Charité.
Dessin d’Arturo Michelena, d’après un fragment de son tableau du Salon de 1888.
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SALON DE 1888
Leçon de musette.
Dessin de Th. L. Deyrolle,
d’après son tableau du Salon de 1888.
Un Asile, intérieur très lumineux et bien
morte, de M. Daudin ; le Portrait de M.
I
LA PEINTURE
Cela débute par le palier. Arrètez-vous-y le moins
longtemps possible. Jamais entrée en matière ne fut
moins attrayante. Il y a là un encombrement de pan-
neaux décoratifs qui échappent à toute critique ; cela
n'existe à aucun titre, à l'exception d’une délicate com-
position : l’Eté, par M. Adrien Karbowsky; du modèle
de tapisserie de M. François Ehrmann : les Lettres,
les Arts et les Sciences, dont la composition encombrée
laisse fort à désirer mais dont l’exécution est sérieuse,
-—- la bordure est d’un grand goût ; -—- enfin, de la
Suite de la décoration de l’escalier de la Sorbonne,
par M. François Flameng, bien que cette suite soit
inférieure à la première partie exposée Lan dernier.
En dehors de cela, il n'y a à citer que les Dunes,
à Ver-sur-Mer, de M. Léon de Bellée ; une nature
morte de M. Choquet : Dessert rustique ; le Portrait
de Mme la comtesse de D., par Mlle Claire Hildebrand ;
observé, par M. Walter Gay, de Boston ; une Nature
Jean Dolent, par M. Carrière, qui est très loin de
Tome XLIV.
26
Dessin d’Arturo Michelena, d’après un fragment de son tableau du Salon de 1888.
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SALON DE 1888
Leçon de musette.
Dessin de Th. L. Deyrolle,
d’après son tableau du Salon de 1888.
Un Asile, intérieur très lumineux et bien
morte, de M. Daudin ; le Portrait de M.
I
LA PEINTURE
Cela débute par le palier. Arrètez-vous-y le moins
longtemps possible. Jamais entrée en matière ne fut
moins attrayante. Il y a là un encombrement de pan-
neaux décoratifs qui échappent à toute critique ; cela
n'existe à aucun titre, à l'exception d’une délicate com-
position : l’Eté, par M. Adrien Karbowsky; du modèle
de tapisserie de M. François Ehrmann : les Lettres,
les Arts et les Sciences, dont la composition encombrée
laisse fort à désirer mais dont l’exécution est sérieuse,
-—- la bordure est d’un grand goût ; -—- enfin, de la
Suite de la décoration de l’escalier de la Sorbonne,
par M. François Flameng, bien que cette suite soit
inférieure à la première partie exposée Lan dernier.
En dehors de cela, il n'y a à citer que les Dunes,
à Ver-sur-Mer, de M. Léon de Bellée ; une nature
morte de M. Choquet : Dessert rustique ; le Portrait
de Mme la comtesse de D., par Mlle Claire Hildebrand ;
observé, par M. Walter Gay, de Boston ; une Nature
Jean Dolent, par M. Carrière, qui est très loin de
Tome XLIV.
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