INÉDITES
DÉCOUVERTES DANS LTLE DE THASOS
L’essai de fouilles que .j’ai tenté l’année dernière dans l’ile de
Thasos, a amené la découverte d'un grand nombre de marbres épi-
graphiques. J’ai choisi les mieux conservés et ceux qui n’étaient
pas d’un poids trop considérable. Ces marbres sont arrivés au
Louvre.
Les savants lecteurs de cette Revue me sauront gré de mettre immé-
diatement sous leurs yeux le texte de ces inscriptions, avec la lecture
et les restitutions que je propose.
Je m’abstiens, pour le moment, de tout commentaire : mes obser-
vations sur ces textes inédits trouveront leur place dans un travail
d’ensemble que je prépare sur l’onomatologie Thasienne, travail qui
comprendra également toutes les autres inscriptions que je n’ai pu
rapporter en France.
1. Thasos, port de Panagia. Voy. mon second Rapport à l’Empe-
reur.
Grand bas-relief remontant aux plus belles époques de l’art :
femme assise et tenant un coffret entre ses mains. Sur la frise su-
périeure on lit, en caractères très-anciens :
<DI AIEKAEOMH AEOS
dHV KXeojxvjSaoç.
DÉCOUVERTES DANS LTLE DE THASOS
L’essai de fouilles que .j’ai tenté l’année dernière dans l’ile de
Thasos, a amené la découverte d'un grand nombre de marbres épi-
graphiques. J’ai choisi les mieux conservés et ceux qui n’étaient
pas d’un poids trop considérable. Ces marbres sont arrivés au
Louvre.
Les savants lecteurs de cette Revue me sauront gré de mettre immé-
diatement sous leurs yeux le texte de ces inscriptions, avec la lecture
et les restitutions que je propose.
Je m’abstiens, pour le moment, de tout commentaire : mes obser-
vations sur ces textes inédits trouveront leur place dans un travail
d’ensemble que je prépare sur l’onomatologie Thasienne, travail qui
comprendra également toutes les autres inscriptions que je n’ai pu
rapporter en France.
1. Thasos, port de Panagia. Voy. mon second Rapport à l’Empe-
reur.
Grand bas-relief remontant aux plus belles époques de l’art :
femme assise et tenant un coffret entre ses mains. Sur la frise su-
périeure on lit, en caractères très-anciens :
<DI AIEKAEOMH AEOS
dHV KXeojxvjSaoç.