je ne suis qu’un homme de
bonne volonté et, j’ai le droit de l’ajouter, d’absolue sincérité. Force m’est donc de
m’abstenir au sujet de ce que je n’ai pas su voir dans le tohu-bohu de cette halle artistique.

11 est d’autres toiles que j’ai vues, que je n’ai que trop vues; je suis très résolu à n’en
souffler mot. A quoi bon m’arrêter de nouveau à des défauts incorrigibles ? et quelle utilité à

1. Voir l’Art, 8e année, tome II, pages 92, 129, i52, 177, 186, 212 et 264; tome III, pages 37, G1, 107, i3o, 144, 16S, 189 et 228, et
tome IV, page 70.

2. M. Henri Zuber avait exposé le Gué; environs d’Artemare (Ain).

Lettre composée et dessinée pour l’Art
par J. Habert-Dys.
 
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