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https://doi.org/10.11588/diglit.18961#0061
CHAP. II. CAS DES RAYONS LUMINEUX PARALLÈLES. 43
allongé clans le sens de sa hauteur 3 2,.0 de la base d'une colonne
Ionique • 3.° d'une pile pyramidale de quatre sphères égales , en
contact les unes avec les autres ; 4-° enfin, d'un comble et de ses
cheminées.
CHAPITRE III.
Considérations pratiques4
79. ous ayons fait remarquer n.° 18, que le cas où les rayons
lumineux sont parallèles, est celui des rayons solaires 5 or, ce cas
est tellement usuel, que dans l'Architecture on n'en employé pres-
que jamais d'autre : il convient donc d'examiner ici avec un peu
de soin les usages et les procédés que les praticiens ont adoptés.
Ces usages et ces procédés dérivent du choix du rayon lumineux.
Dans le chap. 2, nous avons supposé ce choix arbitraire, et cela
était d'autant mieux fondé, que les rayons solaires ayant à la
surface du globe terrestre, toutes les inclinaisons possibles avec le
plan horisontal, on peut toujours trouver une infinité de lieux,
où, à deux momens du jour, le rayon solaire soit celui qu'on
a choisi ; mais sans compter que ce n'est qu'entre les tropiques
qu'on peut avoir des rayons verticaux, il y a des motifs pour ne
pas choisir tout-à-fait arbitrairement la direction du rayon de lu-
mière qui éclaire un dessin.
Nous allons d'abord exposer ces motifs, et nous nous occuperons
ensuite des simplifications qu'éprouve la recherche des ombres,
selon la direction du rayon lumineux que l'usage et la pratique
font adopter.
80. Lorsqu'on veut examiner avec attention un objet portatif,
tel que le modèle en petit d'un monument, on ne se place pas
de façon que la lumière vienne en arrière du modèle, parce qu'elle
mettrait dans l'ombre, celles de ses parties qui se présentent à
allongé clans le sens de sa hauteur 3 2,.0 de la base d'une colonne
Ionique • 3.° d'une pile pyramidale de quatre sphères égales , en
contact les unes avec les autres ; 4-° enfin, d'un comble et de ses
cheminées.
CHAPITRE III.
Considérations pratiques4
79. ous ayons fait remarquer n.° 18, que le cas où les rayons
lumineux sont parallèles, est celui des rayons solaires 5 or, ce cas
est tellement usuel, que dans l'Architecture on n'en employé pres-
que jamais d'autre : il convient donc d'examiner ici avec un peu
de soin les usages et les procédés que les praticiens ont adoptés.
Ces usages et ces procédés dérivent du choix du rayon lumineux.
Dans le chap. 2, nous avons supposé ce choix arbitraire, et cela
était d'autant mieux fondé, que les rayons solaires ayant à la
surface du globe terrestre, toutes les inclinaisons possibles avec le
plan horisontal, on peut toujours trouver une infinité de lieux,
où, à deux momens du jour, le rayon solaire soit celui qu'on
a choisi ; mais sans compter que ce n'est qu'entre les tropiques
qu'on peut avoir des rayons verticaux, il y a des motifs pour ne
pas choisir tout-à-fait arbitrairement la direction du rayon de lu-
mière qui éclaire un dessin.
Nous allons d'abord exposer ces motifs, et nous nous occuperons
ensuite des simplifications qu'éprouve la recherche des ombres,
selon la direction du rayon lumineux que l'usage et la pratique
font adopter.
80. Lorsqu'on veut examiner avec attention un objet portatif,
tel que le modèle en petit d'un monument, on ne se place pas
de façon que la lumière vienne en arrière du modèle, parce qu'elle
mettrait dans l'ombre, celles de ses parties qui se présentent à