DOI Heft:
Numéro 153 (10 Octobre 1833)
DOI Seite / Zitierlink: https://doi.org/10.11588/diglit.26557#0252
1223
LA CARICATURE.
1224
les Que du colosse -, et d’ailleurs il n’y a pas de risque que ses galettes
politiques produisent pour la France Nouvelle le même effet que ses
tartines jurisprudentielles pour la Gazette des Tribunaux. Il y a
long-temps que le journal de la lune ne peut plus perdre un seul
lecteur. ....roche.
Le célèbre M. Chose revient se fixer à Paris. Le fameux phar-
macien Labarraque profite de cette occasion pour prévenir le public
qu’on trouve toujours chez lui du chlore première qualité et des dé-
sinfectons de tous genres.
YOn donnait dernièrement à Lyon les Enfans d’Edouard. Lors-
que l’acteur chargé du rôle de Gloccster eût dit :
Les enfans vivent peu quand ils ont tant d’esprit,
un individu siffla, croyant voir dans ce vers une menace indirecte
aux enfans de sa majesté. C’est pousser terriblement loin la rage
des allusions.
A propos d’esprit et de longévité, nous nous rappelons que
S. M. Louis-Philippe est entrée hier dans sa 60° année.
** Don a Maria, dès son arrivée à Lisbonne, a visité les redoutes,
les retranchemens et passé des revues. Il paraît que la jeune reine
aime beaucoup l’odeur et. la fumée de la poudre. C’est sans doute
pour cela qu’elle a x’efusé notre principicule.
** Le roi d’Espagne s’est enfin décidé à mourir très-sérieusement.
Il a bien promis que cette fois ce ne serait plus une plaisanterie.
M. d’Argout se flatte de ne pouvoir être trompé par personne.
C’est sans doute parce qu’il sait bien que personne n’a le nez plus
long que lui.
** On assure qu’au dîner offert au prince de Talleyrand avant
son départ pour Valençay, le vieux diplomate a porté, entre la poire
et le fromage, un toast h la longue prospérité de la dy nastie. Ces
paroles de l’astucieux vieillard ont épouvanté les convives: une poi-
re que M. Faim venait de prendre lui en est même tombée des
mains. (Historique.)
Le président des Etats-Unis, dit le Constitutionnel, a les mains
liées plus étroitement qu’aucun roi chrétien. Le patriarche aurait
pu ajouter que parmi ces derniers il en est qui n’ont même de bien
lié que le cordon de leur bourse.
** S’il faut en croire un bruit de cour, M. de Talleyrand, avant
de partir, aurait présenté un exemplaire de ses mémoires à M.
Chose, qui les aurait refusés assez brusquement. Le prince devait
savoir que M. Chose ne peut pas souffrir qu’on lui présente des
mémoires.
MAXSOF HUBERT.
Quatre paysages, sur une feuille, par M. Villeneuve. Prix de la feuille, 1 fr.
Quatre portraits de poètes , sur une feuille, par M. Julien. Ces portraits sont ceux de
lord Bjron, de Y. Ilngo, de Lamartine et d’Alexandre Dumas. Prix de la feuille, 1 fr.
Quaire petites scènes, oü figurent des animaux, par M. Francis; trois feuilles différen-
tes. Prix de la feuille, 1 fr.
Quatre portraits d’actrices en pied, réunis sur la meme feuille, par M. Léon Noél. Prix
de la feuille, 1 fr.
Quatre vues d’Angleterre, sur une feuille ; trois feuilles variées, par M. Sabattier. Prix
de la feuille, 1 fr.
Quatre paysages, sur une feuille, par M. Bichebois. Prix de la feuille, 1 fr.
Quatre paysages, imités des vignettes anglaises, par MM. Tire penne et Monlhellicr.
Prix de la feuille, 1 fr.
Quatre vues d’Italie, sur une feuille, par M. JAouX‘t deux feuilles variées. Prix de la
feuille, 1 fr.
Quatre paysages, sur une feuille, par M. Arnoult. Prix, 1 fr.
Les Quatre Heures de la journée, par M. Laenertli. Prix de la feuille, 1 fr.
Quatre petits sujets, par M. Menât, réunis sur une feuille. Prix de la feuille, 1 fr.
Six petites scènes d’amour, d’après M. Numa, réunies sur une feuille , par Bourdct.
Prix, 1 fr.
Toutes ces planches sont liées à la collection des Petites Macédoines d’Aubert, qui se
trouvait déjà considérable, et qui compte ainsi plus de 150 feuilles différentes.
Deux nouvelles feuilles d’ornemens , par M. Boullemier, dessinateur de la manufac-
ture de Sèvres. Ces deux planches , qui vont être suivies d’un grand nombre d’autres,
font suite aux six feuilles parues il y a peu de jours sous le titre de : ornemens de
différais pays et de différais styles, par Boullemier. Le prix de la feuille est de GO
centimes.
La leçon d’astronomie , par Devéria , faisant suite à la leçon de piano et à la leçon de
paysage. Prix de la feuille en noir, 2 fr. ; colorié, retouché à la gouache, 3 fr.
La belle petile fille. Le beau petit garçon. Imitation de deux magnifiques gravures an-
glaises, lithographiées par Julien. Prix en noir, 2 fr. ; colorié, retouché, 3 fr.
Caricatures nouvelles sur la politique. Prix de la feuille , 75 centimes.
Caricatures sur les mœurs. Meme prix.
PUBLICATIONS PRÉPARÉES POUR LE JOUR DE L’AN PROCHAIN.
Album des petits Amis, par M. Francis. Le cahier nouveau sera la suite de celui qui a
paru sous ce titre, et qui a obtenu un si grand succès. Les six feuilles se vendent G fr.
Album des Cent et Un. Suite des deux livraisons déjà parues. Prix des douze dessins, sur
papier de Chine, 15 fr.
Les quatre heures du jour et les quatre parties du monde, album de MM. Devéria et V.
Adam.
Les quatre élèmens et les quatre saisons, par MM. Jules David et Deroy.
Album de M. Menut. Douze feuilles.
Album de petits sujets pour les enfans. Cet ouvrage sera établi, à un prix extrêmement
modéré.
Les boulevarts de Paris, formant un dessin de dix ou quinze pieds de long, plié et
enfermé dans une jolie boîte en bois blanc. Prix eu noir , 5 fr.
Us seront également établis, à bon marché, en couleur, de même que les quais de Paris,
que M. Aubert a fait aussi découper, réunir et placer dans une berîte , qui pourra être
offerte en étrennes.
Nouvelles têtes d’études, par M. Julien. La collection de ces belles études se compose
déjà de 12 planches, elle sera sans doute poussée à 24 au moment du jour de l’an, et for-
mera ainsi un fort beau présent pour lés jeunes élèves. Chaque feuille se vend 1 fr. 50 c.
Nouvelles académies, par MM. Julien, et autres artistes.
La Flore universelle, album dont le nombre de feuilles n’est pas encore fixé.
Plusieurs autres albums, des fleurs, des ornemens, des principes de dessin, des jou-
joux lithographiques, etc., etc.
Nota. L’on peut adresser à M. Aubert, ^franco, un bon sur la poste pour la valeur des
articles que l’on désire, et si cette demande est de 12 fr. au moins, M. Aubert fera tenir
en retour le articles demandés, FRANC DE PORT, pourvu que les messageries passent
dans la ville^du commettant.
ASSOCIATION POUR LA LIBERTE DE LA PRESSE.
. Un franc par mois donne droit à une Lithographie (chaque mois), tire'e seulement
pour les Souscripteurs. Cette Lithographie, exécutée par les principaux artistes du .jour-
nal la Caricature, sera toujours, pour les amateurs, d’une valeur bien supe'rieure ù un
fr., puisqu’elle u’est pas livrée au commerce.
Le produit de la souscription à la Lithographie mensuelle est destine' à former une
caisse de réserve, pour payer les frais des procès de la Caricature. (Les éditeurs de ce
journal hebdomadaire ont été frappés de ving-deux saisies en un an ; ils peuvent croire
qu’on ne s’en tiendra pas là.)
La Caricature, faite par des jeunes gens, s’adresse aux jeunes gens et, les appelle à
une association qui a pour but de défendre la liberté de la pensée. L’aide des hommes
de notre âge ne saurait nous manquer, nous l’espérons.
On souscrit, en envoyant franco un bon sur la poste.
On ne souscrit pas pour moins de trois mois. Le premier mois de la souscription est le
mois d’août 1832. La première Lithographie a paru le 30 août.
On peut souscrire depuis le premier numéro, on seulement depuis le mois courant.
Les Lithographies parviendront franco à l’associé.
On souscrit au bureau de la Caricature, galerie Véro-Dodat, au-dessus du.magasin
Pc nouveautés lithographiques (VAubert.
Nota. Le grand nombre de souscriptions pouvant seul nous faire atteindre le luit
que nous nous proposons, nous prions les amis de la Caricature de recruter pour elle
parmi leurs connaissances.
CONDITIONS D’ABONNEMENT :
La Caricature donne, par an, cent quatre Litographies exécutées par les Ar-
tistes les plus renommés. Chaque numéro, composé d’une feuille de texte et de
deux Lithographies, paraît très-exactement le jeudi.
L’Administration ne met pas dans lecommerce les Lithographies du journal. Les
Marchands ne pourront les obtenir qu’en s’abonnant.
Nota. Les personnes cpii recevraient des exemplaires froissés peuvent, au moyen
de l’action d’une presse à papier, faire disparaître les plis. 11 faut avoir soin d’ex-
poser préalablement la feuille à l’humidité.
pour trois mois, franc clc port.i5 fr.
pour six mois , idem.28
pour UN an , idem.52
1 franc de plus par trimestre pour Vétranger.
On souscrit à Paris : pour trois mois, en envoyant, franco, un lion de i3 fr., au
bureau de la Caricature,maison Aubert, galerie Véro-Dodat; MM. GuérinetCom-
pagnie, rue du Dragon, faubourg' St-Germaiu, offrent de faire loucher à domicile
et sans frais le montant des abonnemens; i! subira de leur écrire, de leur dire
quel abonnement on désire, et pour combien de temps. — On souscrit aussi cbe2
tous les libraires et les maîtres de poste de la France et de l’Etranger. —■Crucbet.
IMPRIMERIE d’aUFJ’RAY, PASSAGE DU CAIRE.
LA CARICATURE.
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les Que du colosse -, et d’ailleurs il n’y a pas de risque que ses galettes
politiques produisent pour la France Nouvelle le même effet que ses
tartines jurisprudentielles pour la Gazette des Tribunaux. Il y a
long-temps que le journal de la lune ne peut plus perdre un seul
lecteur. ....roche.
Le célèbre M. Chose revient se fixer à Paris. Le fameux phar-
macien Labarraque profite de cette occasion pour prévenir le public
qu’on trouve toujours chez lui du chlore première qualité et des dé-
sinfectons de tous genres.
YOn donnait dernièrement à Lyon les Enfans d’Edouard. Lors-
que l’acteur chargé du rôle de Gloccster eût dit :
Les enfans vivent peu quand ils ont tant d’esprit,
un individu siffla, croyant voir dans ce vers une menace indirecte
aux enfans de sa majesté. C’est pousser terriblement loin la rage
des allusions.
A propos d’esprit et de longévité, nous nous rappelons que
S. M. Louis-Philippe est entrée hier dans sa 60° année.
** Don a Maria, dès son arrivée à Lisbonne, a visité les redoutes,
les retranchemens et passé des revues. Il paraît que la jeune reine
aime beaucoup l’odeur et. la fumée de la poudre. C’est sans doute
pour cela qu’elle a x’efusé notre principicule.
** Le roi d’Espagne s’est enfin décidé à mourir très-sérieusement.
Il a bien promis que cette fois ce ne serait plus une plaisanterie.
M. d’Argout se flatte de ne pouvoir être trompé par personne.
C’est sans doute parce qu’il sait bien que personne n’a le nez plus
long que lui.
** On assure qu’au dîner offert au prince de Talleyrand avant
son départ pour Valençay, le vieux diplomate a porté, entre la poire
et le fromage, un toast h la longue prospérité de la dy nastie. Ces
paroles de l’astucieux vieillard ont épouvanté les convives: une poi-
re que M. Faim venait de prendre lui en est même tombée des
mains. (Historique.)
Le président des Etats-Unis, dit le Constitutionnel, a les mains
liées plus étroitement qu’aucun roi chrétien. Le patriarche aurait
pu ajouter que parmi ces derniers il en est qui n’ont même de bien
lié que le cordon de leur bourse.
** S’il faut en croire un bruit de cour, M. de Talleyrand, avant
de partir, aurait présenté un exemplaire de ses mémoires à M.
Chose, qui les aurait refusés assez brusquement. Le prince devait
savoir que M. Chose ne peut pas souffrir qu’on lui présente des
mémoires.
MAXSOF HUBERT.
Quatre paysages, sur une feuille, par M. Villeneuve. Prix de la feuille, 1 fr.
Quatre portraits de poètes , sur une feuille, par M. Julien. Ces portraits sont ceux de
lord Bjron, de Y. Ilngo, de Lamartine et d’Alexandre Dumas. Prix de la feuille, 1 fr.
Quaire petites scènes, oü figurent des animaux, par M. Francis; trois feuilles différen-
tes. Prix de la feuille, 1 fr.
Quatre portraits d’actrices en pied, réunis sur la meme feuille, par M. Léon Noél. Prix
de la feuille, 1 fr.
Quatre vues d’Angleterre, sur une feuille ; trois feuilles variées, par M. Sabattier. Prix
de la feuille, 1 fr.
Quatre paysages, sur une feuille, par M. Bichebois. Prix de la feuille, 1 fr.
Quatre paysages, imités des vignettes anglaises, par MM. Tire penne et Monlhellicr.
Prix de la feuille, 1 fr.
Quatre vues d’Italie, sur une feuille, par M. JAouX‘t deux feuilles variées. Prix de la
feuille, 1 fr.
Quatre paysages, sur une feuille, par M. Arnoult. Prix, 1 fr.
Les Quatre Heures de la journée, par M. Laenertli. Prix de la feuille, 1 fr.
Quatre petits sujets, par M. Menât, réunis sur une feuille. Prix de la feuille, 1 fr.
Six petites scènes d’amour, d’après M. Numa, réunies sur une feuille , par Bourdct.
Prix, 1 fr.
Toutes ces planches sont liées à la collection des Petites Macédoines d’Aubert, qui se
trouvait déjà considérable, et qui compte ainsi plus de 150 feuilles différentes.
Deux nouvelles feuilles d’ornemens , par M. Boullemier, dessinateur de la manufac-
ture de Sèvres. Ces deux planches , qui vont être suivies d’un grand nombre d’autres,
font suite aux six feuilles parues il y a peu de jours sous le titre de : ornemens de
différais pays et de différais styles, par Boullemier. Le prix de la feuille est de GO
centimes.
La leçon d’astronomie , par Devéria , faisant suite à la leçon de piano et à la leçon de
paysage. Prix de la feuille en noir, 2 fr. ; colorié, retouché à la gouache, 3 fr.
La belle petile fille. Le beau petit garçon. Imitation de deux magnifiques gravures an-
glaises, lithographiées par Julien. Prix en noir, 2 fr. ; colorié, retouché, 3 fr.
Caricatures nouvelles sur la politique. Prix de la feuille , 75 centimes.
Caricatures sur les mœurs. Meme prix.
PUBLICATIONS PRÉPARÉES POUR LE JOUR DE L’AN PROCHAIN.
Album des petits Amis, par M. Francis. Le cahier nouveau sera la suite de celui qui a
paru sous ce titre, et qui a obtenu un si grand succès. Les six feuilles se vendent G fr.
Album des Cent et Un. Suite des deux livraisons déjà parues. Prix des douze dessins, sur
papier de Chine, 15 fr.
Les quatre heures du jour et les quatre parties du monde, album de MM. Devéria et V.
Adam.
Les quatre élèmens et les quatre saisons, par MM. Jules David et Deroy.
Album de M. Menut. Douze feuilles.
Album de petits sujets pour les enfans. Cet ouvrage sera établi, à un prix extrêmement
modéré.
Les boulevarts de Paris, formant un dessin de dix ou quinze pieds de long, plié et
enfermé dans une jolie boîte en bois blanc. Prix eu noir , 5 fr.
Us seront également établis, à bon marché, en couleur, de même que les quais de Paris,
que M. Aubert a fait aussi découper, réunir et placer dans une berîte , qui pourra être
offerte en étrennes.
Nouvelles têtes d’études, par M. Julien. La collection de ces belles études se compose
déjà de 12 planches, elle sera sans doute poussée à 24 au moment du jour de l’an, et for-
mera ainsi un fort beau présent pour lés jeunes élèves. Chaque feuille se vend 1 fr. 50 c.
Nouvelles académies, par MM. Julien, et autres artistes.
La Flore universelle, album dont le nombre de feuilles n’est pas encore fixé.
Plusieurs autres albums, des fleurs, des ornemens, des principes de dessin, des jou-
joux lithographiques, etc., etc.
Nota. L’on peut adresser à M. Aubert, ^franco, un bon sur la poste pour la valeur des
articles que l’on désire, et si cette demande est de 12 fr. au moins, M. Aubert fera tenir
en retour le articles demandés, FRANC DE PORT, pourvu que les messageries passent
dans la ville^du commettant.
ASSOCIATION POUR LA LIBERTE DE LA PRESSE.
. Un franc par mois donne droit à une Lithographie (chaque mois), tire'e seulement
pour les Souscripteurs. Cette Lithographie, exécutée par les principaux artistes du .jour-
nal la Caricature, sera toujours, pour les amateurs, d’une valeur bien supe'rieure ù un
fr., puisqu’elle u’est pas livrée au commerce.
Le produit de la souscription à la Lithographie mensuelle est destine' à former une
caisse de réserve, pour payer les frais des procès de la Caricature. (Les éditeurs de ce
journal hebdomadaire ont été frappés de ving-deux saisies en un an ; ils peuvent croire
qu’on ne s’en tiendra pas là.)
La Caricature, faite par des jeunes gens, s’adresse aux jeunes gens et, les appelle à
une association qui a pour but de défendre la liberté de la pensée. L’aide des hommes
de notre âge ne saurait nous manquer, nous l’espérons.
On souscrit, en envoyant franco un bon sur la poste.
On ne souscrit pas pour moins de trois mois. Le premier mois de la souscription est le
mois d’août 1832. La première Lithographie a paru le 30 août.
On peut souscrire depuis le premier numéro, on seulement depuis le mois courant.
Les Lithographies parviendront franco à l’associé.
On souscrit au bureau de la Caricature, galerie Véro-Dodat, au-dessus du.magasin
Pc nouveautés lithographiques (VAubert.
Nota. Le grand nombre de souscriptions pouvant seul nous faire atteindre le luit
que nous nous proposons, nous prions les amis de la Caricature de recruter pour elle
parmi leurs connaissances.
CONDITIONS D’ABONNEMENT :
La Caricature donne, par an, cent quatre Litographies exécutées par les Ar-
tistes les plus renommés. Chaque numéro, composé d’une feuille de texte et de
deux Lithographies, paraît très-exactement le jeudi.
L’Administration ne met pas dans lecommerce les Lithographies du journal. Les
Marchands ne pourront les obtenir qu’en s’abonnant.
Nota. Les personnes cpii recevraient des exemplaires froissés peuvent, au moyen
de l’action d’une presse à papier, faire disparaître les plis. 11 faut avoir soin d’ex-
poser préalablement la feuille à l’humidité.
pour trois mois, franc clc port.i5 fr.
pour six mois , idem.28
pour UN an , idem.52
1 franc de plus par trimestre pour Vétranger.
On souscrit à Paris : pour trois mois, en envoyant, franco, un lion de i3 fr., au
bureau de la Caricature,maison Aubert, galerie Véro-Dodat; MM. GuérinetCom-
pagnie, rue du Dragon, faubourg' St-Germaiu, offrent de faire loucher à domicile
et sans frais le montant des abonnemens; i! subira de leur écrire, de leur dire
quel abonnement on désire, et pour combien de temps. — On souscrit aussi cbe2
tous les libraires et les maîtres de poste de la France et de l’Etranger. —■Crucbet.
IMPRIMERIE d’aUFJ’RAY, PASSAGE DU CAIRE.