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Bibliographie
DOI Seite / Zitierlink: https://doi.org/10.11588/diglit.25357#0080
— 72 -
BIBLIOGRAPHIE
38. Adamy (D r R.). Einführung in die
Antike Kunstgechichte. Hanovre, 1884,
Heiwing, in 8°, 194 pp., fig.
39. Audsley ( W. et G.). Die dekorative
Wandmalerei des Mittelalters. Deutsche
Ausgabe von G. Vogel; livraisons 1-5.
Stuttgart, Heff, 1883-1884, in-folio.
40. Bargès (Abbé J.-J.-L.). Notice sur
les antiquités de Belcodène (ancien castrum
de Bolcodenis, Bouches-du-Rhône). Paris,
Leroux, 1883,in-4°.
41. Baudot (A. de). La sculpture fran-
çaise au Moyen-Age et à la Renaissance.
2 e édition, Paris, Morel, 1883, 120 pl.
in-folio.
42. Bigot (C.). Rapliaël et la Farnésine.
Paris, Quantin, in-4°, 135 p. et 15
planches. (Extrait de la Gazette des Beaux-
Arts. )
43. Bouchot (Henri). Les portraits aux
crayons des xvi e et xvn e siècles , conservés
à la Bibliothèque Nationale (1525-1646).
Notice, Catalogue et Appendice, avec deux
portraits en fac-simile. Paris, Oudin,
1884, in-8°, 412 p.
Ce volume n'est pas seulement un catalogue des
portraits souvent fort beaux, toujours curieux que
possède la Bibliothèque Nationale. L’introduction
qui occupe plus du quart de l’ouvrage est une véri-
table histoire raisonnèe des collections de portraits
qui furent si longtemps de mode. Cataloguer ces
portraits était par cela même refaire l'iconographie
des personnages de plus d’un siècle ; et de l’étude de
de oes portraits à la recherche des artistes qui les
ont dessinés, il n’y avait qu'un pas que devait néces-
sairement franchir l'auteur du catalogue. Si le côté
iconographique est intéressant, le côté artistique
î’est encore plus. Certes, il n'était pasaisé de recon-
naître la manière des différents artistes, au milieu
de centaines de portraits, dont quelques-uns sont
quelquefois fort médiocres. Jusqu'ici, on s'était con-
tenté d’attribuer les plus anciens à Janet Clouet ; il
faut beaucoup en rabattre, et M. Bouchot n'en a pas
découvert un seul que l’on puisse authentiquement
attribuer à ce maître ; la plupart des autres attribu-
tions sont aussi peu fondées, et si M. Bouchot n’a
pas toujours pu remplacer ces aftirmations quelque
peu téméraires par de nouvelles hypothèses, il n’en
a pas moins rendu un réel service en faisant clispa-
raitre de nombreuses erreurs. Son étude ne s'est
pas bornée aux dessins de la Bibliothèque Nationale •
ies recueilsdu Louvre, de la Bibliothèque Sainte-
Geneviève, d’Aix, d’Arras, de Chantilly, de Castle
Howard, de la Bibliothèque des Arts et Métiers et
de diverses collections particulières ont encore été
catalogués par lui. On peut donc considérer ce travail
comme très complet et sa publication est un réel ser-
vice rendu aux archéologues et à ceux qui étudient
l’histoire du xvi” siècle. II serait à désirer que plu-
sieurs séries du Cabmet des Estampes possédassent
de semblables répertoires, et nous souhaitons que
M. Bouchot nous donne bientôt un catalogue des
portefeuilles de Gaignières aussi soigné que l’est
son livre sur les portraits aux crayons.
44. Catalogue des sculptures apparte-
nant aux divers centres d’art etaux diverses
époques exposées dans les galeries du Tro-
cadéro. Paris, 1883, in-8°.
Simple nomenclature sans prétention scientifique,
et qui n’est point exempte d’erreurs.
45. Colfs (J.-F.). La filiation généalo-
gique de toutes les écoles gothiques ; tomes
I et II. Bruxelles, Polleunis; Paris, Bau-
dry, 1884, in-8°.
46. CON&RÈS ARCHÉOLOGIQUE DE FRANCE.
XLIX° session. Séances générales tenues
à Avignonen 1882 par laSociété française
d’archéologie pour la conservation et la
description des monuments. Paris, Cham-
pion, Tours, Bousrez, 1883, in-8°, 626 p.,
figures.
Nous ne disposons pas ici de l'espace néces-
saire pour apprécier comme il conviendrait tous
les mémoires contenus dans ce volume. Le con-
grès archéologique tenu à Avignon offre d'autant
plus d'intérôt que le plus grand nombre des com-
munications qui y ont_ été faites se rapportent
presque exclusivement à Avignon ou à la région
d'Avignon; on y trouve donc un recueil de disserta-
tions et de textes fort précieux sur un seul pays, et
entendue de la sorte, l’œuvre que la Societé fran-
çaise d'archéologie poursuit depuis si longtemps
doit donner d'excellents résultats; on ne peut qu’en
féliciter son directeur, M, Léon Palustre. Voici la
BIBLIOGRAPHIE
38. Adamy (D r R.). Einführung in die
Antike Kunstgechichte. Hanovre, 1884,
Heiwing, in 8°, 194 pp., fig.
39. Audsley ( W. et G.). Die dekorative
Wandmalerei des Mittelalters. Deutsche
Ausgabe von G. Vogel; livraisons 1-5.
Stuttgart, Heff, 1883-1884, in-folio.
40. Bargès (Abbé J.-J.-L.). Notice sur
les antiquités de Belcodène (ancien castrum
de Bolcodenis, Bouches-du-Rhône). Paris,
Leroux, 1883,in-4°.
41. Baudot (A. de). La sculpture fran-
çaise au Moyen-Age et à la Renaissance.
2 e édition, Paris, Morel, 1883, 120 pl.
in-folio.
42. Bigot (C.). Rapliaël et la Farnésine.
Paris, Quantin, in-4°, 135 p. et 15
planches. (Extrait de la Gazette des Beaux-
Arts. )
43. Bouchot (Henri). Les portraits aux
crayons des xvi e et xvn e siècles , conservés
à la Bibliothèque Nationale (1525-1646).
Notice, Catalogue et Appendice, avec deux
portraits en fac-simile. Paris, Oudin,
1884, in-8°, 412 p.
Ce volume n'est pas seulement un catalogue des
portraits souvent fort beaux, toujours curieux que
possède la Bibliothèque Nationale. L’introduction
qui occupe plus du quart de l’ouvrage est une véri-
table histoire raisonnèe des collections de portraits
qui furent si longtemps de mode. Cataloguer ces
portraits était par cela même refaire l'iconographie
des personnages de plus d’un siècle ; et de l’étude de
de oes portraits à la recherche des artistes qui les
ont dessinés, il n’y avait qu'un pas que devait néces-
sairement franchir l'auteur du catalogue. Si le côté
iconographique est intéressant, le côté artistique
î’est encore plus. Certes, il n'était pasaisé de recon-
naître la manière des différents artistes, au milieu
de centaines de portraits, dont quelques-uns sont
quelquefois fort médiocres. Jusqu'ici, on s'était con-
tenté d’attribuer les plus anciens à Janet Clouet ; il
faut beaucoup en rabattre, et M. Bouchot n'en a pas
découvert un seul que l’on puisse authentiquement
attribuer à ce maître ; la plupart des autres attribu-
tions sont aussi peu fondées, et si M. Bouchot n’a
pas toujours pu remplacer ces aftirmations quelque
peu téméraires par de nouvelles hypothèses, il n’en
a pas moins rendu un réel service en faisant clispa-
raitre de nombreuses erreurs. Son étude ne s'est
pas bornée aux dessins de la Bibliothèque Nationale •
ies recueilsdu Louvre, de la Bibliothèque Sainte-
Geneviève, d’Aix, d’Arras, de Chantilly, de Castle
Howard, de la Bibliothèque des Arts et Métiers et
de diverses collections particulières ont encore été
catalogués par lui. On peut donc considérer ce travail
comme très complet et sa publication est un réel ser-
vice rendu aux archéologues et à ceux qui étudient
l’histoire du xvi” siècle. II serait à désirer que plu-
sieurs séries du Cabmet des Estampes possédassent
de semblables répertoires, et nous souhaitons que
M. Bouchot nous donne bientôt un catalogue des
portefeuilles de Gaignières aussi soigné que l’est
son livre sur les portraits aux crayons.
44. Catalogue des sculptures apparte-
nant aux divers centres d’art etaux diverses
époques exposées dans les galeries du Tro-
cadéro. Paris, 1883, in-8°.
Simple nomenclature sans prétention scientifique,
et qui n’est point exempte d’erreurs.
45. Colfs (J.-F.). La filiation généalo-
gique de toutes les écoles gothiques ; tomes
I et II. Bruxelles, Polleunis; Paris, Bau-
dry, 1884, in-8°.
46. CON&RÈS ARCHÉOLOGIQUE DE FRANCE.
XLIX° session. Séances générales tenues
à Avignonen 1882 par laSociété française
d’archéologie pour la conservation et la
description des monuments. Paris, Cham-
pion, Tours, Bousrez, 1883, in-8°, 626 p.,
figures.
Nous ne disposons pas ici de l'espace néces-
saire pour apprécier comme il conviendrait tous
les mémoires contenus dans ce volume. Le con-
grès archéologique tenu à Avignon offre d'autant
plus d'intérôt que le plus grand nombre des com-
munications qui y ont_ été faites se rapportent
presque exclusivement à Avignon ou à la région
d'Avignon; on y trouve donc un recueil de disserta-
tions et de textes fort précieux sur un seul pays, et
entendue de la sorte, l’œuvre que la Societé fran-
çaise d'archéologie poursuit depuis si longtemps
doit donner d'excellents résultats; on ne peut qu’en
féliciter son directeur, M, Léon Palustre. Voici la