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Planche soixante-dixième. —t Le Mariage., Bas-relief en
terre cuite ; par M. Le Comte, professeur et admi-
nistrateur des Ecoles des beaux-arts.
Ce bas-relief fait suite à ceux de M. Le Comte que
l’on a donnés dans les Numéros précédons.
Un Prêtre vénérable, accompagné de Diacres et d’En-
fans de chœur, administre le Sacrement du Mariage
à deux jeunes Amans dont les parens sont présens à la
cérémonie. L’Epouse, couronnée de fleurs, baisse les
yeux avec modestie, et tient sa main gauche appuyée
sur son cœur. Son père, prosterné profondément, de-
mande à la Divinité de bénir l’union à laquelle elle
préside ; et la mère, au moment d’être séparée de sa
fille , ne peut retenir ses larmes.
On retrouve, dans ce bas-relief, la grâce, l’esprit et
la facilité que l’on a fait remarquer dans ceux du Bap-
tême, de la Pénitence et de l’Ordre que l’on doit au
même Sculpteur.
Dans le compte que l’on a rendu (page 67 de ce vo-
lume), d’un bas-relief du même auteur, il s’est glissé
une erreur légère, mais qu’il faut rectifier : on a dit que
M. Le Comte avait été reçu membre de l’Académie de
peinture et d’architecture en 1791 ; c’est en 1771 qu’il est
entré dans cette société célèbre.
Planche soixante-dixième. —t Le Mariage., Bas-relief en
terre cuite ; par M. Le Comte, professeur et admi-
nistrateur des Ecoles des beaux-arts.
Ce bas-relief fait suite à ceux de M. Le Comte que
l’on a donnés dans les Numéros précédons.
Un Prêtre vénérable, accompagné de Diacres et d’En-
fans de chœur, administre le Sacrement du Mariage
à deux jeunes Amans dont les parens sont présens à la
cérémonie. L’Epouse, couronnée de fleurs, baisse les
yeux avec modestie, et tient sa main gauche appuyée
sur son cœur. Son père, prosterné profondément, de-
mande à la Divinité de bénir l’union à laquelle elle
préside ; et la mère, au moment d’être séparée de sa
fille , ne peut retenir ses larmes.
On retrouve, dans ce bas-relief, la grâce, l’esprit et
la facilité que l’on a fait remarquer dans ceux du Bap-
tême, de la Pénitence et de l’Ordre que l’on doit au
même Sculpteur.
Dans le compte que l’on a rendu (page 67 de ce vo-
lume), d’un bas-relief du même auteur, il s’est glissé
une erreur légère, mais qu’il faut rectifier : on a dit que
M. Le Comte avait été reçu membre de l’Académie de
peinture et d’architecture en 1791 ; c’est en 1771 qu’il est
entré dans cette société célèbre.