183
. a,près avoir soulevé les électrodes. La, masse
ayant cristallisé au bout de trois ou quatre
heures, on retire du four un bloc ayant l'ap-
parence du quartz et on le concasse lorsque
le refroidissement s'est complètement effec-
tué. C'est alors qu'on transforme le produit,
après toute une série de traitements méca-
niques, en meules ou pierres à aiguiser, ou
encore en toiles ou papier à l'émeri. En se
servant de courant alternatif, on peut arriver
facilement à transforme]1 en alundum 4,000
LOMBARD (Henri)
Né à Marseille, en 1858, est le fils d'un capi-
taine de la marine marchande. Ayant fait ses
premières études au lycée de sa ville natale,
il montra dès sa plus tendre enfance un
goût très prononcé pour le dessin et très
jeune entraà l'Ecole des Beaux-Arts de Mar-
kilogrammes de bauxite par jour avec une
puissance de 500 chevaux.
Une variante de ce procédé consiste à
prendre 759 kilogrammes de bauxite, 700 de
coke et 96 d'un fondant approprié (carbonate
de chaux, potasse, soude) et à: disposer ces
matières en couches alternées dans un four
présentant un tirage suffisant; le produit
obtenu dans ces conditions ne diffère pas
sensiblement du précédent.
(A suivre.)
français
seille, qu'il devait quitter en 1875, pour venir
à Paris.
Admis à l'Ecole, il entre clans l'atelier de
Cavelier, qui. avec Jouffroy et Dumont, a
•e
formé de si nombreux et brillants élèves. Sa
première exposition remonte à 1879, date à
laquelle il envoie au Salon un grand bas-
relief intitulé Sainte Cécile, acquis par l'Etat
La sculpture au Salon de 1908 des Artistes
La Sainte-Catherine M. J. Lorieux, statuait
. a,près avoir soulevé les électrodes. La, masse
ayant cristallisé au bout de trois ou quatre
heures, on retire du four un bloc ayant l'ap-
parence du quartz et on le concasse lorsque
le refroidissement s'est complètement effec-
tué. C'est alors qu'on transforme le produit,
après toute une série de traitements méca-
niques, en meules ou pierres à aiguiser, ou
encore en toiles ou papier à l'émeri. En se
servant de courant alternatif, on peut arriver
facilement à transforme]1 en alundum 4,000
LOMBARD (Henri)
Né à Marseille, en 1858, est le fils d'un capi-
taine de la marine marchande. Ayant fait ses
premières études au lycée de sa ville natale,
il montra dès sa plus tendre enfance un
goût très prononcé pour le dessin et très
jeune entraà l'Ecole des Beaux-Arts de Mar-
kilogrammes de bauxite par jour avec une
puissance de 500 chevaux.
Une variante de ce procédé consiste à
prendre 759 kilogrammes de bauxite, 700 de
coke et 96 d'un fondant approprié (carbonate
de chaux, potasse, soude) et à: disposer ces
matières en couches alternées dans un four
présentant un tirage suffisant; le produit
obtenu dans ces conditions ne diffère pas
sensiblement du précédent.
(A suivre.)
français
seille, qu'il devait quitter en 1875, pour venir
à Paris.
Admis à l'Ecole, il entre clans l'atelier de
Cavelier, qui. avec Jouffroy et Dumont, a
•e
formé de si nombreux et brillants élèves. Sa
première exposition remonte à 1879, date à
laquelle il envoie au Salon un grand bas-
relief intitulé Sainte Cécile, acquis par l'Etat
La sculpture au Salon de 1908 des Artistes
La Sainte-Catherine M. J. Lorieux, statuait