DOI Heft:
Notre bibliothèque
DOI Seite / Zitierlink:https://doi.org/10.11588/diglit.22769#0355
NOTRE BIBLIOTHÈQUE. 2g3
donné la physionomie, l'allure qui constituaient une belle | un moment fait oublier ces vilains tableaux, et aussi à
créature à l'époque où il M. Henri Beraldi qui lui a
vivait. Aujourd'hui, l'huma- r" " ~ a/X^'a? ^i^^M^^^^MX^^J^^m^ M'fl^A donné l'occasion de montrer
nilé est, paraît-il, tombée dans '''it^^^^^^M^^^^^^^^^^^^^^^^^^^' une '"ois de plus son très
un état de décrépitude extraor- -«liifP^ P^*^ sympathique talent,
dinaire ; le sexe faible lui- ^Kl, I^^^^S^^^ËS^^^^^^tT Êmile M ol in h ,
même, qui trouvait jadis grâce
devant le crayon des dessina-
tcurs, est devenu d'une laideur ; , '' ' \ <: 'j • j|, , jj , |i j ! Jft&*
surhumaine ci. vraiment. | j fyMQ ' Cam.lle Flammarion. La Fin
nous laisserons après nous PP|^; V''] ^ W>^^\ MohoV. Illustrations
de tristes documents. Est-ce . Ji^l II '-^IBB^ /p par Jean-Paul Laurens,
que nos caricaturistes ordi- iB^fbJMp^ -ISRSS Rochegrosse, E. Bavard,
naires seraient plus littéra- ^^T^^^^^^^^Rf^f^^^S^^ Robida, P. Laurens,
teurs, et littérateurs surtout gj^ 'K$^j$È$Schwabe, Granet, Saunier,
tristes, que dessinateurs? Je ^I^M Merwart, Vogel, Bach,
le crains et je les plains sin- ' Y'IPlfA 1 'If \ Guillonnet, Rudaux,Myr-
cèrement. Ils se sont privés 'r^Vi, ' bach, Amédée Baldo, Cho-
d'une grande joie, celle qu'en- . vin. Gravure par Méaulle.
gendre le rire, et l'ont rem- & /' Jdg^^SîrW " ff /fpL -En Famille, par Hector
placée par une affectation de Y^fc^^^^^ 71 ~ / Malot. Illustrations de
pessimisme qui pourrait bien '\l\ IL " //,f ' / L^os. - Un Peintre de
être de commande, car enfin, A. f ' |J ■'] / H ~ l&Xs Chats : Madame Henriette
aujourd'hui comme hier, plus \\\ Y^^^VMjl " donner, par Henry Havard.
qu'hier peut-être, on ne se . ih \\ / '] \ / $ . v , Nouvelle édition. Paris,
fait pas faute de se donner \' ' l -X\ l \ \^'»> Ernest Flammarion, édi-
du bon temps ; et les carica- \ teUFi ^ rue Racine.
turistes eux-mêmes ne sont
point, dans l'intimité, si pes- u--1— On sait le très-vif succès
simistes et si moroses. Un Un Matin d'exécution. obtenu par la publication de
peu de gaieté, s'il vous plaît, Dessin de Pierre Vidal. grand luxe consacrée par
et un peu plus de sincérité notre éminent confrère
aussi. Tous nos remerciements à Pierre Vidal qui nous a | M. Henry Havard au talent de l'excellente artiste néer-
Etude de ch a t s, par M°" Henriette Ronner.
landaise Mmc Henriette Ronner; nous félicitons chaleu- | reusement l'intelligent éditeur Flammarion de s'être décidé
Tome LV. ^
donné la physionomie, l'allure qui constituaient une belle | un moment fait oublier ces vilains tableaux, et aussi à
créature à l'époque où il M. Henri Beraldi qui lui a
vivait. Aujourd'hui, l'huma- r" " ~ a/X^'a? ^i^^M^^^^MX^^J^^m^ M'fl^A donné l'occasion de montrer
nilé est, paraît-il, tombée dans '''it^^^^^^M^^^^^^^^^^^^^^^^^^^' une '"ois de plus son très
un état de décrépitude extraor- -«liifP^ P^*^ sympathique talent,
dinaire ; le sexe faible lui- ^Kl, I^^^^S^^^ËS^^^^^^tT Êmile M ol in h ,
même, qui trouvait jadis grâce
devant le crayon des dessina-
tcurs, est devenu d'une laideur ; , '' ' \ <: 'j • j|, , jj , |i j ! Jft&*
surhumaine ci. vraiment. | j fyMQ ' Cam.lle Flammarion. La Fin
nous laisserons après nous PP|^; V''] ^ W>^^\ MohoV. Illustrations
de tristes documents. Est-ce . Ji^l II '-^IBB^ /p par Jean-Paul Laurens,
que nos caricaturistes ordi- iB^fbJMp^ -ISRSS Rochegrosse, E. Bavard,
naires seraient plus littéra- ^^T^^^^^^^^Rf^f^^^S^^ Robida, P. Laurens,
teurs, et littérateurs surtout gj^ 'K$^j$È$Schwabe, Granet, Saunier,
tristes, que dessinateurs? Je ^I^M Merwart, Vogel, Bach,
le crains et je les plains sin- ' Y'IPlfA 1 'If \ Guillonnet, Rudaux,Myr-
cèrement. Ils se sont privés 'r^Vi, ' bach, Amédée Baldo, Cho-
d'une grande joie, celle qu'en- . vin. Gravure par Méaulle.
gendre le rire, et l'ont rem- & /' Jdg^^SîrW " ff /fpL -En Famille, par Hector
placée par une affectation de Y^fc^^^^^ 71 ~ / Malot. Illustrations de
pessimisme qui pourrait bien '\l\ IL " //,f ' / L^os. - Un Peintre de
être de commande, car enfin, A. f ' |J ■'] / H ~ l&Xs Chats : Madame Henriette
aujourd'hui comme hier, plus \\\ Y^^^VMjl " donner, par Henry Havard.
qu'hier peut-être, on ne se . ih \\ / '] \ / $ . v , Nouvelle édition. Paris,
fait pas faute de se donner \' ' l -X\ l \ \^'»> Ernest Flammarion, édi-
du bon temps ; et les carica- \ teUFi ^ rue Racine.
turistes eux-mêmes ne sont
point, dans l'intimité, si pes- u--1— On sait le très-vif succès
simistes et si moroses. Un Un Matin d'exécution. obtenu par la publication de
peu de gaieté, s'il vous plaît, Dessin de Pierre Vidal. grand luxe consacrée par
et un peu plus de sincérité notre éminent confrère
aussi. Tous nos remerciements à Pierre Vidal qui nous a | M. Henry Havard au talent de l'excellente artiste néer-
Etude de ch a t s, par M°" Henriette Ronner.
landaise Mmc Henriette Ronner; nous félicitons chaleu- | reusement l'intelligent éditeur Flammarion de s'être décidé
Tome LV. ^