DOI Heft:
Nr. 4
DOI Artikel:Dimier, Louis: Un tableau prèsumé de Herman van der Mast
DOI Artikel:Brom, Jan: Een zilveren wierookvat ontworpen door Martin Schongauer
DOI Seite / Zitierlink: https://doi.org/10.11588/diglit.17411#0153
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Troisïème personnage ; figure de femme.
C'est Marguerite de Lorraine-Mercóeur, soeur de la reine Louise et
Duchesse de Joyeuse. Le crayon original, non identifié encore, et maintenu
anonyme, au Cabinet des Estampes de Paris, recueil Na 23a, anc. no. 95.
Gravé par Thomas de Leu, avec 1'inscription du nora de la princesse.
Quatrihne personnage \ Catherine de Médicis.
Ce visage est copié sur un crayon original du Cabinet des Estampes,
le dernier en date qu'on ait tiré de la reine, boite II, anc. no. 33. Souvent
reproduit est miniature, le Louvre en garde un exemplaire a 1'huile,
no. 1030. Le même dans le petit Bal du rnême musée, no. 1035.
Cinquieme personnage ; figure d'homme.
C'est Anne Duc de Joyeuse. Le crayon original au Cabinet des
Estampes de Paris. II est reproduit dans un mauvais portrait équestre du
duc a Versailles, no. 3265. Une estampe de Thomas de Leu.
Telles sont les sources dont émanent le cinq portraits qui entrent dans
ce présumé van der Mast. Leur mention termine cc sujet. Oütre llntérêt
qu'elles offrent dans le cas particulier, peut-être auront elles encore eet
avantage, venant a propos d un maïtre hollandais, d'èclairer la critique
étrangère sur les conditions originales qui gouvernent en France une peinture
de cctte sorte, et qui ne se présentent point ailleurs avec cctte généralité.
P.S. Dans un article public ici même sur le Portrait des trots Coligny au
musée de La Haye, j'ai avancé que ce portrait, tiré de 1'estampe de Mare
Duval, avec changement du visage du cardinal de Chatillon, avait été
réglé pour ce visage sur un portrait du chateau de Chantilly, n°. 261.
L'exposition des Primitifs Francais vient d'être 1'occasion de reconnaitre
mon erreur sur ce point particulier. Le portrait du cardinal dans le tablean
de La Ha)'e n'est pas refait sur le portrait de Chantilly, mais sur un portrait
du musée d'Avignon, qui porte dans cette exposition le n°. 172.
Quoique Terreur que je corrige suppose une confusion possible entre
ces deux portraits, cependant un oeil averti les distingue, et ne risquera
plus de les prendre 1'un pour 1'autre.
J'ajoute que le portrait d'Avignon est répété en grand dans la collection
des Offices de Florence, qui le conserve sous 1'anonyme, n°. 191.
L. Dimier.
Een zilveren wierookvat ontworpen door Martin Schongauer.
Met nevenstaande afbeelding 2) zij de aandacht der leden van den
Oudheidkundigen Bond gevestigd op een zilveren wierookvat dat eertijds
behoorde aan de R. K. Parochiekerk te Edam, doch korten tijd geleden
voor de som van 2500 gulden in eigendom is overgegaan aan Z. D. H.
Mgr. A. J. Callier. Toen er gevaar bleek dat kooplieden ons dit
1) Bulletin iv, p. 20—22,
2) Naar eene opname door Mej. Arna. Brom.
Troisïème personnage ; figure de femme.
C'est Marguerite de Lorraine-Mercóeur, soeur de la reine Louise et
Duchesse de Joyeuse. Le crayon original, non identifié encore, et maintenu
anonyme, au Cabinet des Estampes de Paris, recueil Na 23a, anc. no. 95.
Gravé par Thomas de Leu, avec 1'inscription du nora de la princesse.
Quatrihne personnage \ Catherine de Médicis.
Ce visage est copié sur un crayon original du Cabinet des Estampes,
le dernier en date qu'on ait tiré de la reine, boite II, anc. no. 33. Souvent
reproduit est miniature, le Louvre en garde un exemplaire a 1'huile,
no. 1030. Le même dans le petit Bal du rnême musée, no. 1035.
Cinquieme personnage ; figure d'homme.
C'est Anne Duc de Joyeuse. Le crayon original au Cabinet des
Estampes de Paris. II est reproduit dans un mauvais portrait équestre du
duc a Versailles, no. 3265. Une estampe de Thomas de Leu.
Telles sont les sources dont émanent le cinq portraits qui entrent dans
ce présumé van der Mast. Leur mention termine cc sujet. Oütre llntérêt
qu'elles offrent dans le cas particulier, peut-être auront elles encore eet
avantage, venant a propos d un maïtre hollandais, d'èclairer la critique
étrangère sur les conditions originales qui gouvernent en France une peinture
de cctte sorte, et qui ne se présentent point ailleurs avec cctte généralité.
P.S. Dans un article public ici même sur le Portrait des trots Coligny au
musée de La Haye, j'ai avancé que ce portrait, tiré de 1'estampe de Mare
Duval, avec changement du visage du cardinal de Chatillon, avait été
réglé pour ce visage sur un portrait du chateau de Chantilly, n°. 261.
L'exposition des Primitifs Francais vient d'être 1'occasion de reconnaitre
mon erreur sur ce point particulier. Le portrait du cardinal dans le tablean
de La Ha)'e n'est pas refait sur le portrait de Chantilly, mais sur un portrait
du musée d'Avignon, qui porte dans cette exposition le n°. 172.
Quoique Terreur que je corrige suppose une confusion possible entre
ces deux portraits, cependant un oeil averti les distingue, et ne risquera
plus de les prendre 1'un pour 1'autre.
J'ajoute que le portrait d'Avignon est répété en grand dans la collection
des Offices de Florence, qui le conserve sous 1'anonyme, n°. 191.
L. Dimier.
Een zilveren wierookvat ontworpen door Martin Schongauer.
Met nevenstaande afbeelding 2) zij de aandacht der leden van den
Oudheidkundigen Bond gevestigd op een zilveren wierookvat dat eertijds
behoorde aan de R. K. Parochiekerk te Edam, doch korten tijd geleden
voor de som van 2500 gulden in eigendom is overgegaan aan Z. D. H.
Mgr. A. J. Callier. Toen er gevaar bleek dat kooplieden ons dit
1) Bulletin iv, p. 20—22,
2) Naar eene opname door Mej. Arna. Brom.