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L' art: revue hebdomadaire illustrée — 19.1893 (Teil 2)

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https://doi.org/10.11588/diglit.22769#0174

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gente ambition de l'auteur qui, bien décidé à réaliser tout
son plan, a déjà réussi à publier quatre volumes.

II

DCCXXIII

La Vieille France : Normandie. Un volume in-40 de
331 pages. —Bretagne. Un volume in-40 de 336 pages.
— Touraine. Un vo-
lume in-40 de 336 pa- . ;,....... KX^\>c \ Le premier, qui est

ges. — Provence. Un ^SSjjjfc ^consacré à la Norman-
volume in-40 de 3-32 pa- ^itpÈkj. ^$OvW\S die, est dédié à M. Geor-
ges. Texte, Dessins et --Jlf|L !iW>W > ^^Vv\N^ " ges Decaux> en témo'-
Lithographies, par HiIrt^ft ^' ^V^' II gnage de vieille amitié.
A. Robida. Paris, Li- -v^^^^^ll îiiÉL^--ftîà^^^^^'^^ - M' Decaux a été le très
brairie illustrée, 8, rue ~ ''^^il wSl^ ■ -•^ ^ J^^'^'' actif et très habile fon-
Saint-Joseph. ^^S^^^^^llil^ B *sâm dateur de la Librairie

illustrée qu'après de
nombreux succès il a
cédée à une société.

M. Robida ne s'est "^ll^l'! M. Robida entre bril-

point contenté d'illus- '^^^^j|!|j^^^MKl^^^PBi^r^f^I lamment en matière en

trer les Œuvres de Rabe- ^^^^^^^f^^^ÊÊMMI^^^^fi v jj \tk s'attaquant au Mont

lais; sa plume n'est pas s^jM^j^^^^^1 '• "^^Ê^Êm^-"' J'' il I! Saint-Michel dont la

moins infatigable que - ^iS>p&Êtifm I ' \\ description ne comprend

son crayon. C'est un ^^^I^B^WmBH^I If \ pas moins de quatre cha-

vaillant qui ne connaît |g|g % 'jfp||P|^^^% fi pitres. Il quitte alors la

point le repos. s:f'^n^^^^^^^^^l^^^^p^pl [ || merveilleuseabbayepour

Après nous avoir spi- ^| S^^^PPl ILIiJi. . fLr*«s*^ s'arrêter à Avranches, de

rituellement décrit les / y ^Êkx " v "'^^^^ÉL^^^^^P^5^!^' là à Coutances> Saint-

Vieilles Villes d'Italie, t^^^lLv . \ ^^^Éj^fflBK^P^M ffi r| Lô, Valognes et Cher-

les Vieilles Villes de j)i \ fjjfepM^^' , ^jgÉ^^JSj^ffi Jl .8 § ^ bourg, d'où il repart

Suisse etlesVieillesVilles jj, , iilit'pT^SB^A, *^^f^^ÊÊÊm P-^È- §1 , [ )£? pour Domfront, Alen-

d'Espagne, et en avoir J !!'lih .1. f Ij|sS«Ji& çon, Séez, très modeste

I

très habilement croqué f^gU!1* ||!I.V j H Mf\ ville dominée Par une

tous les principaux mo- '^gBÉte^.' \ M)] ! >jh,|^^B^HHpP|1 vaste cathédrale, Morta-

numents, il a donné libre ^^^^^^^fej^ÊÊ gne' LaiSle' Verneuil,

carrière à sa verve et s'est ! Argentan et Falaise,

dépensé sans compter '^^^^^j^r^^^^^ÉÈ^^I^^^pl il[ Jj||f f Caen l'arrête à juste

pour nous offrir coup ' **^^^^ffij|^OT8||^^|| MM W^Ê^l titre trois chapitres du-

sur coup la Grande Mas- 1 5 I^Il^^Cfj^^^^feKv^^PF '' !■''fh' ^^^m^!^^ rant.

carade parisienne, les :^Ê0^ ' I P^^^^^mI^H î'1 ^^^Ê^f^ $ C'est ensuite Bayeux,

Voyages très extraordi- \^^| : 1 ^^^^^^^^^ffi^^plf I| iHf Lisieux, Bernay, Hon-

naires de Saturnin Fa- Ww^^^^^^^^l tk'iir, Lclhiviv. Fécamp.

randoul, le XIX' siècle, I 1^^^^P^^PBj^Éli^^^Pnfll! \ Saint-Valery-en-Caux,

Voyage de M. Dumollet, f^mh's ' 1 '|^|HBH^^^^H WÈ SF ' f M !' Dieppe, Eu et Le Tré-

le XXe siècle, Mesdames ^p^^^ aHjB^^^^^Mj1 '' fil f f port,

nos >iteu/<>s et /a Fïe ip^^ft ^ fjj§jjjfffl ' Bwit—~ | Cinq chapitres suffi-

électrique. ' jjfÊ^^j & '^Êw^' «B^^É^IJl«BP^"" sent à peine à la descrip-

Tout autre, à la suite r~a|^iSMÏ^!ÉO ■R^iÉEl niïHH^=S-i. tion de la capitale nor-

d'un aussi énorme la- H^f^^ ^wl^Bi^Pi' mande; on sait que

beur, se fût empressé de ^fj^j!^^îp^|p|^|^PK Rouen abonde en chefs-

jouir, du moins pendant ^||^>v|||flit \\ WÊÊÊ^Wi' W\W??Ê^1-- d'oeuvre architecturaux

quelque temps, des dou- M^^^^m\ §M | J'^H' UM\^^^^^^^^' cl M. Robida s'en occupe

ceurs du Far-niente. -j^gjjSglÉp W ^^Ê^^S ' - ^ ■ " co« amore en artiste j us-

M. Robida n'y a pas ^^f^^'ljl^ll W^'Jkéë&~- tement passionné.

un seul instant songé. f^W^^^fJ^^^^'"Il _ Jumièges, Caudebec,

L'artiste-homme de ITp^^**'^'^^ • "T^"1'-Louviers, Évreux, le

lettres s'est hâté de re- * Château-Gaillard, Ver-

prendre sa meilleure Morlaix, intérieur d'une maison a lanterne. non et Gisors sont ses

plume et de tailler à (La Bretagne.) dernières étapes avant de

nouveau son crayon et il quitter la Normandie

n'a pas hésité à se lancer seul dans une entreprise bien
autrement vaste que toutes celles qui l'ont absorbé jus-
qu'ici.

Reconstituer toute l'ancienne France, province par
province, la faire revivre sous nos yeux, telle est l'intelli-

pour la Bretagne qui lui est également, à peu près à
chaque page, prétexte à d'innombrables dessins choisis et
rendus de la façon la plus pittoresque.

Il lui suffit de quelques rapides coups de crayon pour
donner de l'accent à ses moindres croquis.
 
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