Universitätsbibliothek HeidelbergUniversitätsbibliothek Heidelberg
Metadaten

Instytut Sztuki (Warschau) [Editor]; Państwowy Instytut Sztuki (bis 1959) [Editor]; Stowarzyszenie Historyków Sztuki [Editor]
Biuletyn Historii Sztuki — 37.1975

DOI issue:
Nr. 4
DOI article:
Polemiki - recenzje
DOI article:
Żurowska, Klementyna: Wczesna architektura na ziemiach polskich pomiędzy rzeczywistością a fantazją
DOI Page / Citation link: 
https://doi.org/10.11588/diglit.48041#0396

DWork-Logo
Overview
loading ...
Facsimile
0.5
1 cm
facsimile
Scroll
OCR fulltext
RECENZJE — POLEMIKI

pomiędzy kryptą w Th.orn, a kryptą SS. Apostołów
w Kolonii28.
Ostatnio miałam okazję zapoznać się z artykułem
Z. Świechowskiego opublikowanym w r. 1966 (a więc
w rok po artykule w ”Westfalen”) w LTnformation
d’Histoire de l’Art 29. Sądzę, że zawarte tam uwagi na
temat Mogilna nie odbiegają zasadniczo od tych, które
zostały wyrażone w czasopiśmie niemieckim. Czytamy
tam na s. 158: ... nous ne sommes pas etonnes de voir
des elements de l’art rhenan dans l’Abbaye des

2S ibidem, s. 124—126.
29 Z. ŚWIECHOWSKI, Situation europeenne de l’archi-
tecture romane en Pologne [w:] L’Information d’histoire de
fart, 1966, s. 150—171.

Benedictins d Mogilno, construite en 1065 [...] la
crypte occidentale, sur plan carre avec un seul pilier
ąuadrilateral qui porte la retombee des uoutes d’are-
tes separees par des arcs-doubleaux, se trouue d la
base d’une immense tour demolie vers la fin du
XVIIIe siecle. Une analogie tres proche est prćsentee
par la crypte occidentale de 1’eglise des Saints-Apó-
tres d Cologne, construite entre 1021 et 1036.
Zacytowawszy oba stanowiska, czytelnikowi pozo-
stawiam osąd czy, i w jaki sposób moje uwagi mogą
być powtórzeniem Świechowskiego.
Wypowiedź L. Nowaka, napisana językiem lekkim
i z ogromną pewnością pióra, jest debiutem młodego
historyka sztuki. Szkoda, że za tymi walorami lite-
rackimi nie kryje się ani rzetelna wiedza, ani nau-
kowa uczciwość.

LA PLUS ANCIENNE ARCHITECTURE SUR LA TERRE POLONAISE
ENTRE LA REALITE ET LA FANTAIS1E

Dans le deuxieme cahier du XIX volume du
„Kwartalnik Architektury i Urbanistyki” parut Par-
ticie de Lesław Nowak intitule La plus ancienne ar-
chitecture sur la terre polonaise. Entre la jantaisie et
la realite. Cet auteur veut prouver que mes trois
dissertations l’une sur la rotonde de Wawel, l’autre
sur 1’eglise romane de Tyniec et la derniere sur
1’eglise romane de Mogilno, appartiennent a une
branche litteraire definie sous le vocable: „science —
fiction”. Pour apprecier la ąualite de 1’enonce de No-
wak, nous devons nous mettre au courant des me-
thodes employees tout au long de sa polemiąue. No-
wak a remis en ąuestion les bases logiąues du rai-
sonne.nent de ma disser'ation sur la rotonde de Wa-
wel. D’apres lui, le support de mon travail est con-
stitue par deux soi-disant premisses et une certitude.
Celles-ci sont, d’apres 1’auteur de cette polemiąue,
depourvues de bases scientifiąues. En confrontant
ces constatations avec mon texte, nous pouvons re-
marąuer facilement que 1’auteur de la polemiąue ne
voit pas la difference qu’il y a entre les premisses et
la conclusion. En effet la soi-disant deuxieme pre-
misse et la sjl-disant troisieme certitude de mon
etude representent les conclusions faisant suitę a de
longues analyses. La soi-disant premiere premisse
n’existe pas dans mon travail. En verite elle est ima-
ginee par 1’auteur car elle est necessaire pour lui, au
meme titre que ”la deuxieme premisse” et ”la troi-
sieme certitude”, en guise de point de depart pour son
raisonnement. Ainsi donc, Nowak, preparant un faux
systeme pour mon etude ne comprend pas ce qu’il lit

ou deforme consciemment le veritable sens, pour fa-
voriser ses propres buts.
En effet, Nowak a adopte cette attitude pour mon
hypothese relative a l’existence de la chapelle du pa-
lais a Gniezno datant de la seconde partie du Xe
siecle. Nous retrouvons une methode analogue de
transformer mes idees dans le texte de la polemiąue
relatif a mon travail sur 1’eglise de Tyniec. Nowyak
estime, qu’en faisant la reconstruction des tours de
1’eglise, je ne possede aucune base scientifiąue sauf
un segment enigmatiąue des fondations remontant au
XVIIe siecle. Et encore une fois, la confrontation de
cette declaration avec mon texte demontre que, dans
les memes pages citees par 1’auteur de la critiąue, je
presente les bases materielles de ma reconstruction
completement differemment que celles suggerees par
Nowak. Les plus caracteristiąues pour la methode de No-
wak sont les remarąues finales sur mon travail con-
cernant Tyniec. Ma these sur la formation d’une tra-
dition locale de construction en pierre a Cracovie, au
cours du XIe siecle n’a pas ete prise en consideration.
Mais, par contrę, il m’a attribue d’avoir fait une con-
fusion des ateliers de constructions de la premiere
cathedrale commencee aux environs de 1020, et ce
de 1’eglise de Tyniec datant du dernier ąuart du XIe
siecle.
En conclusion, je pense que personne n’est pas
oblige d’etre d’accord avec mes hypotheses mais, en
meme temps, j’estime que la probite et 1’honnetete
scientifiąues exigent la presentation des pensees
d’autrui en accord avec leur sens veritable.
(trąd. Piotr Trybuś)
 
Annotationen