EXPOSITION UNIVERSELLE DE '1878
LE MOYEN AGE ET LA RENAISSANCE
AU TROCADÉRO
LES IVOIRES.
ne exposition aussi
immense et aussi va-
riée que celle instal-
lée dans les galeries
du Trocadéro exige-
rait, pour être con-
venablement appré-
ciée , une foule de
connaissances qu’un
seul critique ne sau-
rait avoir. Aussi la
Gazelle des Beaux-
Avis , pour ne point
rester au-dessous de
la tâche quelle s’est imposée, a-t-elle dû répartir la matière entre plu-
sieurs de ses rédacteurs ordinaires auxquels elle a adjoint un certain
nombre de collaborateurs nouveaux.
M. Rayet a déjà commencé l’étude des monuments de l’antiquité
grecque qui lui est si familière. M. Benjamin Fillon, qui, parmi ses pas-
sions de collectionneur éclairé, a celle des antiquités mérovingiennes, a
bien voulu se charger de tout ce qui regarde les transformations de
l’art en Occident, depuis le commencement de notre ère jusqu’à l'avè-
nement des Carolingiens. M. Eugène Piot, dont le goût pour l’art italien
du xve siècle se montre dans tout ce qu’il a possédé et possède encore,
appréciera cet art dans le marbre et dans le bronze avec la haute com-
pétence que chacun lui reconnaît.
LE MOYEN AGE ET LA RENAISSANCE
AU TROCADÉRO
LES IVOIRES.
ne exposition aussi
immense et aussi va-
riée que celle instal-
lée dans les galeries
du Trocadéro exige-
rait, pour être con-
venablement appré-
ciée , une foule de
connaissances qu’un
seul critique ne sau-
rait avoir. Aussi la
Gazelle des Beaux-
Avis , pour ne point
rester au-dessous de
la tâche quelle s’est imposée, a-t-elle dû répartir la matière entre plu-
sieurs de ses rédacteurs ordinaires auxquels elle a adjoint un certain
nombre de collaborateurs nouveaux.
M. Rayet a déjà commencé l’étude des monuments de l’antiquité
grecque qui lui est si familière. M. Benjamin Fillon, qui, parmi ses pas-
sions de collectionneur éclairé, a celle des antiquités mérovingiennes, a
bien voulu se charger de tout ce qui regarde les transformations de
l’art en Occident, depuis le commencement de notre ère jusqu’à l'avè-
nement des Carolingiens. M. Eugène Piot, dont le goût pour l’art italien
du xve siècle se montre dans tout ce qu’il a possédé et possède encore,
appréciera cet art dans le marbre et dans le bronze avec la haute com-
pétence que chacun lui reconnaît.