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Denon, Dominique Vivant
Voyage dans la basse et la haute Égypte, pendant les campagnes du général Bonaparte (Band 1) — London, 1802

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https://doi.org/10.11588/diglit.3786#0331

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chercher malgré la fatigue d'un pareil voyage dans cette brûlante saison#
Nous allâmes coucher à Bassalier, maison de compagne d'Assan-bey,
située sur le bord escarpé du Nil, sans un seul arbre pour rafraîchir les
yeux, vis-à-vis la roche ardente et pelée de la chaîne du Mokatam,
On ne peut imaginer ce qui a pu faire choisir cette situation pour y
bâtir une maison de plaisance. L'intérieur n'offre aucun dédommagement
de tous les inconvénients de l'extérieur ; de mauvaises murailles ouvertes
par de mauvaises portes, voilà tout ce que l'architecture prête de charmes
à ce palais, où l'on n'entre qu'en se courbant, où chaque escalier est un
précipice, où la vue des fenêtres n'offre d'incidents que l'apparition de
crocodiles, aussi gros que nombreux dans cette partie du Nil. A notre
arrivée il y en avoit un sur la plage qui étoit si grand, que je l'avois pris
d'abord pour le tronc d'un palmier, et que je ne le reconnus que lorsque
je le vis remuer et fuir.

Entre Bassalier et êl-Moécat, en suivant un canal,, nous fûmes attirés
par un monticule de briques appelé Com-êl-Acmart ; à son extrémité sud,
on trouve la substruction d'un temple Egyptien, et quelques assises des
bases de son portique, le tout couvert d'hiéroglyphes: cette ruine in-
connue a échappé aux géographes et aux voyageurs anciens et modernes.
Sont-ce les ruines de Silsilis, la ville qui auroit donné son nom aux carrières
qui sont près de là ?

Troisième Visite à Etfut ou Apdlinopolis.—Nouveaux Détails sur le
Temple d'il arment et le Portique d'.Esné..

J'arrivai pour la troisième fois à Etfu : son temple me parut toujours

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