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Et l'auteur, après avoir décrit leurs tableaux, ajoute : | Ainsi préparé, vous allez suivre Rembrandt dans toute
La considéra- sa glorieuse car-
3
-rJ/i
6*
rière et, d'année
en année, sa vie
vous sera com-
mentée par ses
diverses œuvres.
VIII
Méthode ex-
cellente entre
toutes, lorsqu'elle
demeure d'une
sincérité absolue,
ce qui est cons-
tamment le cas
chez M. Emile
Michel, modèle
d'inébranlable
probité artistique
et liltéraire. Bien
que ce soit très
rare, il peut lui
tion dont ces deux
artistes étaient
restés entourés et
la célébrité qui
s'attachait à leurs
ouvrages étaient
bien faites pour
stimuler la voca-
tion de Rem-
brandt. Envoyant
apprécier à ce
point le talent de
ses prédécesseurs,
il se sentait en-
couragé dans ses
goûts. Il rêvait à
son tour de faire
honneur à sa ville
natale et il pou-
vait espérer qu'un
jour aussi ses
œuvres seraient
offertes à l'admi- Le Bon Samaritain rendant ses comptes. arriver de se trom-
ration de tOUS, à Dessina la plume. (Collection de M. I.c'on Bpnnat.j - (Rembrandt, sa Vie, son Œuvre et son Temps.) per maj-s C£ n>est
côté de celles de guère qu'en ma-
ses illustres devanciers. Mais, bien que sa gloire ait de | tière d'importance assez secondaire, ainsi que le prouve
beaucoup surpassé ce qLi'il dit à propos
la leur, c'est en vain ^-, du « portrait en pied
qu'on chercher,ii: le ! et de grandeur n.uu-
nom de Rembrandt g ' ' _ • rc\k. j0 MaclUcld
dans ce Musée de K|; ' ' ':'r van Doorn, faisant
Lcvclc, <e'i hrill ^ pendant à celui de
encore aujourd'hui HjK; Marten Daev. son
le Jugement dernier Wp^,. .J|^H^^j3^^^VSB -M époux » ; ils appar-
dc Lucas Ihi v- ■ -''"PPf 1 tenaient à la famille
ghenszetlctripivom :,;! ; Van le,0:1, d'Ams-
d'Kngclhi'eciil.s/, | fr-i. , ' terdam, ci font, de-
son maître. » î""-■ ■ , or'- :, ■ :o m-, v ,,„;•, ,srr. partie de
Y/, , .. , 380? la c 11 i i c c t ; 1 > il de
M . ban il ( iu.Mave
de Rothschild.
« Les succès de • "i^K " ^lIlÉ&s. ^lllll ^^^^^^^» « Lc portrait du
Rembrandt le déci- HBl mai i seul ci si-ne
dent à se fixer jjffiffll: „■ (> ;,'|t ci date de 11A4:
a \ te eterdau! . \ -'! ,' ■ t mraircmcnl
M. Emile Michel WÊËÈ' a Ihe, A d.e \ -Mitaer
s'empresse d'agir WÊÊ qui croit celui delà
ainsi qu'il l'a fait HB femme de 104a,
pour Leyde. Il nous c'est-à-dire posté -
décrit «Amsterdam Wt de nett! ans.
vers 1621 ». Il re- H|- ■; "''."m ; ' ' " ' , V\ ' ^ n"us relisons qu'ils
face ■ son com- 'I,. ,|| ont été peints à la
tne-rce et sa pmv'h- :,, ' ^ ' ■ , ; i . J| même époque, et les
ritc eroissaute , , »' ' ; « V\ ">1 -x%#, , j\ r ^1 âges des deux époux,
dépeint ht trans- ■ | , ^\ /vf*/; ■ ,\ ■". ;U::..,i hAn que le
lor.nation de la il caractère de l'exécu-
vilie-, non. dl; A^ ' ,\ V^\'^ , ,| tion, justifient plei-
« l'esprit de tolérance §|; : neincnt cette opinion
et la charité » de ses iBBS99iS9I^^^^b9ssb9b9|^9|^BHB déjà exprimée par
habitants, et n'oublie jyj_ B0ue. »
surtout ni « le mou- Le Porte-drapeau. J'ai eu l'honneur
vement littéraire », Vers i66a-i664. (Collection du comte de Warwick.) ^e lln des am;s
ni « les arts et le (Rembrandt, sa Vie, son Œuvre et son Temps.) de Vosmaer, qui fut
goût régnant». Puis, une nature d'élite,
et sa mémoire m'est restée trop chère pour que je ne
VII
afin que notre initiation soit complète, il n'a garde d'omettre
de nous introduire dans les « Intérieurs hollandais ».
Tome LV.
rectifie pas ce passage. Vosmaer ne s'est pas trompé. Il ne
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Et l'auteur, après avoir décrit leurs tableaux, ajoute : | Ainsi préparé, vous allez suivre Rembrandt dans toute
La considéra- sa glorieuse car-
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rière et, d'année
en année, sa vie
vous sera com-
mentée par ses
diverses œuvres.
VIII
Méthode ex-
cellente entre
toutes, lorsqu'elle
demeure d'une
sincérité absolue,
ce qui est cons-
tamment le cas
chez M. Emile
Michel, modèle
d'inébranlable
probité artistique
et liltéraire. Bien
que ce soit très
rare, il peut lui
tion dont ces deux
artistes étaient
restés entourés et
la célébrité qui
s'attachait à leurs
ouvrages étaient
bien faites pour
stimuler la voca-
tion de Rem-
brandt. Envoyant
apprécier à ce
point le talent de
ses prédécesseurs,
il se sentait en-
couragé dans ses
goûts. Il rêvait à
son tour de faire
honneur à sa ville
natale et il pou-
vait espérer qu'un
jour aussi ses
œuvres seraient
offertes à l'admi- Le Bon Samaritain rendant ses comptes. arriver de se trom-
ration de tOUS, à Dessina la plume. (Collection de M. I.c'on Bpnnat.j - (Rembrandt, sa Vie, son Œuvre et son Temps.) per maj-s C£ n>est
côté de celles de guère qu'en ma-
ses illustres devanciers. Mais, bien que sa gloire ait de | tière d'importance assez secondaire, ainsi que le prouve
beaucoup surpassé ce qLi'il dit à propos
la leur, c'est en vain ^-, du « portrait en pied
qu'on chercher,ii: le ! et de grandeur n.uu-
nom de Rembrandt g ' ' _ • rc\k. j0 MaclUcld
dans ce Musée de K|; ' ' ':'r van Doorn, faisant
Lcvclc, <e'i hrill ^ pendant à celui de
encore aujourd'hui HjK; Marten Daev. son
le Jugement dernier Wp^,. .J|^H^^j3^^^VSB -M époux » ; ils appar-
dc Lucas Ihi v- ■ -''"PPf 1 tenaient à la famille
ghenszetlctripivom :,;! ; Van le,0:1, d'Ams-
d'Kngclhi'eciil.s/, | fr-i. , ' terdam, ci font, de-
son maître. » î""-■ ■ , or'- :, ■ :o m-, v ,,„;•, ,srr. partie de
Y/, , .. , 380? la c 11 i i c c t ; 1 > il de
M . ban il ( iu.Mave
de Rothschild.
« Les succès de • "i^K " ^lIlÉ&s. ^lllll ^^^^^^^» « Lc portrait du
Rembrandt le déci- HBl mai i seul ci si-ne
dent à se fixer jjffiffll: „■ (> ;,'|t ci date de 11A4:
a \ te eterdau! . \ -'! ,' ■ t mraircmcnl
M. Emile Michel WÊËÈ' a Ihe, A d.e \ -Mitaer
s'empresse d'agir WÊÊ qui croit celui delà
ainsi qu'il l'a fait HB femme de 104a,
pour Leyde. Il nous c'est-à-dire posté -
décrit «Amsterdam Wt de nett! ans.
vers 1621 ». Il re- H|- ■; "''."m ; ' ' " ' , V\ ' ^ n"us relisons qu'ils
face ■ son com- 'I,. ,|| ont été peints à la
tne-rce et sa pmv'h- :,, ' ^ ' ■ , ; i . J| même époque, et les
ritc eroissaute , , »' ' ; « V\ ">1 -x%#, , j\ r ^1 âges des deux époux,
dépeint ht trans- ■ | , ^\ /vf*/; ■ ,\ ■". ;U::..,i hAn que le
lor.nation de la il caractère de l'exécu-
vilie-, non. dl; A^ ' ,\ V^\'^ , ,| tion, justifient plei-
« l'esprit de tolérance §|; : neincnt cette opinion
et la charité » de ses iBBS99iS9I^^^^b9ssb9b9|^9|^BHB déjà exprimée par
habitants, et n'oublie jyj_ B0ue. »
surtout ni « le mou- Le Porte-drapeau. J'ai eu l'honneur
vement littéraire », Vers i66a-i664. (Collection du comte de Warwick.) ^e lln des am;s
ni « les arts et le (Rembrandt, sa Vie, son Œuvre et son Temps.) de Vosmaer, qui fut
goût régnant». Puis, une nature d'élite,
et sa mémoire m'est restée trop chère pour que je ne
VII
afin que notre initiation soit complète, il n'a garde d'omettre
de nous introduire dans les « Intérieurs hollandais ».
Tome LV.
rectifie pas ce passage. Vosmaer ne s'est pas trompé. Il ne
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