I72 MÉMOIRE SUR LE MEQYAS
premier, ^., les lettres *» Djym, *- Ha et f* Kha; et le second, ^jji, les
lettres w, Jy;/ et Ji- Chyn. Ce mot pourroit donc former les six combinaisons
suivantes :
^e- Dj-M-S, ^^-H-M-S, ^i-KH-M-S,
JL«r Dj-M-Ch, JLp- H-M-Ch, JJ^ Kh-M-Ch.
Cependant il ne peut se former ici d'équivoque, parce que les mots formes par les
combinaisons ci-dessus ne présentent aucun sens raisonnable, excepté seulement la
cinquième combinaison {y^- khams.; et l'on ne peut alors, en réunissant ce
mot aux deux précédens, donner à l'inscription entière d'autre sens que celui de
lp)ô qjZ^c .♦*<■«?" khams a'citerait derâa'n, QUINZIEME COUDÉE.
Il faut observer ici que la forme du Kha j^ est mal rendue dans la gravure, où
le trait diagonal supérieur, traversant mai-à-propos la ligne horizontale, à laquelle
il devoit s'arrêter, se présente de cette manière jç.. Je l'ai rétablie dans la copie
ci-dessus, telle que l'inscription doit la présenter.
CHAPITRE II.
Inscriptions de la seconde Epoque du Meqyâs.
Les inscriptions qui ont rapport à la seconde époque du Meqyâs, sont au
nombre de sept : la première se trouve au-dessus de l'entrée de l'aqueduc, dans l'in-
térieur du bassin; quatre autres sont placées au-dessus des quatre arcades latérales;
les deux autres couvrent la frise de deux faces du bassin, du côté oriental et du
côté septentrional : ces six dernières ne renferment que des versets du Qorân
relatifs à l'inondation du Nil.
Je vais donner la transcription et la traduction de ces inscriptions, suivant
l'ordre dans lequel je viens de les indiquer.
% I." '"■'•'-.
Inscription Koufique au-dessus de l'entrée de l'aqueduc, à l'intérieur.
Cette inscription est placée, comme nous l'avons dit ci-dessus (1), dans l'in-
térieur de l'arcade latérale de la face de l'orient, au-dessus de l'extrémité inté-
rieure du canal supérieur qui donne l'entrée du bassin à l'eau du Nil. Ses carac-
tères ont 5 pouces [135 millimètres] de proportion en hauteur, sur 8 lignes
[ 18 millimètres ] d'épaisseur.
Elle ne renferme que la sentence suivante, qui est tirée du verset 37 de la
xvm.e sourate, intitulée Sourat elKahf Cs^ ' ç)y [ Chapitre de la Caverne] (2):
(1) Page 123. neIuiendonnentquecentcinq;et,suivantBeydâouy, elle
(2) Donnée à la Mekke , excepté la phrase suivante : en a cent onze.Cette sourate est ainsi intitulée parce que
cJi_alîj «ta—du p—sj êy^ix* qjo___Jf fcîLAJ->A«»tj Mahometyfaitmentiondeplusieursenfansquis'étoientrc-
« Montre de la patience envers ceux qui invoquent leur tirés dans une caverne pour conserver ieurfoi. Cette fable
» Seigneur matin et soir. » Elle contient cent dix versets, a beaucoup de rapport avec l'histoire des sept dormans
suivant l'édition d'Hinckelman; les exemplaires Koufiques d'Ephèse, rapportée dans nos anciennes légendes.
premier, ^., les lettres *» Djym, *- Ha et f* Kha; et le second, ^jji, les
lettres w, Jy;/ et Ji- Chyn. Ce mot pourroit donc former les six combinaisons
suivantes :
^e- Dj-M-S, ^^-H-M-S, ^i-KH-M-S,
JL«r Dj-M-Ch, JLp- H-M-Ch, JJ^ Kh-M-Ch.
Cependant il ne peut se former ici d'équivoque, parce que les mots formes par les
combinaisons ci-dessus ne présentent aucun sens raisonnable, excepté seulement la
cinquième combinaison {y^- khams.; et l'on ne peut alors, en réunissant ce
mot aux deux précédens, donner à l'inscription entière d'autre sens que celui de
lp)ô qjZ^c .♦*<■«?" khams a'citerait derâa'n, QUINZIEME COUDÉE.
Il faut observer ici que la forme du Kha j^ est mal rendue dans la gravure, où
le trait diagonal supérieur, traversant mai-à-propos la ligne horizontale, à laquelle
il devoit s'arrêter, se présente de cette manière jç.. Je l'ai rétablie dans la copie
ci-dessus, telle que l'inscription doit la présenter.
CHAPITRE II.
Inscriptions de la seconde Epoque du Meqyâs.
Les inscriptions qui ont rapport à la seconde époque du Meqyâs, sont au
nombre de sept : la première se trouve au-dessus de l'entrée de l'aqueduc, dans l'in-
térieur du bassin; quatre autres sont placées au-dessus des quatre arcades latérales;
les deux autres couvrent la frise de deux faces du bassin, du côté oriental et du
côté septentrional : ces six dernières ne renferment que des versets du Qorân
relatifs à l'inondation du Nil.
Je vais donner la transcription et la traduction de ces inscriptions, suivant
l'ordre dans lequel je viens de les indiquer.
% I." '"■'•'-.
Inscription Koufique au-dessus de l'entrée de l'aqueduc, à l'intérieur.
Cette inscription est placée, comme nous l'avons dit ci-dessus (1), dans l'in-
térieur de l'arcade latérale de la face de l'orient, au-dessus de l'extrémité inté-
rieure du canal supérieur qui donne l'entrée du bassin à l'eau du Nil. Ses carac-
tères ont 5 pouces [135 millimètres] de proportion en hauteur, sur 8 lignes
[ 18 millimètres ] d'épaisseur.
Elle ne renferme que la sentence suivante, qui est tirée du verset 37 de la
xvm.e sourate, intitulée Sourat elKahf Cs^ ' ç)y [ Chapitre de la Caverne] (2):
(1) Page 123. neIuiendonnentquecentcinq;et,suivantBeydâouy, elle
(2) Donnée à la Mekke , excepté la phrase suivante : en a cent onze.Cette sourate est ainsi intitulée parce que
cJi_alîj «ta—du p—sj êy^ix* qjo___Jf fcîLAJ->A«»tj Mahometyfaitmentiondeplusieursenfansquis'étoientrc-
« Montre de la patience envers ceux qui invoquent leur tirés dans une caverne pour conserver ieurfoi. Cette fable
» Seigneur matin et soir. » Elle contient cent dix versets, a beaucoup de rapport avec l'histoire des sept dormans
suivant l'édition d'Hinckelman; les exemplaires Koufiques d'Ephèse, rapportée dans nos anciennes légendes.