DOI Heft:
Numéro 111 (20 Décembre 1832)
DOI Seite / Zitierlink: https://doi.org/10.11588/diglit.26416#0293
886
885
LA CARICATURE.
S’il faut en croire les bruits de Bourse, il a été question au dernier
conseil de mettre à la disposition du commissaire anglais, pour amortir
l’ardeur de nos soldats , M. Lobau avec ses émolliens, et M. Viennet
avec ses narcotiques.
Alt.
JJIoiuSks.
—•»««««■—
_ 229. _
cent quarante-troisième interrogatoire subi par le même criminel.
M. Déja-Comiqtje. -—Vos nom, prénoms, lieu de naissance, âge et
profession? — Ch. Philipon, 3a ans, né à Lyon, professeur de phi-
losophie grotesque. — Reconnaissez-vous ce dessin ? — Tiens !
quelle. question ! Certainement oui ! — Vous êtes accusé d’exci-
tation au renversement de la marmite monarchique. Qu’avez-vous à
répondre? — Que votre marmite se renversera d’elle-même, si elle
doit jamais se renverser, sans qu’il soit besoin de la pousser. —
Que signifient le Programme et la Marseillaise pendus h ce clou ?
— Qu’on en a fait du vieux papier pour le vendre à la livre. —Qu’en-
tendez-vous par le mot provisoire écrit sur un légume ? — Que les
douzièmes provisoires sont des carotes tirées aux contribuables. — Et
ces marmites, à quoi font-elles allusion ? — Elles signifient que la va-
letaille de la république, dé l’empire et de la restauration, a relevé
son pot au feu renversé par le peuple. Voici le vieux pot fêle dcTal-
leyrancl : le couvercle est une mitre d’évêque ; voilà celui du nez eu-
ropéen , c’est celui d’un ministre de Charles X 5 celui de la justice
vient apres , il est orné d’un œil de cyclope ; ensuite, celui du maré-
chal porte-cierge, et celui d’un contrebandier alsacien. De l’autre coté,
la marmite à seringue, le pot d’un président au gros sel, et. celui de
M. Guizot de la Guizotine, chef de la doctrine. — Pourquoi les jour-
naux brûlent-ils? — Parce que vous avez été assez fous pour y mettre
le feu. — Et cette ombre projetée sur le mur par le cuisinier qui se
chauffe ? — C’est une simple poire.
M. DéjA-CoMiQUE , aux gendarmes. Reconduisez le prévenu.
— N® 230. —
La conversation du soir avait roulé sur l’horrible attentat, sur les
exploits de Fanfan et les voyages maritimes du marmot. Ou avait ri ,
comme bien vous pensez, et tout promettait des songes de folie pour
le sommeil de la nuit, lien fut autrement pour l’artiste R...., qui
rêva enterrement, et qui crut assister aux funérailles du Juste-Milieu.
Toute sa famille était morte, les cloches sonnaient, les cierges scin-
tillaient dans la chapelle, et les prêtres chantaient un De profonclis ,
auquel le peuple répondait en chœur et de tout son cœur, en excla-
mant : Amen ! amen ! ! amen ! ! !
M. B.... a voulu nous montrer les différons attributs qui, dans son
rêve, décoraient les catafalques de toute sa famille, et nous avons
accepté ce dessin comme une peinture fantastique.
Ch. Pii.
— N» 231. —
PLAN DE LA VILLE ET DE LA CITADELLE D’ANVERS.
Quand tous les yeux sont fixés sur le point où notre brave armée
combat avec tant de courage les hommes et les élémens, nous avons
voulu que nos abonnés fussent parfaitement à même de suivre les
opérations de nos frères, et nous avons fait exécuter le plan que nous
donnons aujourd’hui.
Aucun journal n’a livré un dessin aussi exact et aussi détaillé.
NOTICE 91®. ANVEKS.
Anvers (Antwerpen) , ville autrefois très-
riche r sur la rive droite de l'Escaut , à 17
lieues de la mer , 8 de Bruxelles , 9 de Gand,
35 d’Amsterdam, 72 de Paris ; très-forte 5 po-
pulation, 62,000 ; le port très-profond pou-
vant contenir 1000 navires ; l’arsenal très-
considérable a été brûlé çç i83ojla citadelle
la commande.
Elle fat souvent le théâtre de la guerre 5 en
1^79 un combat fut livré clans la plaine de
Burghorout ; en i585 elle fut prise par les
Espagnols commandés par le duc d'Albc, après
une défense d’un an. En iG(>~, autre combat
livré près d’Austruweel.
En 1792, assiégée et prise par les Fran-
çais.
En 1814, Carnot la défendit contre les An-
glais et les Prussiens.
D’immenses travaux entrepris par les or-
dres de Napoléon furent détruits à la cessation
des hostilités.
Depuis i83o plusieurs ouvragés ont été ré-
parés ou ajoutés pour la défense de la ville et
de la citadelle.
La ville est bien bâtie et bien percée , clic
renferme 28 places, dont les principales sont
la place de Rïeer et la place Verte. La cathé-
drale , d’une rare beauté , dans le genre go-
thique , offre une tour terminée en flèche à
jours d’un travail admirable, haute de 4 GG
pieds.
Les autres monumens sont l?Hôtcl-de-Ville,
la Bourse , la Salle de spectacles, la mai-
son dite des Oosterlingues, plusieurs Eglises,
je Bagne , les Quais , les Ponts , la Calje
d’embarcation , les Bassins, les Chantiers de
marine, brûlés en même temps quel7 Arsenal.
Grand commerce de dentelles dites Mali-
nes , de fil, de Diamans, d’Etoffes de soie.
Berceau de l’école Flamande, patrie de
Téniers , de Paul Rubens, et de Wandick.
ARMÉE FRANÇAISE.
Maréchal Gérard, commandant en chef.
Général Neigre, commandant en chef l’ar-
tillerie.
Général Iïaxo, commandant en chef le gé-
nie.
Général Saint-Cyr-Nugues, chef d’état-
major général.
M. de la Neuville, intendant-général.
AVANT-GARDE.
Le duc d’Orléans, 2e léger, 1e1 hussards ,
3e lanciers.
i, e division, le lieutenant-général Sébas-
tiani.
.4vc brigade, le général Harlet, 11e léger,
5e de ligne.
2e brigade, le général Rumigny, 8e de ligne,
19e de ligne.
2e division , le lieutenant-général A char t.
j, e.brigade, général Castellane , 8c léger,
12e de ligne.
2e brigade, général Woirot, 22e de ligne,
89e de ligne.
3e division, le lieutenant-général Jamin.
i,c brigade, général Zœpfel, 19e léger, 18e
de ligne.
2e brigade, général Georges, 52e de ligne ,
586 de ligne.
4e division, le lieutenant-général Fabre.
ir0 brigade, général Rapatel, 70 de ligne ,
25e de ligne.
2e brigade, général Pincourt, 61e de ligne,
G5C de ligne.
5e division, cavalerie , le lieutenant-géné-
ral Dejéan.
irc brigade, général de Rigny, 2e hussards,
Ier chasseurs.
2e brigade, général Latour - Maubourg ,
5e dragons, 10e dragons.
Général Lawestinc, 7 e chasseurs, 8- chas-
seurs.
Général Simoneau, 4e chasseurs, 3° hus-
sards .
Cavalerie de réserve : le lieutenant-géné-
ral Gentil-Saint- Alphonse.
irc brigade, général Villate, icr cuiras-
siers, 4e cuirassiers. .
2« brigade, général Gusfer, 9e cuirassiers,
10e cuirassiers.
17 régimens d’infanterie à 3 bataillons ;
6r bataillons ; 40,800 hommes.
li régimens de cavalerie à escadrons \
5G escadrons 5 7.000 hommes.
90 bouches à feu, 12 compagnies pour les
servir, 8 compagnies de sapeurs-mineurs j
2,200 hommes.
Un équipage de ponts.
De plus, une division de grenadiers et
voltigeurs.
Lieutenant-general, Scliram.
iro brigade, général Rulhièrc.
2e brigade, général Durocheret.
Ducrest de Villeneuve, commandant l’es-
cadre française.
Sir Macolm, commandant l’escadre an-
glaise .
Colonel Caradock, commissaire anglais,
TROUPES HOLLANDAISES DANS LA CITADELLE.
Commandant en chef, général Chasse.
Commandant en second, général major
Favauge.
1 2 bataillons formant environ G,000 liom.
Commandant du génie, colonel Vauver-
vick.
TROUTES BELGES DANS LA VILLE.
Commandant-général, Buzen. G,ooo boni.
POSITIONS FRANÇAISES ET BELGES.
1. Fortifications le long du port , de la
digue, etc.
2. Batterie d’Enfer.
3.
ici.
Saint-Laurent.
4-
id.
cachées.
5.
id.
commencées.
G. Magasin à poudre.
7. Canonnières belges.
8. Fortifications intérieures,
9. Ligne du camp retranché.
DÉTAILS DE LA VILLE.
10. Bassins.
11. Cathédrale.
12. Spectacle.
13. Arsenal.
i4* Variétés.
15. Bourse.
16. Nouvel entrepôt.
17. Place Verte.
18. Maison-de-Ville.
19. Entrepôt brûlé.
POSITIONS HOLLANDAISES.
A. Arsenal brûlé.
fi. Flotille.
C. Coupures des digues.
D. Navigation par les terres.
E. Communication.
Quartier général, Berchem, maison der-
rière l’église.
ir0 division, à Beveren.
2 e division, à Donek, avec brigade Si me-
neau.
3e division, à Putte.
4e division, à Wilryck.
Brigade Voirol, à Sautviel
Brigade Lawestine, route deBerg-op-Zoom.
Brigade Castellane, à Scbilde.
Brigade de siège , d’Orléans , Dincourl,
Zœpfel et Rapatel ; plus, le 6e, le 52e et le Gô*.
9e de ligne et 3e chasscuTS earûpés entre
Bevel et Grovcndonck
17e léger campé à droite de Burgerbout.
Gc et 180 de ligne dans la ville.
a. Dépôts de tranchée.
b. Batteries (104 bouches à feu).
885
LA CARICATURE.
S’il faut en croire les bruits de Bourse, il a été question au dernier
conseil de mettre à la disposition du commissaire anglais, pour amortir
l’ardeur de nos soldats , M. Lobau avec ses émolliens, et M. Viennet
avec ses narcotiques.
Alt.
JJIoiuSks.
—•»««««■—
_ 229. _
cent quarante-troisième interrogatoire subi par le même criminel.
M. Déja-Comiqtje. -—Vos nom, prénoms, lieu de naissance, âge et
profession? — Ch. Philipon, 3a ans, né à Lyon, professeur de phi-
losophie grotesque. — Reconnaissez-vous ce dessin ? — Tiens !
quelle. question ! Certainement oui ! — Vous êtes accusé d’exci-
tation au renversement de la marmite monarchique. Qu’avez-vous à
répondre? — Que votre marmite se renversera d’elle-même, si elle
doit jamais se renverser, sans qu’il soit besoin de la pousser. —
Que signifient le Programme et la Marseillaise pendus h ce clou ?
— Qu’on en a fait du vieux papier pour le vendre à la livre. —Qu’en-
tendez-vous par le mot provisoire écrit sur un légume ? — Que les
douzièmes provisoires sont des carotes tirées aux contribuables. — Et
ces marmites, à quoi font-elles allusion ? — Elles signifient que la va-
letaille de la république, dé l’empire et de la restauration, a relevé
son pot au feu renversé par le peuple. Voici le vieux pot fêle dcTal-
leyrancl : le couvercle est une mitre d’évêque ; voilà celui du nez eu-
ropéen , c’est celui d’un ministre de Charles X 5 celui de la justice
vient apres , il est orné d’un œil de cyclope ; ensuite, celui du maré-
chal porte-cierge, et celui d’un contrebandier alsacien. De l’autre coté,
la marmite à seringue, le pot d’un président au gros sel, et. celui de
M. Guizot de la Guizotine, chef de la doctrine. — Pourquoi les jour-
naux brûlent-ils? — Parce que vous avez été assez fous pour y mettre
le feu. — Et cette ombre projetée sur le mur par le cuisinier qui se
chauffe ? — C’est une simple poire.
M. DéjA-CoMiQUE , aux gendarmes. Reconduisez le prévenu.
— N® 230. —
La conversation du soir avait roulé sur l’horrible attentat, sur les
exploits de Fanfan et les voyages maritimes du marmot. Ou avait ri ,
comme bien vous pensez, et tout promettait des songes de folie pour
le sommeil de la nuit, lien fut autrement pour l’artiste R...., qui
rêva enterrement, et qui crut assister aux funérailles du Juste-Milieu.
Toute sa famille était morte, les cloches sonnaient, les cierges scin-
tillaient dans la chapelle, et les prêtres chantaient un De profonclis ,
auquel le peuple répondait en chœur et de tout son cœur, en excla-
mant : Amen ! amen ! ! amen ! ! !
M. B.... a voulu nous montrer les différons attributs qui, dans son
rêve, décoraient les catafalques de toute sa famille, et nous avons
accepté ce dessin comme une peinture fantastique.
Ch. Pii.
— N» 231. —
PLAN DE LA VILLE ET DE LA CITADELLE D’ANVERS.
Quand tous les yeux sont fixés sur le point où notre brave armée
combat avec tant de courage les hommes et les élémens, nous avons
voulu que nos abonnés fussent parfaitement à même de suivre les
opérations de nos frères, et nous avons fait exécuter le plan que nous
donnons aujourd’hui.
Aucun journal n’a livré un dessin aussi exact et aussi détaillé.
NOTICE 91®. ANVEKS.
Anvers (Antwerpen) , ville autrefois très-
riche r sur la rive droite de l'Escaut , à 17
lieues de la mer , 8 de Bruxelles , 9 de Gand,
35 d’Amsterdam, 72 de Paris ; très-forte 5 po-
pulation, 62,000 ; le port très-profond pou-
vant contenir 1000 navires ; l’arsenal très-
considérable a été brûlé çç i83ojla citadelle
la commande.
Elle fat souvent le théâtre de la guerre 5 en
1^79 un combat fut livré clans la plaine de
Burghorout ; en i585 elle fut prise par les
Espagnols commandés par le duc d'Albc, après
une défense d’un an. En iG(>~, autre combat
livré près d’Austruweel.
En 1792, assiégée et prise par les Fran-
çais.
En 1814, Carnot la défendit contre les An-
glais et les Prussiens.
D’immenses travaux entrepris par les or-
dres de Napoléon furent détruits à la cessation
des hostilités.
Depuis i83o plusieurs ouvragés ont été ré-
parés ou ajoutés pour la défense de la ville et
de la citadelle.
La ville est bien bâtie et bien percée , clic
renferme 28 places, dont les principales sont
la place de Rïeer et la place Verte. La cathé-
drale , d’une rare beauté , dans le genre go-
thique , offre une tour terminée en flèche à
jours d’un travail admirable, haute de 4 GG
pieds.
Les autres monumens sont l?Hôtcl-de-Ville,
la Bourse , la Salle de spectacles, la mai-
son dite des Oosterlingues, plusieurs Eglises,
je Bagne , les Quais , les Ponts , la Calje
d’embarcation , les Bassins, les Chantiers de
marine, brûlés en même temps quel7 Arsenal.
Grand commerce de dentelles dites Mali-
nes , de fil, de Diamans, d’Etoffes de soie.
Berceau de l’école Flamande, patrie de
Téniers , de Paul Rubens, et de Wandick.
ARMÉE FRANÇAISE.
Maréchal Gérard, commandant en chef.
Général Neigre, commandant en chef l’ar-
tillerie.
Général Iïaxo, commandant en chef le gé-
nie.
Général Saint-Cyr-Nugues, chef d’état-
major général.
M. de la Neuville, intendant-général.
AVANT-GARDE.
Le duc d’Orléans, 2e léger, 1e1 hussards ,
3e lanciers.
i, e division, le lieutenant-général Sébas-
tiani.
.4vc brigade, le général Harlet, 11e léger,
5e de ligne.
2e brigade, le général Rumigny, 8e de ligne,
19e de ligne.
2e division , le lieutenant-général A char t.
j, e.brigade, général Castellane , 8c léger,
12e de ligne.
2e brigade, général Woirot, 22e de ligne,
89e de ligne.
3e division, le lieutenant-général Jamin.
i,c brigade, général Zœpfel, 19e léger, 18e
de ligne.
2e brigade, général Georges, 52e de ligne ,
586 de ligne.
4e division, le lieutenant-général Fabre.
ir0 brigade, général Rapatel, 70 de ligne ,
25e de ligne.
2e brigade, général Pincourt, 61e de ligne,
G5C de ligne.
5e division, cavalerie , le lieutenant-géné-
ral Dejéan.
irc brigade, général de Rigny, 2e hussards,
Ier chasseurs.
2e brigade, général Latour - Maubourg ,
5e dragons, 10e dragons.
Général Lawestinc, 7 e chasseurs, 8- chas-
seurs.
Général Simoneau, 4e chasseurs, 3° hus-
sards .
Cavalerie de réserve : le lieutenant-géné-
ral Gentil-Saint- Alphonse.
irc brigade, général Villate, icr cuiras-
siers, 4e cuirassiers. .
2« brigade, général Gusfer, 9e cuirassiers,
10e cuirassiers.
17 régimens d’infanterie à 3 bataillons ;
6r bataillons ; 40,800 hommes.
li régimens de cavalerie à escadrons \
5G escadrons 5 7.000 hommes.
90 bouches à feu, 12 compagnies pour les
servir, 8 compagnies de sapeurs-mineurs j
2,200 hommes.
Un équipage de ponts.
De plus, une division de grenadiers et
voltigeurs.
Lieutenant-general, Scliram.
iro brigade, général Rulhièrc.
2e brigade, général Durocheret.
Ducrest de Villeneuve, commandant l’es-
cadre française.
Sir Macolm, commandant l’escadre an-
glaise .
Colonel Caradock, commissaire anglais,
TROUPES HOLLANDAISES DANS LA CITADELLE.
Commandant en chef, général Chasse.
Commandant en second, général major
Favauge.
1 2 bataillons formant environ G,000 liom.
Commandant du génie, colonel Vauver-
vick.
TROUTES BELGES DANS LA VILLE.
Commandant-général, Buzen. G,ooo boni.
POSITIONS FRANÇAISES ET BELGES.
1. Fortifications le long du port , de la
digue, etc.
2. Batterie d’Enfer.
3.
ici.
Saint-Laurent.
4-
id.
cachées.
5.
id.
commencées.
G. Magasin à poudre.
7. Canonnières belges.
8. Fortifications intérieures,
9. Ligne du camp retranché.
DÉTAILS DE LA VILLE.
10. Bassins.
11. Cathédrale.
12. Spectacle.
13. Arsenal.
i4* Variétés.
15. Bourse.
16. Nouvel entrepôt.
17. Place Verte.
18. Maison-de-Ville.
19. Entrepôt brûlé.
POSITIONS HOLLANDAISES.
A. Arsenal brûlé.
fi. Flotille.
C. Coupures des digues.
D. Navigation par les terres.
E. Communication.
Quartier général, Berchem, maison der-
rière l’église.
ir0 division, à Beveren.
2 e division, à Donek, avec brigade Si me-
neau.
3e division, à Putte.
4e division, à Wilryck.
Brigade Voirol, à Sautviel
Brigade Lawestine, route deBerg-op-Zoom.
Brigade Castellane, à Scbilde.
Brigade de siège , d’Orléans , Dincourl,
Zœpfel et Rapatel ; plus, le 6e, le 52e et le Gô*.
9e de ligne et 3e chasscuTS earûpés entre
Bevel et Grovcndonck
17e léger campé à droite de Burgerbout.
Gc et 180 de ligne dans la ville.
a. Dépôts de tranchée.
b. Batteries (104 bouches à feu).