ssé ^'heures
mes P^me^
ut le territoire^
-e se réduit
cepen.
înt tous les
îverneur, etd'n
me est médiocre;
c celui du désen
centième partie de
nposé à nombre k
plus importants it
de l'exportation et
londantes, qu'oute
m descend tous le
211
comme nous étions instruits de tous leurs mouvements par les mêmes
moyens, et peut-être par les mêmes émissaires, qui fidèlement servoient
les deux partis avec la même exactitude.
Le général Daoust avoit rencontré Assan-bey sur la rive droite, vis-à-vis
d'Edfu, au moment ou il s'approchoit du Nil pour faire de l'eau : le danger
éminent de perdre ses équipages le fit charger avec fureur ; l'empressement
des nôtres de s'en emparer, et un peu de mépris qu'ils avoient pris à la
bataille de Samanhout, les firent attaquer avec trop de négligence. Ce
combat de deux cents cavaliers contre deux cents cavaliers fut plutôt une
mêlée qu'une bataille ; les deux partis firent preuve d'une valeur inouïe.
La charge dura une demi-heure : le champ de bataille resta aux François;
mais Assan-bey obtint ce qu'il avoit voulu, c'étoit de sauver ses équipages :
il resta trente à quarante morts de notre côté et autant de blessés ; il y eut
douze Mamelouks de tués et beaucoup de blessés : Assan le fut à la jambe :
de sorte que personne n'eut à s'applaudir de cette rencontre.
Car?
iere$*
iks,
)Uks remontoi
m'ils ravageoif
qlles fourrages.
^ farine et en '
lloit tarir. *1S (
r arrière^6 f
nous ^
. co:
e que
Nous allâmes à la recherche des barques que les Mamelouks avoient
essayé de remonter : notre projet étoit en même temps de voir les cata-
ractes ; nous rencontrâmes à travers les rochers de granit les carrières d'où
l'on détachoit les blocs qui servoient à faire ces statues colossales qui ont
été l'objet de l'admiration de tant de siècles, et dont les ruines nous frap-
pent encore d'étonnement ; il semble que l'on ait voulu illustrer les masses
qui les ont produites, en laissant sur la place des inscriptions hiérogly-
phiques qui en font peut-être mémoire. L'opération par laquelle on
e e 2 détachoit
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ut le territoire^
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înt tous les
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me est médiocre;
c celui du désen
centième partie de
nposé à nombre k
plus importants it
de l'exportation et
londantes, qu'oute
m descend tous le
211
comme nous étions instruits de tous leurs mouvements par les mêmes
moyens, et peut-être par les mêmes émissaires, qui fidèlement servoient
les deux partis avec la même exactitude.
Le général Daoust avoit rencontré Assan-bey sur la rive droite, vis-à-vis
d'Edfu, au moment ou il s'approchoit du Nil pour faire de l'eau : le danger
éminent de perdre ses équipages le fit charger avec fureur ; l'empressement
des nôtres de s'en emparer, et un peu de mépris qu'ils avoient pris à la
bataille de Samanhout, les firent attaquer avec trop de négligence. Ce
combat de deux cents cavaliers contre deux cents cavaliers fut plutôt une
mêlée qu'une bataille ; les deux partis firent preuve d'une valeur inouïe.
La charge dura une demi-heure : le champ de bataille resta aux François;
mais Assan-bey obtint ce qu'il avoit voulu, c'étoit de sauver ses équipages :
il resta trente à quarante morts de notre côté et autant de blessés ; il y eut
douze Mamelouks de tués et beaucoup de blessés : Assan le fut à la jambe :
de sorte que personne n'eut à s'applaudir de cette rencontre.
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Nous allâmes à la recherche des barques que les Mamelouks avoient
essayé de remonter : notre projet étoit en même temps de voir les cata-
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l'on détachoit les blocs qui servoient à faire ces statues colossales qui ont
été l'objet de l'admiration de tant de siècles, et dont les ruines nous frap-
pent encore d'étonnement ; il semble que l'on ait voulu illustrer les masses
qui les ont produites, en laissant sur la place des inscriptions hiérogly-
phiques qui en font peut-être mémoire. L'opération par laquelle on
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