LA CARICATURE.
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jpucljahe*.
. Un journal ministériel cite avee emphase le fait suivant : « Lundi
dernier, Louis-Philippe a été visiter le Panorama d’Alger. S. M. ne
s’est point fait annoncer -, elle a préféré entrer comme un simple
bourgeois, en prenant son billet à la porte. » Les bourgeois ne payent
que 2 fr. 5o cent.
.*. Nous avons remarqué que dans le bal, d’ailleurs si magni-
fique , qui termine l’opéra de Gustave III, on ne voit servir aucun
rafraîchissement. Il paraît que l’ordonnateur des bals des Tuileries
fait école.
Nous apprenons qu’t^Romans (département de la Drôme), un
pauvre diable exerçant le métier de gagne-petit, vient d’hériter de
deux millions que lui a laissés un de ses parens étranglé en Turquie
par ordre du sultan. Il n’y a rien de tel que la corde pour procurer
de gros héritages.
.•. Quelle différence M. Chose fait-il entre l’honneur de sa famille
et un écu de cent sous? — C’est qu’il épargne ce dernier en toute
occasion.
Louis XV entretenait à grands frais des agens sur divers points,
pour fournir à la cour, ainsi qu’à la ville, une chronique scandaleuse.
Nous connaissons quelqu’un qui la fait lui-même : c’est plus simple et
plus économique.
M. Chose va, dit-on , publier une brochure intitulée : Du
scandale considéré comme moyen gouvernemental.
Dans la discussion de la loi sur les colonies à la chambre des
pairs, M. de Montlosier a fait l’apologie des esclaves qui passent do-
cilement d’un maître à l’autre. C’est une flatterie pour ses nobles au-
diteurs. -
.*. Le prince Rosolin , qui, comme on sait, s’est rendu en Belgique
vers la fin du mois dernier, annonce l’intention d’y retourner sous
peu de jours. Le jeune héros assure qu’il n’est pas à son aise quand il
n’a pas fait, au moins une fois par mois, la conquête de la Belgi-
que.
.•. On annonce au Gymnase la tteprise du Mariage impossible.
Fanfan ne se souciera sans doute pas d’y assister.
.•. Désormais, dans le Moniteur, la partie officielle sera intitulée
partie scandaleuse.
ASSOCIATION POUR LA LIBERTÉ DE LA PRESSE.
Un franc par mois donne droit à line Lithographie (chaque mois), tirée seulement pour
les Souscripteurs. Cette Lithographie, exécutée par les principaux altistes du Journal ta
Caricature, sera toujours, pour les amateurs, d’une valeur bien supe'rieure à î fr., puis-
qu'elle n’est pas livrée au commerce.
Le produit de la souscription à la Lithographie mensuelle est destine’ à former une
caisse de réserve, pour payer les frais des procès de la Caricature. (Les Editeurs de ce
journal hebdomadaire ont e’té frappés de vingt-deux saisie? en un an ; ils peuvent croire
qu’on ne s’en tiendra pas là.)
La Caricature, faite par des jeunes gens, s’adresse aux jeunes gens et les appelle à une
association qui a pour but de défendre la liberté de la pensce. L’aide des hommes de notre
âge ne saurait nous manquer, nous l’espérons.
On souscrit, en envoyant franco un bon sur la poste.
On ne souscrit pas pour moins de trois mois. Le premier mois de la sousc ription est le
mois d’août i83a. La première lithographie a paru le 3o août.
On peut souscrire pour plusieurs exemplaires ou pour plusieurs lithographies variées et
choisies dans les meilleures publications. Ainsi, la personne qui nous adressera 9 fr. pour
trois exemplaires par mois pendant un trimestre, pourra, à son choix, recevoir chaque
mois, trois exemplaires de la Lithographie de l’association, ou trois caricatures variées. 11
suffît, en nous envoyant la somme, de nous dire sa volonté à cet égard.
Les Lithographies parviendront franco à l’associé.
On souscrit au bureau de la Caricature, galerie Véro-Dodat, au-dessus du magasin de
nouveautés lithographiques d'Aubert.
Nota. Le grand nombre de souscriptions pouvant seul nous faire atteindre le but que nous
nous proposons, nous prions les amis de la Caricature de recruter pour elle parmi leurs
connaissances.
NOUVEAUTÉS LITHOGRAPHIQUES
DE LA MAISON AUBERT, GALERIE VÉRO-DODAT.
Les Palais de Paris. Douze palais sur une seule feuille, qui ne se vend que i fr. Elle
est dessinée par M. Àrnoull.
Petites Diableries fantastiques y par Piamelet. Un grand nombre de petites diableries
sur une seule feuille de i fr.
Portraits de Dona Maria, d'Ilérotd, du général Chassé, du maréchal Gérard,
de Ferdinand / IIy et autres célébrités du moment. Prix de chacun : y5 cent.
Nous ne pouvons mieux faire, pour donner une juste idée des études académiques de
M. Numa , que de reproduire un petit article du Charivari, dans lequel M. Philipon a
apprécié convenablement cette publication.
a Le commerce d’estampes engendra jadis les académies de feu Barbier, académies au
« crayon rouge, aux contours tourmentés et flamboyans, aux poses maniérées et au crayon
« filandreux, académies bien rococo y qui firent la fortune du PilUr-d'Or, du grand
« Sainct-Michcl et de quelques autres éditeurs avec priuiiégc dv Roy ; il engendra, vingt
« ans après, les académies raides et froides de M. Bourgeois et quelques dessins de même
« force , tous gravés au burin, et, par conséquent, bien taillés, bien peignés et bien im-
« propres à servir de modèles. Depuis, il se reposa5 et malgré l’opportunité d’une bonne
« publication dans ce genre , malgré les progrès dé la lithographie et sa supériorité sur
« la gravure pour tout ce qui.est travail du crayon , malgré cette foule de jeunes peintres
« dont les cartons sont remplis d’excellentes études, il est probable que les professeurs et
« les élèves eussent été long-temps encore réduits à choisir entre MM. Bourgeois, Barbier
« et Pieverdin, si M. Aubert n’avait entrepris celle utile édition. Les [Études académiques
« qu’il publie sont dessinées d’après nature, et lithographiées par l’un des bons élèves de
« M. Gros , M. Numa Bassaget, dont la manière est à la fois ferme, grasse et d’une imita-
« tion facile. Le premier cahier est en vente 5 nous l’avons sous les yeux, et nous pouvons
<( dire qu’il est complètement satisfaisant M. Numa a su ajuster ccs figures avec décence,
« ce qui permettra de les faire copier à toutes personnes.
a M. Aubert promet une longue suite aux six feuilles qu’il met en vente II annonce
« en même temps une série d’études de têtes dssinées et lithographiées par un autre élève
« de M. Gros, M. Julien. Nous parlerons de cet ouvrage dans un de nos prochains nu-
it méros. »
Les Études académiques se vendent 1 fr. 5o cent, la feuille.
Les Études de têtes par M. Julien se vendent le même prix. La quatrième feuille sera en
vente sous deux ou trois jours. Elle sera immédiatement suivie de plusieurs autres.
L’on peut adresser à M. Aubert y franco, un bon sur la poste pour la valeur des articles
qu’on désire, et si cette demande est de 12 francs au moins, M. Aubert fera tenir, en re-
tour, les articles demandés, francs de port, pourvu que les Messageries passent dans la ville
du commettant.
LE LIVRE DES CONTEURS.
fr. 5o cent, le volume, chez 1 Editeur, place Saint-Andre-des-Arcs, n° i3.
Nous nous faisons un plaisir de revenir sur ce recueil, que ses deux premiers volumes ont
déjà placé hors de ligné, au milieu de ce déluge de contes et nouvelles qui inondent au-
jourd’hui les salons et les cabinets de lecture. Il suffit de jeter un coup d’œil sur la liste
des auteurs qui coopèrent à cette œuvre, et où nous voyons MM. Nodier, J. Janin, Eugène
Sue, Ancelot, A. Jal, Saintine , Michel Raymond, Chasles, LéonGozlan, le comte de
Peyronnet, Emile Deschamps, Jacob le bibliophile, Alex. Dumas, etc., etc. Aucun de
ces écrivains n’est resté au-dessous du talent que le publie leur connaît. Toutes les pro-
ductions qu’ils y déposent sont inédites, pleines de fraîcheur, de goût et surtout d’intérêt.
Le troisième volume paraîtra vers le i5 mars, et continuera dignement cette charmante
collection, à laquelle on peut prédire un succès de vogue.
CONDITIONS D’ABONNEMENT :
La Caricature donne, par an, cent quatre Lithographies exécutées par les Al-
tistes les plus renommés. Chaque numéro, composé d’une feuille de texte et de
deux Lithographies, paraît très-exactement le jeudi.
L’Administration ne met pas dans le commerce les Lithographies du Journal.
Les Marchands ne pourront les obtenir qu’en s’abonnant.
Nota. Les personnes qui recevraient des exemplaires froissés peuvent, au moyen
de l’action d’une presse à papier, faire disparaître les plis. Il faut avoir soin d’ex-
poser préalablement la feuille à l’humidité.
POUR TROIS MOIS, franc de port.13 fr.
POUR SIX MOIS, idem. ..25
POUR UN AN, idem.52
1 franc de plus par trimestre pour l'étranger.
On souscrit à Fakis : pour trois moi.,, en envoyant, franco, un bon de 13 fr., au bureau
de la Caricature, maison Aubert, galerie Véro-Dodat; M. Guérin et Compagnie, rue
du Dragon, faubourg Saint-Germain, offrent de faire toucher à domicile cl sans Jrais
le montant des abonnemens; il suffira de leur écrire, de leur dire quel abonnement on
désire et pour combien de temps. — On souscrit aussi chez tous les libraires et les maîtres
de poste de la France et de l’Etranger. — Grucliet.
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ÎMFHIMEIUE l)E DEZ.AUCUE, RUE OU FAUBOURG—MONTMARTRE, N" H.
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jpucljahe*.
. Un journal ministériel cite avee emphase le fait suivant : « Lundi
dernier, Louis-Philippe a été visiter le Panorama d’Alger. S. M. ne
s’est point fait annoncer -, elle a préféré entrer comme un simple
bourgeois, en prenant son billet à la porte. » Les bourgeois ne payent
que 2 fr. 5o cent.
.*. Nous avons remarqué que dans le bal, d’ailleurs si magni-
fique , qui termine l’opéra de Gustave III, on ne voit servir aucun
rafraîchissement. Il paraît que l’ordonnateur des bals des Tuileries
fait école.
Nous apprenons qu’t^Romans (département de la Drôme), un
pauvre diable exerçant le métier de gagne-petit, vient d’hériter de
deux millions que lui a laissés un de ses parens étranglé en Turquie
par ordre du sultan. Il n’y a rien de tel que la corde pour procurer
de gros héritages.
.•. Quelle différence M. Chose fait-il entre l’honneur de sa famille
et un écu de cent sous? — C’est qu’il épargne ce dernier en toute
occasion.
Louis XV entretenait à grands frais des agens sur divers points,
pour fournir à la cour, ainsi qu’à la ville, une chronique scandaleuse.
Nous connaissons quelqu’un qui la fait lui-même : c’est plus simple et
plus économique.
M. Chose va, dit-on , publier une brochure intitulée : Du
scandale considéré comme moyen gouvernemental.
Dans la discussion de la loi sur les colonies à la chambre des
pairs, M. de Montlosier a fait l’apologie des esclaves qui passent do-
cilement d’un maître à l’autre. C’est une flatterie pour ses nobles au-
diteurs. -
.*. Le prince Rosolin , qui, comme on sait, s’est rendu en Belgique
vers la fin du mois dernier, annonce l’intention d’y retourner sous
peu de jours. Le jeune héros assure qu’il n’est pas à son aise quand il
n’a pas fait, au moins une fois par mois, la conquête de la Belgi-
que.
.•. On annonce au Gymnase la tteprise du Mariage impossible.
Fanfan ne se souciera sans doute pas d’y assister.
.•. Désormais, dans le Moniteur, la partie officielle sera intitulée
partie scandaleuse.
ASSOCIATION POUR LA LIBERTÉ DE LA PRESSE.
Un franc par mois donne droit à line Lithographie (chaque mois), tirée seulement pour
les Souscripteurs. Cette Lithographie, exécutée par les principaux altistes du Journal ta
Caricature, sera toujours, pour les amateurs, d’une valeur bien supe'rieure à î fr., puis-
qu'elle n’est pas livrée au commerce.
Le produit de la souscription à la Lithographie mensuelle est destine’ à former une
caisse de réserve, pour payer les frais des procès de la Caricature. (Les Editeurs de ce
journal hebdomadaire ont e’té frappés de vingt-deux saisie? en un an ; ils peuvent croire
qu’on ne s’en tiendra pas là.)
La Caricature, faite par des jeunes gens, s’adresse aux jeunes gens et les appelle à une
association qui a pour but de défendre la liberté de la pensce. L’aide des hommes de notre
âge ne saurait nous manquer, nous l’espérons.
On souscrit, en envoyant franco un bon sur la poste.
On ne souscrit pas pour moins de trois mois. Le premier mois de la sousc ription est le
mois d’août i83a. La première lithographie a paru le 3o août.
On peut souscrire pour plusieurs exemplaires ou pour plusieurs lithographies variées et
choisies dans les meilleures publications. Ainsi, la personne qui nous adressera 9 fr. pour
trois exemplaires par mois pendant un trimestre, pourra, à son choix, recevoir chaque
mois, trois exemplaires de la Lithographie de l’association, ou trois caricatures variées. 11
suffît, en nous envoyant la somme, de nous dire sa volonté à cet égard.
Les Lithographies parviendront franco à l’associé.
On souscrit au bureau de la Caricature, galerie Véro-Dodat, au-dessus du magasin de
nouveautés lithographiques d'Aubert.
Nota. Le grand nombre de souscriptions pouvant seul nous faire atteindre le but que nous
nous proposons, nous prions les amis de la Caricature de recruter pour elle parmi leurs
connaissances.
NOUVEAUTÉS LITHOGRAPHIQUES
DE LA MAISON AUBERT, GALERIE VÉRO-DODAT.
Les Palais de Paris. Douze palais sur une seule feuille, qui ne se vend que i fr. Elle
est dessinée par M. Àrnoull.
Petites Diableries fantastiques y par Piamelet. Un grand nombre de petites diableries
sur une seule feuille de i fr.
Portraits de Dona Maria, d'Ilérotd, du général Chassé, du maréchal Gérard,
de Ferdinand / IIy et autres célébrités du moment. Prix de chacun : y5 cent.
Nous ne pouvons mieux faire, pour donner une juste idée des études académiques de
M. Numa , que de reproduire un petit article du Charivari, dans lequel M. Philipon a
apprécié convenablement cette publication.
a Le commerce d’estampes engendra jadis les académies de feu Barbier, académies au
« crayon rouge, aux contours tourmentés et flamboyans, aux poses maniérées et au crayon
« filandreux, académies bien rococo y qui firent la fortune du PilUr-d'Or, du grand
« Sainct-Michcl et de quelques autres éditeurs avec priuiiégc dv Roy ; il engendra, vingt
« ans après, les académies raides et froides de M. Bourgeois et quelques dessins de même
« force , tous gravés au burin, et, par conséquent, bien taillés, bien peignés et bien im-
« propres à servir de modèles. Depuis, il se reposa5 et malgré l’opportunité d’une bonne
« publication dans ce genre , malgré les progrès dé la lithographie et sa supériorité sur
« la gravure pour tout ce qui.est travail du crayon , malgré cette foule de jeunes peintres
« dont les cartons sont remplis d’excellentes études, il est probable que les professeurs et
« les élèves eussent été long-temps encore réduits à choisir entre MM. Bourgeois, Barbier
« et Pieverdin, si M. Aubert n’avait entrepris celle utile édition. Les [Études académiques
« qu’il publie sont dessinées d’après nature, et lithographiées par l’un des bons élèves de
« M. Gros , M. Numa Bassaget, dont la manière est à la fois ferme, grasse et d’une imita-
« tion facile. Le premier cahier est en vente 5 nous l’avons sous les yeux, et nous pouvons
<( dire qu’il est complètement satisfaisant M. Numa a su ajuster ccs figures avec décence,
« ce qui permettra de les faire copier à toutes personnes.
a M. Aubert promet une longue suite aux six feuilles qu’il met en vente II annonce
« en même temps une série d’études de têtes dssinées et lithographiées par un autre élève
« de M. Gros, M. Julien. Nous parlerons de cet ouvrage dans un de nos prochains nu-
it méros. »
Les Études académiques se vendent 1 fr. 5o cent, la feuille.
Les Études de têtes par M. Julien se vendent le même prix. La quatrième feuille sera en
vente sous deux ou trois jours. Elle sera immédiatement suivie de plusieurs autres.
L’on peut adresser à M. Aubert y franco, un bon sur la poste pour la valeur des articles
qu’on désire, et si cette demande est de 12 francs au moins, M. Aubert fera tenir, en re-
tour, les articles demandés, francs de port, pourvu que les Messageries passent dans la ville
du commettant.
LE LIVRE DES CONTEURS.
fr. 5o cent, le volume, chez 1 Editeur, place Saint-Andre-des-Arcs, n° i3.
Nous nous faisons un plaisir de revenir sur ce recueil, que ses deux premiers volumes ont
déjà placé hors de ligné, au milieu de ce déluge de contes et nouvelles qui inondent au-
jourd’hui les salons et les cabinets de lecture. Il suffit de jeter un coup d’œil sur la liste
des auteurs qui coopèrent à cette œuvre, et où nous voyons MM. Nodier, J. Janin, Eugène
Sue, Ancelot, A. Jal, Saintine , Michel Raymond, Chasles, LéonGozlan, le comte de
Peyronnet, Emile Deschamps, Jacob le bibliophile, Alex. Dumas, etc., etc. Aucun de
ces écrivains n’est resté au-dessous du talent que le publie leur connaît. Toutes les pro-
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Le troisième volume paraîtra vers le i5 mars, et continuera dignement cette charmante
collection, à laquelle on peut prédire un succès de vogue.
CONDITIONS D’ABONNEMENT :
La Caricature donne, par an, cent quatre Lithographies exécutées par les Al-
tistes les plus renommés. Chaque numéro, composé d’une feuille de texte et de
deux Lithographies, paraît très-exactement le jeudi.
L’Administration ne met pas dans le commerce les Lithographies du Journal.
Les Marchands ne pourront les obtenir qu’en s’abonnant.
Nota. Les personnes qui recevraient des exemplaires froissés peuvent, au moyen
de l’action d’une presse à papier, faire disparaître les plis. Il faut avoir soin d’ex-
poser préalablement la feuille à l’humidité.
POUR TROIS MOIS, franc de port.13 fr.
POUR SIX MOIS, idem. ..25
POUR UN AN, idem.52
1 franc de plus par trimestre pour l'étranger.
On souscrit à Fakis : pour trois moi.,, en envoyant, franco, un bon de 13 fr., au bureau
de la Caricature, maison Aubert, galerie Véro-Dodat; M. Guérin et Compagnie, rue
du Dragon, faubourg Saint-Germain, offrent de faire toucher à domicile cl sans Jrais
le montant des abonnemens; il suffira de leur écrire, de leur dire quel abonnement on
désire et pour combien de temps. — On souscrit aussi chez tous les libraires et les maîtres
de poste de la France et de l’Etranger. — Grucliet.
»»»»»» IW-Xl'tW 4K
ÎMFHIMEIUE l)E DEZ.AUCUE, RUE OU FAUBOURG—MONTMARTRE, N" H.