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258
L'ART.
Esprit de l'Histoire universelle, Histoire de France en
dix volumes et Loi de l'Histoire ; qu'enfin, M. de Strada
s'est révélé poète national en écrivant l'Épopée humaine,
qui ne compte pas moins de quinze volumes, cinq par
Cycle des Civilisations :
La Genèse Universelle, — Les Races, — Le Premier
Roi, — Le Premier Pontife, — Sardanapale ;
Le Peuple de Dieu, — La Pallas des Peuples, — Jésus,
— La Mort des Dieux, — La Mêlée des Races ;
Charlemagne, — Un Bon Roi, — Les Chevaliers du
Peuple, — Abeylard, ■— et Communes et Cours.
Voici ce qu'on lit à la première page de M. Jean-Paul
Clarens :
Je dédie ce Livre
aux Membres de l'Institut de France
en espérant qu'lls comprendront
l'importance et la grandeur
de l'œuvre
de
STRADA
cet incomparable génie
et qu'ils lui rendront enfin justice
Je ne crois pas que l'on puisse se refuser à l'impartial
examen d'un aussi immense labeur; les hommes d'élite
que l'Institut compte parmi ses membres sont infiniment
plus aptes que personne à se prononcer.
Le second volume1 que m'a fait parvenir M. Paul
Ollendorff est de M. de Strada; c'est le tome XI de son
Épopée humaine ; il ouvre le Troisième Cycle des Civili-
sations ; c'est le Premier Drame de la Trilogie des Che-
valiers ; il a pour titre : Charlemagne : la France mère de
i. Jn-18 de x-35î pages.
.l'Europe. Un poème aussi colossal ne se juge pas en
quelques lignes ; je dois me borner à constater que l'auteur
est animé du plus ardent patriotisme et que ses vers
abondent en sentiments élevés.
P. L.
DCCXXXVII
Saint-Nicolas. — Journal illustré pour Garçons et Filles.
« Instruire en amusant!... » Tome Quatorzième, i8a3.
Paris, Librairie Ch. Delagrave, i5, rue Soufflot.
Le Saint-Nicolas continue à être en grande faveur,
grâce à ses nombreuses illustrations et à un texte qui sait
à la fois être toujours moral et divertissant. C'est un de
ces recueils que les parents peuvent, en toute sûreté, lais-
ser aux mains de leurs jeunes enfants. Outre les mérites
primordiaux que nous avons signalés, cette publication se
recommande également par une extrême variété ; les nou-
velles y alternent avec les saynètes, les articles de science
amusante, les contes, les récréations pratiques, les anec-
dotes, etc. Ce quatorzième volume est à louer sans ré-
serves.
La Direction du Saint-Nicolas qui est avide de progrès
a la légitime ambition de vouloir faire mieux encore en
1894. Elle promet dès aujourd'hui à ses jeunes lecteurs de
leur donner, Tan prochain, Un Petit-fils d'Empereur, par
M. Dourliac, avec illustrations dues au talent de M. Adrien
Moreau, et une réjouissante fantaisie romanesque de
M. Jacques Lemaire, accompagnée de dessins de Job.
C'est dire que le petit monde d'abonnés déjà si nombreux
du Saint-Nicolas ne tardera pas à s'augmenter encore.
Alexandre De Latour.
L'ART.
Esprit de l'Histoire universelle, Histoire de France en
dix volumes et Loi de l'Histoire ; qu'enfin, M. de Strada
s'est révélé poète national en écrivant l'Épopée humaine,
qui ne compte pas moins de quinze volumes, cinq par
Cycle des Civilisations :
La Genèse Universelle, — Les Races, — Le Premier
Roi, — Le Premier Pontife, — Sardanapale ;
Le Peuple de Dieu, — La Pallas des Peuples, — Jésus,
— La Mort des Dieux, — La Mêlée des Races ;
Charlemagne, — Un Bon Roi, — Les Chevaliers du
Peuple, — Abeylard, ■— et Communes et Cours.
Voici ce qu'on lit à la première page de M. Jean-Paul
Clarens :
Je dédie ce Livre
aux Membres de l'Institut de France
en espérant qu'lls comprendront
l'importance et la grandeur
de l'œuvre
de
STRADA
cet incomparable génie
et qu'ils lui rendront enfin justice
Je ne crois pas que l'on puisse se refuser à l'impartial
examen d'un aussi immense labeur; les hommes d'élite
que l'Institut compte parmi ses membres sont infiniment
plus aptes que personne à se prononcer.
Le second volume1 que m'a fait parvenir M. Paul
Ollendorff est de M. de Strada; c'est le tome XI de son
Épopée humaine ; il ouvre le Troisième Cycle des Civili-
sations ; c'est le Premier Drame de la Trilogie des Che-
valiers ; il a pour titre : Charlemagne : la France mère de
i. Jn-18 de x-35î pages.
.l'Europe. Un poème aussi colossal ne se juge pas en
quelques lignes ; je dois me borner à constater que l'auteur
est animé du plus ardent patriotisme et que ses vers
abondent en sentiments élevés.
P. L.
DCCXXXVII
Saint-Nicolas. — Journal illustré pour Garçons et Filles.
« Instruire en amusant!... » Tome Quatorzième, i8a3.
Paris, Librairie Ch. Delagrave, i5, rue Soufflot.
Le Saint-Nicolas continue à être en grande faveur,
grâce à ses nombreuses illustrations et à un texte qui sait
à la fois être toujours moral et divertissant. C'est un de
ces recueils que les parents peuvent, en toute sûreté, lais-
ser aux mains de leurs jeunes enfants. Outre les mérites
primordiaux que nous avons signalés, cette publication se
recommande également par une extrême variété ; les nou-
velles y alternent avec les saynètes, les articles de science
amusante, les contes, les récréations pratiques, les anec-
dotes, etc. Ce quatorzième volume est à louer sans ré-
serves.
La Direction du Saint-Nicolas qui est avide de progrès
a la légitime ambition de vouloir faire mieux encore en
1894. Elle promet dès aujourd'hui à ses jeunes lecteurs de
leur donner, Tan prochain, Un Petit-fils d'Empereur, par
M. Dourliac, avec illustrations dues au talent de M. Adrien
Moreau, et une réjouissante fantaisie romanesque de
M. Jacques Lemaire, accompagnée de dessins de Job.
C'est dire que le petit monde d'abonnés déjà si nombreux
du Saint-Nicolas ne tardera pas à s'augmenter encore.
Alexandre De Latour.