TABLICE EREKCYJNE Z KRĘGU OLEŚNICKIEGO
50 Najwspanialsza seria nagrobków tego rodzaju po-
wstała w Neapolu, upamiętniając w trzeciej de-
kadzie XIV w. pochowki tamtejszych Andega-
wenów, BAUCH, op. cit., s. 181—184.
57 D. KOCKS, Die Stifterdarstellungen in der ita-
lienischen Malerei des 13.—15. Jahrhunderts,
Koln 1971, s. 244—245.
'8 Złożoną genezę epitafiów omówił WECKWERTH,
op. cit., s. 147—185, zwłaszcza s. 168—173; zob.
też BAUCH, op. cit., s. 198—214.
59 Por. BAUCH, op. cit., s. 199—201 i 203—204.
69 GUMOWSKI, op. cit., nr 206 i 227 oraz S.K. KU-
CZYŃSKI, Pieczęcie książąt mazowieckich, Wroc-
ław—Warszawa—Kraków—Gdańsk 1978, s. 145—
147, nr kat. 16.
61 M. KORNECKI, H. MAŁKIEWICZOWNA, Mało-
polska, (w:) Gotyckie malarstwo ścienne w Pol-
sce, pod red. A. Karłowskiej-Kamzowej, Poznań
1984, s. 22, 38—39 i 206.
62 GADOMSKI, op. cit., s. 101—102.
63 H. SOUKUPOVA, Pohrby Premysloncu v klaśte-
fe Bl. Aneżky v Praze na Frantiśku, „Casopis
Naradniho Muzea — rada historicka" CLIV, 1985,
nr 1, s. 14—40.
64 V. DVORAKOVA, Karlstejn a dvorske malifstni
doby Karla IV, (w:) Dejiny ćeskeho vytvarneho
umeni, t. 1: Od poćdtku do konce stredoneku,
pod red. R. Chadraby, Praha 1984, cz. 1, s. 313, il.
32.
65 J. PESINA, Deskond malba, (w;) tamże, s. 375.
" Pod kątem genezy epitafium zagadnienie to omó-
wiła M. LUTZE, Das plastische Bildepitaph in
Deutschland, Leipzig 1931, s. 22—25; zob. też
WECKWERTH, op. cit., s. 150—155.
67 Obecnie Bayrischen Nationalmuseum w Mona-
chium, omówił ją G. SCHMIDT, Recenzja (P.E.
Schramm M. Fillitz, Denkmdle der deutschen Ko-
nige und Keiser, t. II, Munchen 1978), „Zeit-
schrift fur Kunstgeschichte" XLVII, 1980, nr 4,
s. 410.
63 H. WENZEL, Stifterbilder der Zeit urn 1400. in
Wurtemberg, „Wurtembergisch Franken. Jahr-
buch des Historischen Vereins fur Wurtember-
gisch Franken" Neue Folge XX/XXI, 1938/40, s.
241—242.
69 Problem ten został omówiony szerzej, por. P. MRO-
ZOWSKI, Historyczne „legitimatio" a fundacje
Zbigniewa Oleśnickiego, (w:) Sztuka i historia
(w druku).
LES PLAQUES DE FONDATION DU CERCLE DE ZBIGNIEW DE OLEŚNICKI
Cet artiele presente un ensemble de six
plaques de fondation, creees en Petite Pologne
entre 1438 et 1480, qui sont caracterisees par
un programme iconographique exceptionnel.
Les vertus des donateurs sont ici montrees
par une image du fondateur agenouille qui
presente a la Vierge trónante un modele de
sa donation. Le theme de la priere, „adoratio",
etait tres populaire dans 1'iconographie me-
dievale, cependant aux XIVe et XVe siecles
il etait rarement combine avec celui de la
„dedicatio", scene de la presentation d'un don.
En Pologne sur les vingt-cinq plaques de fon-
dation gothiques conservśes, seules six sont
caracterisees par une telle representation.
Hormis cette parente iconographique, ces six
plaques sont liees entre elles par leurs fonda-
teurs qui forment un cercie de proches. La
plaque de Sienno, posterieure a 1438, comme-
more une fondation du palatin Dobiesław de
Oleśnica; celles de Piotrawin (1440), de Bo-
dzentyn (1452) et de la Pension Jćrusalem
(1453) a Cracovie rappellent les merites et
donations de son neveu, le cardinal Zbigniew,
eveque de Cracovie. Enfin les deux dernieres
plaques, celle de Wiślica (1464) et celle de la
maison des Psalmistes au Wawel (1480), fu-
rent commandees par Jan Długosz, secretaire
et confident du Cardinal pendant plusieurs
annees.
L'analyse formelle donne a penser que ces
oeuvres furent crećs dans cinq ateliers dif-
ferents. La plus ancienne et la plus remar-
quable, la plaque de Sienno, est la plus isolee.
Elle a, vraisemblablement, ete sculptee sur
place; cependant, sa genese artistique ne peut
etre expliquee par la seule tradition locale.
Son sculpteur, implante en Petite Pologne,
a subi probablement 1'influence saxo-thurin-
gienne. Cependant, on peut supposer que son
style avait deja óte faęonne au debut du XVe
siecle dans des ateliers de Salzbourg. Cela
semble etre prouve par la parente de facture
qui existe entre la plaque de Sienno et les
51
50 Najwspanialsza seria nagrobków tego rodzaju po-
wstała w Neapolu, upamiętniając w trzeciej de-
kadzie XIV w. pochowki tamtejszych Andega-
wenów, BAUCH, op. cit., s. 181—184.
57 D. KOCKS, Die Stifterdarstellungen in der ita-
lienischen Malerei des 13.—15. Jahrhunderts,
Koln 1971, s. 244—245.
'8 Złożoną genezę epitafiów omówił WECKWERTH,
op. cit., s. 147—185, zwłaszcza s. 168—173; zob.
też BAUCH, op. cit., s. 198—214.
59 Por. BAUCH, op. cit., s. 199—201 i 203—204.
69 GUMOWSKI, op. cit., nr 206 i 227 oraz S.K. KU-
CZYŃSKI, Pieczęcie książąt mazowieckich, Wroc-
ław—Warszawa—Kraków—Gdańsk 1978, s. 145—
147, nr kat. 16.
61 M. KORNECKI, H. MAŁKIEWICZOWNA, Mało-
polska, (w:) Gotyckie malarstwo ścienne w Pol-
sce, pod red. A. Karłowskiej-Kamzowej, Poznań
1984, s. 22, 38—39 i 206.
62 GADOMSKI, op. cit., s. 101—102.
63 H. SOUKUPOVA, Pohrby Premysloncu v klaśte-
fe Bl. Aneżky v Praze na Frantiśku, „Casopis
Naradniho Muzea — rada historicka" CLIV, 1985,
nr 1, s. 14—40.
64 V. DVORAKOVA, Karlstejn a dvorske malifstni
doby Karla IV, (w:) Dejiny ćeskeho vytvarneho
umeni, t. 1: Od poćdtku do konce stredoneku,
pod red. R. Chadraby, Praha 1984, cz. 1, s. 313, il.
32.
65 J. PESINA, Deskond malba, (w;) tamże, s. 375.
" Pod kątem genezy epitafium zagadnienie to omó-
wiła M. LUTZE, Das plastische Bildepitaph in
Deutschland, Leipzig 1931, s. 22—25; zob. też
WECKWERTH, op. cit., s. 150—155.
67 Obecnie Bayrischen Nationalmuseum w Mona-
chium, omówił ją G. SCHMIDT, Recenzja (P.E.
Schramm M. Fillitz, Denkmdle der deutschen Ko-
nige und Keiser, t. II, Munchen 1978), „Zeit-
schrift fur Kunstgeschichte" XLVII, 1980, nr 4,
s. 410.
63 H. WENZEL, Stifterbilder der Zeit urn 1400. in
Wurtemberg, „Wurtembergisch Franken. Jahr-
buch des Historischen Vereins fur Wurtember-
gisch Franken" Neue Folge XX/XXI, 1938/40, s.
241—242.
69 Problem ten został omówiony szerzej, por. P. MRO-
ZOWSKI, Historyczne „legitimatio" a fundacje
Zbigniewa Oleśnickiego, (w:) Sztuka i historia
(w druku).
LES PLAQUES DE FONDATION DU CERCLE DE ZBIGNIEW DE OLEŚNICKI
Cet artiele presente un ensemble de six
plaques de fondation, creees en Petite Pologne
entre 1438 et 1480, qui sont caracterisees par
un programme iconographique exceptionnel.
Les vertus des donateurs sont ici montrees
par une image du fondateur agenouille qui
presente a la Vierge trónante un modele de
sa donation. Le theme de la priere, „adoratio",
etait tres populaire dans 1'iconographie me-
dievale, cependant aux XIVe et XVe siecles
il etait rarement combine avec celui de la
„dedicatio", scene de la presentation d'un don.
En Pologne sur les vingt-cinq plaques de fon-
dation gothiques conservśes, seules six sont
caracterisees par une telle representation.
Hormis cette parente iconographique, ces six
plaques sont liees entre elles par leurs fonda-
teurs qui forment un cercie de proches. La
plaque de Sienno, posterieure a 1438, comme-
more une fondation du palatin Dobiesław de
Oleśnica; celles de Piotrawin (1440), de Bo-
dzentyn (1452) et de la Pension Jćrusalem
(1453) a Cracovie rappellent les merites et
donations de son neveu, le cardinal Zbigniew,
eveque de Cracovie. Enfin les deux dernieres
plaques, celle de Wiślica (1464) et celle de la
maison des Psalmistes au Wawel (1480), fu-
rent commandees par Jan Długosz, secretaire
et confident du Cardinal pendant plusieurs
annees.
L'analyse formelle donne a penser que ces
oeuvres furent crećs dans cinq ateliers dif-
ferents. La plus ancienne et la plus remar-
quable, la plaque de Sienno, est la plus isolee.
Elle a, vraisemblablement, ete sculptee sur
place; cependant, sa genese artistique ne peut
etre expliquee par la seule tradition locale.
Son sculpteur, implante en Petite Pologne,
a subi probablement 1'influence saxo-thurin-
gienne. Cependant, on peut supposer que son
style avait deja óte faęonne au debut du XVe
siecle dans des ateliers de Salzbourg. Cela
semble etre prouve par la parente de facture
qui existe entre la plaque de Sienno et les
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