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matière naturelle, et moins
encore artificielle, n'atteint.
Mais son prix est-il en
rapport avec la diminution
de plus en plus marquée de
son emploi ? Peut-il être
remplacé par une matière
similaire ? L'est-il ? A cela
nous répondrons de la façon
la plus négative.
Restent trois raisons pri-
mordiales pour lesquelles le
marbre est négligé dans
les décorations extérieures :
1° car sa valeur est trop
souvent ignorée des archi-
tectes, et le Journal de la
Marbrerie veut combler' une
lacune à cet égard ; 2° car
PETITES NOUVELLES
L'honorable admi-
nistrateur délégué delà
Société française du
Carborandum (usi-
nes à La Batliie, Savoie)
nous fait très aimable-
ment savoir que, sans
nier que le brevet alle-
mand du Carborandum
soit tombé dans le do-
maine public après 12
années de validité, le
brevet français a encore
toute sa valeur et qu'il
désire profiter de tous
les avantages du dit
brevet.
Il nous annonce éga-
lement que l'usine de
La Batliie peut actuel-
lement fabriquer 1,000
kilogr. de Carboran-
dum par jour et exé-
cuter toutes comman-
des de meules dans les
délais nécessaires à la
fabrication, soit 3 mois
environ.
Toutefois les dimen-
sions courantes existe-
raient en stock.
Nous reviendrons sur
cette question après
étude approfondie.
les marbriers, en général,
somnolent ; 3° car,en dehors
du prix du marbre sortant
de l'usine et fraîchement
posé, le coût de son entre-
tien effraye.
Il suffira d'un mouvement
pour faire tomber les deux
premières raisons : d'une
part, l'extension des] con-
naissances pratiques [pour
les architectes; d'autre
part... les événements qui
forceront les marbriers à se x- 1210 (voir prix p. 126)
réveiller.
Reste la question de l'entretien des mar-
bres servant à la décoration extérieure.
Comme nousTavons promis à nos lecteurs,
nous étudierons a fond cette dernière question.
A. Chambon, architecte.
Couloir de -l'Hôtel Métropole.
matière naturelle, et moins
encore artificielle, n'atteint.
Mais son prix est-il en
rapport avec la diminution
de plus en plus marquée de
son emploi ? Peut-il être
remplacé par une matière
similaire ? L'est-il ? A cela
nous répondrons de la façon
la plus négative.
Restent trois raisons pri-
mordiales pour lesquelles le
marbre est négligé dans
les décorations extérieures :
1° car sa valeur est trop
souvent ignorée des archi-
tectes, et le Journal de la
Marbrerie veut combler' une
lacune à cet égard ; 2° car
PETITES NOUVELLES
L'honorable admi-
nistrateur délégué delà
Société française du
Carborandum (usi-
nes à La Batliie, Savoie)
nous fait très aimable-
ment savoir que, sans
nier que le brevet alle-
mand du Carborandum
soit tombé dans le do-
maine public après 12
années de validité, le
brevet français a encore
toute sa valeur et qu'il
désire profiter de tous
les avantages du dit
brevet.
Il nous annonce éga-
lement que l'usine de
La Batliie peut actuel-
lement fabriquer 1,000
kilogr. de Carboran-
dum par jour et exé-
cuter toutes comman-
des de meules dans les
délais nécessaires à la
fabrication, soit 3 mois
environ.
Toutefois les dimen-
sions courantes existe-
raient en stock.
Nous reviendrons sur
cette question après
étude approfondie.
les marbriers, en général,
somnolent ; 3° car,en dehors
du prix du marbre sortant
de l'usine et fraîchement
posé, le coût de son entre-
tien effraye.
Il suffira d'un mouvement
pour faire tomber les deux
premières raisons : d'une
part, l'extension des] con-
naissances pratiques [pour
les architectes; d'autre
part... les événements qui
forceront les marbriers à se x- 1210 (voir prix p. 126)
réveiller.
Reste la question de l'entretien des mar-
bres servant à la décoration extérieure.
Comme nousTavons promis à nos lecteurs,
nous étudierons a fond cette dernière question.
A. Chambon, architecte.
Couloir de -l'Hôtel Métropole.