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Instytut Sztuki (Warschau) [Hrsg.]; Państwowy Instytut Sztuki (bis 1959) [Hrsg.]; Stowarzyszenie Historyków Sztuki [Hrsg.]
Biuletyn Historii Sztuki — 37.1975

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Nr. 2
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Pałamarz, Piotr: Krucyfiks w kościele św. Barbary w Krakowie: przyczynek do dziejów małopolskiej rzeźby gotyckiej
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PIOTR PAŁAMARZ

Formalny roziwój sztuki, wynikający z pogłębiania
się realistycznego widzenia rzeczywistości, doprowa-
dził na przełomie w. XV/XVI do powstania nowego
kanonu postaci Chrystusa Ukrzyżowanego, którego
apollińska struktura, będąca uosobieniem męskiej siły,
stanowiła zapowiedź renesansowego widzenia świa-
ta76. Niewątpliwie był on równocześnie wyrazem
świadomego nawiązania do idealnie pięknej formy an-
tycznej przetransponowanej w kategoriach chrześci-
jańskiego humanizmu77 Utożsamiany z pięknem Apo-
llina Chrystus o atletycznej budowie ciała jest nie tyl-
76 Nazwa „apolliński typ” krucyfiksu stosowana jest
w literaturze zamiennie z określeniem „typ atletyczny”,
bądź też „krucyfiks wyprężony”. Por. L. FISCHEL, Nico-
laus Gerhaert und die Bildhauer der deutschen Spatgotik,
Mtinchen 1944, s. 46; — DETTLOFF, o.c., s. 18; — Reallerikon
fur Antike und Christentum I, Stuttgart 1950, s. 523; —
E. TRAJDOS, Krucyfiks ze Starego Wiśnicza, „Biul. Hist.
Sztuki” XXV, 1963, nr 1, s. 69; -- OLSZEWSKI, o.c., S.
570; — Z. POLAK-TRAJDOS, Więzi artystyczne Polski ze

ko Bogiem, ale również człowiekiem. W poszczegól-
nych realizacjach tego nowego typu, pełen ekspre-
syjnego realizmu Zbawiciel dźwiga na iswym obliczu
ciężar grzechów całego świata oraz swój własny ból
fizyczny.
Reasumując dotychczasowe rozważania stwierdzić
można, że szczegółowe rozpatrywanie kolejnych reali-
zacji tego tematu dowodzi stopniowego powstawania
nowych typów, które z kolei podlegając ogólnemu
rozwojowi stylistycznemu różnicują się na szereg wa-
riantów, decydując o konsekwentnej ewolucji78.
Spiszem i Słowacją od połowy XV do początku XVI wieku,
Wrocław—Wraszawa 1970, s. 89.
77 E. HEMPEL, Christustypus [w:] Reallerikon zur
deutschen Kunstgeschićhte III, Stuttgart 1954, szp. 738; —
AUERENHAMMER, o.c., H. 6, S. 554; — M. DVORAK,
Idealizm i naturalizm w rzeźbie i malarstwie gotyckim
[w:] Mar Dvofdk i jego teoria dziejów sztuki, Warszawa
1974, s. 106.
78 KRZYMUSKA, o.c., s. 172.

LE CRUCIFIX DE L EGLISE SAINTE BARBE DE CRACOYIE

Le maitre-autel de TEglise Sainte Barbe de Craco-
vie abrite un crucifix gothiąue en bois, que Fon
expose dans la periode du Careme et qui est un des
rares exemples, co.nserves a Cracovie, de ce type
d’objet de culte de la periode avant Wit Stwosz. Tout
comme la plupart des crucifix moyenageux, il pas-
sait pour miraculeux. Jusqu’a present, les etudes d’his-
toire de Fart ne l’avaint traite qu’en marge des
considerations plus generales. On a cherche a l’attri-
buer a un des sculpteurs gothiques de la Petite Po-
logne, ou bien a quelque artiste silesien en plaęant
la datę de son execution entre 1420 et 1430. Des don-
nees essentielles pour son histoire se trouvent dans
le „Journal” des Jesuites cracoviens que le rev. Jan
Wielewicki redigeait dans les annees 1579—<1629. La
premiere mention relative datę de 1609 et dit que
le crucifix en question etait a cette epoque place in
medio templi. Une autre mention, de 1613, nous in-
forme que la figurę du Christ etait alors placee au
milieu du tempie in columna. Le 12 mai 1622, le cru-
cifix, fixe au centre de 1’eglise depuis le temps ou
celle-ci etait passee aux Jesuites, a ete transfere sur
l’autel principal, puisąue la ou il se trouvait aupara-
vent il genait considerablement les services religieux.
Pour definir la fonction du crucifix en question
a l’epoque ou il se trouvait encore au centre du tem-
pie, il convient de rappeler que, des l’epoque caro-
lingienne, au milieu de 1’eglise on plaęait d’habitude
un autel de la Sainte Croix avec un grand crucifix
a cóte de lui, de faęon que tous les fideles puissent
bien le voir. Au cours du XIIe et au debut du XIIIe
siecle, ccmmence a apparaitre le lectorium, par suitę
de quoi, la croix s’elevant jusqu’alors in medio templi,
est transferee soit sur le lectorium, soit sur la poutre
dite en arc-en-ciel. Ainsi sureleve, le crucifix prend
le nom de crux triumphalis. Grace a sa fonction im-
portante, le crucifix triomphal devient un des ele-
ments indispensables de 1’amenagement des eglises, et
le principe de le placer in eminentiori loco etait ri-

goureusement observe. En temoignent les dispositions
reiterees de 1’archidiacre de Gniezno, Jan de Łuków,
de l’archidiacre de Cracovie, Bartłomiej Gądkowski
ainsi que les recommandations du Cardinal Stanisław
Hozjusz.
L’examen des sources conservees et les resultats
des recherches architecturales, ont permis d’effectuer
une reconstruction hypothetique de 1’amenagement de
1’interieur gothiąue de 1’eglise Sainte Barbe. II en
resulte que c’etait jadis un edifice a une nef, sans
abside separee du reste. Une telle hypothese trouve
sa confirmation dans la lettre du provincial de la
province polonaise, Jean Paul Campano, qui parle
de 1’eglise Sainte Barbe comme d’un edifice recouvert
d’une seule voute, sans piliers. En admettant que telle
etait la structure primitive de 1’eglise, on est force
a se poser la ąues.tion ou et comment, dans un inte-
rieur a une nef, ou la poutre dite en arc-en-ciel n’e-
xistait probablement pas, etait situe le crucifix du
centre de 1’eglise. Puisque la colonne dont parle Wie-
lewicki, sur laąuelle reposait 1’effigie du Christ, ne
pouvait etre un pilier, on est porte a croire que ce
n’etait qu’un socle en bois, une sorte de piedestał.
Le crucifix etant place, selon les regles en vigueur,
au centre du tempie, on peut admettre quil jouait
primitivement le role de crucifix triomphal.
Une analyse au point de vue de formę de la figu-
rę, geometr.iquement 'synthetdsee, du Christ prouve
que celle-ci se rapproche du canon repandu des le
debut du XVe siecle, tendant a presenter 1’homme
ideał, eleve au desisus de la mediocrite. Le corps ten-
du presente un schema clair, reduit a deux axes croi-
ses verticalement. En comparant le crucifix de Cra-
covie a la representation du Christ en croix de Mar-
cyporęba, a celle de Sulejów-Podklasztorze ou encore
a celle de 1’eglise Saint Marc de Cracovie, on est au-
torise a considerer ce premier comme un exemple de
la sculpture gothique de la Petite Pologne dont il

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