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Journal de la marbrerie et de l'art décoratif: bimensuel — 1.1903-1904 (Nr. 1-28)

DOI Heft:
Nr. 28 (16 Décembre 1904)
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La loi Rabier, [2]
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https://doi.org/10.11588/diglit.17192#0229

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rien, sans avoir consulté ni le public, ni les
Chambres de commerce, ni personne que les
compagnies. On cria, on tempêta, on menaça
d'interpeller, et vingt jours après la date de
mise en vigueur, le ministre sauva son porte-
feuille en sacrifiant son directeur des chemins
de fer et en annulant l'arrêté.

Un comité consultatif qui commet des
règlements comme celui des frais accessoires
de 1898 est suspect aux yeux de tous les gens
sérieux Le Bulletin des Transports peut bien

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merce à désapprouver le projet Rabier et
à applaudir à la solution du comité consultatit
des chemins de fer. Il montre que la plus
importante et la plus bruyante de toutes, la
Chambre de commerce de Paris, est présidée
par un administrateur de la Compagnie de
l'Ouest.

Non, voyez-vous, ce seraitftrop naïf, si les
Chambres de commerce, qui représentent le
commerce et le public, émettaient sans
duperie dos vœux contraires à l'intérêt du

Buste de Marie-Antoinette
n° 4<x>3, hauteur 0.70

Gaine no 1008
hauteur 1.20

Buste romain

no 4004
hauteur 1.60

Buste romain

no 4006
hauteur r.72

Buste romain

n 4006
hauteur 1.70

Buste romain

n 4007
hauteur 1.75

Y oh' les prix page 436.

Vase n° 1215
diamètre o.65 — hauteur o.55

gaine n" 1009
hauteur r.3o

rechercher pourquoi les décisions de ces fonc-
tionnaires compétents, mais trop généreux,
sont toujours favorables aux compagnies;
pour nous, nous les récusons purement et
simplement, et pour cause!

De même, le Bulletin des 'Transports
démontre les raisons d'intérêts personnels
qui ont poussé certaines Chambres de com-

public et du commerce. Chacun comprend
que ces vœux contre nature en faveur des
compagnies sont inspirés par des intérêts
personnels qui n'ont rien à voir avec l'intérêt
général.

Nous trouvons aussi peu intéressant de
demander l'avis des Chambres de commerce
que de demander celui des compagnies et du
 
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